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La Bruyere
1 586 produits trouvés
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Louise ou l'itinéraire d'une femme à la fin du XIX siècle
Jacqueline Grivel-achard
- La Bruyere
- 11 Mars 2015
- 9782750010140
Dans le dernier tiers du XIXème siècle Louise, une avenante jeune fille, vit à la campagne où ses parents exploitent une ferme, entre le Rhône et le Massif Central.
Comptant trois garçons plus jeunes, cette famille modeste, mais très unie, mène une existence laborieuse, essentiellement consacrée aux travaux des champs. Pas d'autres loisirs pour la jeune fille que la lecture d'oeuvres littéraires auxquelles l'initie une cousine.
Un avenir harmonieux semble devoir être le sien. Cela se confirmera-t-il le jour où entre dans sa vie, Gustave, célibataire fortuné ?
Nous retrouvons notre héroïne, veuve, plus de deux décennies après son mariage.
Elle vient de se retirer dans sa chambre quant à son fils unique, Antoine, lui, vient de quitter la maison. Les activités troubles de l'élégant noctambule inquiètent sa mère. Alors que commencent les longues heures de veille, les épisodes de sa vie passée lui reviennent en mémoire.
Jacqueline Grivel-Achard nous présente ici son premier roman. -
Lorsque la cloche du pensionnat sonna les laudes à l'aube de cette journée d'automne, l'air vibra d'une résonnance particulière. Ce son cristallin et pur transportant à la fois toutes les effluves et fragrances des parfums d'herbes et de regains fraîchement coupés ou séchés au soleil, des fruits trop mûrs des vergers et des vignes, me fit revivre une réminiscence de maints souvenirs d'autrefois.
Un autrefois si près et si lointain. Souvenir de cette jeunesse heureuse et insouciante qui vous marque à jamais de son empreinte indélébile sur ce long fleuve de la vie. Ce rêve malin qui surgit alors subrepticement, espiègle et joueur, insaisissable, dans un crescendo inopportun ne permettant plus d'abouter sérieusement la réflexion et sa conclusion. Ce rêve vous envahit, vous subjugue, vous submerge, vous noie sous un déluge de nostalgie enfantine. Tout s'émerveille, s'éclaire dans un feu d'artifice et provoque une intense émotion qui vous prend à la gorge, la serre à vous faire mal, libérant des larmes douces-amères incontrôlables. Des larmes qu'on essuie, honteux, d'un revers de main rageur pour chasser une faiblesse dite enfantine, mais surtout, cette prise de conscience qu'adultes nous sommes toujours régis par nos souvenirs et nos rêves d'enfants.
Du haut de cette colline surplombant un paysage bucolique et familier, j'observais ce pensionnat où s'ébattaient les enfants du village dans la cour de récréation. Mon regard allait d'une fenêtre à l'autre cherchant à retrouver la classe dans laquelle j'avais passé tant d'années... -
L'imaginaire, seul, s'exprime dans « Ramallah ». Nous sommes transportés au Moyen-Orient, pays d'Aladin et des contes des mille et une nuits, où tout se côtoie, se mêle et s'entremêle, puis disparaît pour mieux renaître plus loin... tels des djinns et des farfadets, dans ce berceau de l'humanité où les hommes, le soir, se reposent et racontent... Un nouveau mythe se crée et naît sous les étoiles.
La mythologie nous a appris l'amour fou du roi Salomon pour la reine de Saba en passant par celui de Samson et Dalila, de Marc-Antoine et Cléopâtre à Tristan et Yseut et tous les autres, mais tous ont vécu la « maladie d'amour-passion ». Une passion si folle, si intense, qu'elle n'engendre que violence, colère, rage, folie, haine, jalousie, vengeance et aussi, malheureusement, la mort.
La Palestine est le carrefour de toutes les passions et des conquêtes depuis le commencement du monde. Elle en est le foyer historique au Moyen-Orient. Ramallah est la ville-étape où la lampe d'Aladin, au commencement de la nuit, va laisser échapper dans sa flamme et la fumée odorante de la myrrhe un génie et un nouveau conte... des mille et une nuits. Le conte éphémère d'une nuit de folle passion et de violence... entre Sarah la belle Israélienne et Abdallah le Palestinien.
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« Essayez d'engueuler quelqu'un les mains ouvertes, c'est impossible ! »
Sans détours, les mots sont percutants, avec par ailleurs une foi infinie en l'homme.
Ce livre est une incroyable invitation à marcher tout en s'arrêtant !
Paradoxe ? énigme ? ... Et si nous aimions tous nos petits travers avant qu'ils ne deviennent jugements envers soi et les autres ?
Et si, pas à pas, nous allions vers la connaissance de nous-même ?
L'auteur crée l'association 4 Saisons Marche en 2007 : sa devise « Vivre la marche au-dedans comme au-dehors ». Il témoigne de son expérience fondatrice de la marche dans un livre publié en 2014
« Journal d'un illettré sur le chemin de Compostelle » (Editions Editas). -
Les mots un à un tombent
De mon arbre de vie
Faisant de mes écrits d'étranges poésies -
Contournons l'interdit,
pour pigmenter la vie.
Fantasmons chaque jour,
nos histoires d'amour,
le rêve est sans limite
A l'extase il invite.
Professez l'érotisme,
et sans prosélytisme,
faites-le partager
A ceux que vous aimez.
Pour un peu de bonheur
sans leur briser le coeur. -
Toutes les choses, depuis celles qu'on manipulait jusqu'à celles qui faisaient rire ou pleurer. Elles donnaient au quotidien sa couleur, sa musique, son odeur, son goût, son lot de peine et de soulagement. Beaucoup de ces choses ne sont plus aujourd'hui ce qu'elles furent avant-hier, entre 1910 et 1930. L'éclairage radin de la lampe à pétrole, du rat-de-cave, du brûle bout. Le linge battu et frotté à la margelle du lavoir. L'eau remontée à la seille du fond du puits. Et tant d'autres...
Ces propos ne véhiculent aucune nostalgie car, en 2011, il est plus facile que jamais de vivre en Île-de-France. En ce premier tiers de 20ème siècle des dizaines de milliers d'enfants et d'adultes furent tués trop tôt par une infection. C'est ce
qu' enseignaient Robert Debré et Michel Weinberg qui s'activent dans ce livre.
Veneux-les-Sablons n 'est encore qu'un ensemble de villages qui s'étale entre le Loing et la forêt. Y vivent, France et trois garçons qui la courtisent. En 1910, la jeune fille épouse Grégoire et donne le jour à Lia. En 1914, ces hommes partent fantassins et la seule chose nouvelle qu'ils vont apprendre est à donner la mort. Un savoir terrible, capable d'endommager la caboche d'un amoureux éconduit. En 1918, le teuton parvient à, si aveuglément, bombarder la capitale que de nombreux parisiens cherchent un abri à la campagne. C'est le cas d'Eugénie Clermont et des siens qui se réfugient à Veneux. Là, des femmes continuent de souffrir des comportements criminels que la Grande Guerre a fait naître dans le cerveau malmené de quelques troufions. Parfois, ça tourne mal.
Mais, ce n'est pas triste pour autant car, par chance, l'humour est toujours de la partie et le rire revient avec les enfants de France et d'Eugénie. -
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Contes ou nouvelles féeriques réunis, occasions de retrouver ces frissons qui nous envahissaient lors de notre enfance où au grenier vivaient les Sylphes, les fantômes se plaisaient dans les couloirs, mais au fond des caves croupissaient les sorcières... Personnages clopinant, bossus, créatures aux ondes versatiles, au nez crochu, dents goulues, griffes acérées et serrées sur un bâton volant, magique, vieilles chouettes mal fagotées qui ourdissaient ses manigances dans l'ombre inquiétante d'un endroit obscur, désert et souvent retiré. Si certaines sorcières sont infréquentables comme la femme du Seigneur qui se transforme en louve les nuits de pleine lune ou les flammettes qui viennent réclamer un dû aux paysans trop crédules, il en existe d'autres enjouées et insouciantes. Certains sabbats ont des allures de bals où les complices des crapauds et des serpents deviennent irrésistibles et se confondent, comme la Belle et la Bête ! C'est le moment de découvrir les mille et une facettes des énigmatiques " locataires " de Minuit ! D'éprouver notre résistance aux maléfiques pouvoirs des sorcières et ogresses. " Le Mal est le tréfonds de la nature de l'homme ".
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« Depuis la nuit des temps, la poésie résiste aisément aux maximes, aux principes, aux règles de conduite et aux règles de morale. Elle outrepasse quelquefois la censure si l'on se réfère à Charles Baudelaire, à Paul Verlaine, à Arthur Rimbaud et à Stéphane Mallarmé que l'on soit le « Prince des Poètes »,
Pierre de Ronsart ou « le poète fou d'Elsa » Louis Aragon ou encore « Le Prince des voleurs » , Jean Genet...
Or, au XXIème siècle, les nouveaux poètes en herbe, devançant leurs aînés, ce sont les écoliers et les collégiens, sponsorisés par leurs enseignants dans certains départements comme « Les Amis de Verlaine » à Metz, « Les Joutes Littéraires » de Lyon ou « Les Oeuvres Poétiques et Littéraires » de la Lozère qui pérennisent la liberté d'expression poétique, en remettant pertinemment à l'honneur et en valorisant l'Immortelle Poésie !
Car notre Jeunesse aime jouer avec les mots, la magie des rythmes, des rimes et la musicalité des vers en toute liberté et créativité : la Jeunesse Lozérienne redouble d'inventivité dans ses poèmes riches en métaphores lyriques ou romantiques...
« Ce sont des cris du coeur toujours universels ! »
« Vive la Poésie, elle embellit la vie ! »
« Personnellement, elle est surtout une Amie ! » -
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Elle a vécu, Félise la jeune Ardéchoise.
Des circonstances brûlantes ont mis un terme à sa destinée.
Pourquoi ? Comment ? Par qui ?
Après ses activités d'architecte, l'auteur se consacre à la peinture qu'il pratique depuis ses quinze ans. Ces dernières années il remplace, de temps à autre, ses pinceaux par le stylo avec lequel il a écrit son autobiographie et, maintenant, des romans. Il vit actuellement dans la Drôme où il a été lauréat du prix de dessin et peinture du département en 1988.
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1869. Le lieutenant Daillac a de brillants états de service, il a épousé Amélie, une riche héritière et l'Empereur vient de le faire baron... En voulant davantage, il va se retrouver seul, versé dans un obscur régiment. Il voue une haine tenace à Le Moncel, avocat républicain et nouveau compagnon d'Amélie, qu'il tient pour responsable de ses malheurs. Pris dans les soubresauts de l'Année Terrible, les deux hommes se retrouvent face à face pendant le Siège de Paris, puis par hasard à Neuilly sous la Commune. Tout porte à croire que Daillac a tué Le Moncel, bien qu'il s'en défende.
Amélie n'aura de cesse d'obtenir justice, mais se heurte longtemps à l'armée qui protège son mari et à l'inertie des gouvernements d'une République toujours provisoire. Il faudra bien du temps et de l'obstination pour que la justice, rendue dans des temps enfin apaisés, condamne un crime commis en des jours sombres où la vie d'un homme ne comptait guère. -
Le héros de cette nouvelle onirique, l'homme sans nom, part à sa recherche. Il sent bien qu'il est devenu le jouet de ses questionnements dont la substance intellectuelle ne le mène plus nulle part. C'est l'impasse. Il n'est pas pleinement satisfait de son passé, il veut le fuir pour se connaître. Après bien des tergiversations, il part. Venez découvrir les épreuves surmontées par L'Osirien au cours de son rêve initiatique, alors qu'il a tout abandonné.
Il vous emmènera dans son périple qu'il ne pouvait imaginer lorsqu'il décida de tout quitter
pour conquérir son nom.
Que lui adviendra-t-il ? Aimeriez-vous le connaître
et vous identifier à lui ?
Vous imaginez-vous avoir été ce héros
dans votre lointain passé à jamais oublié ? Qui sait ?
Robert Jacquot a publié aux Éditions La Bruyère Vivre en pleine conscience est le prélude de l'éveil (2009), Du Coq à L'Âme (2010), L'Ascète du Bézu (2011), Le Coeur Flamboyant (2012).
Les lecteurs qui ont découvert l'auteur et deviné qui était L'Ascète du Bézu, seront surpris par cette nouvelle onirique qui peut se lire comme une suite, ou pour les autres, comme un conte initiatique sans lien avec le sujet de son ouvrage précité. -
Quittant la ferme familiale à vingt-quatre ans puis salarié agricole en Brie, Beauce, Multien, Picardie, pour un jour se fixer en Yvelines comme exploitant.
Cet Agri-horticulteur aujourd'hui retraité en Sologne, nous livre son parcours.
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Dans un village du Tarn sans histoire, au coeur du Sidobre où il fait bon vivre, un officier de la D.ST., reçoit des menaces d'un terroriste. C'est alors que trois jeunes filles du village vont se retrouver malgré elles impliquées dans la traque d'un gang dangereux.
L'auteur Henriette Estadieu, fille d'officier supérieur mort pour la France en 1939, a hérité du sentiment patriotique. Après une longue existence tournée vers les autres à travers sa profession d'infirmière, c'est à l'âge de 91 ans qu'elle a décidé de se laisser guider par son imagination en écrivant ce roman plein de rebondissements.
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Dans une ville bruissant de voix, une femme marche entre ses lieux de travail ; comme elle écrit, elle pénètre aussi dans ces endroits où se côtoient toutes sortes de langues ;
Un jour lui parvient de la lointaine province une vieille petite photographie à l'époque prise par la Jeune -femme qui un peu plus tard sera sa mère : elle ne figure pas dessus,
A peine débarqué chez elle, le cliché débute un drôle de jeu et ne cache pas qu'il sait aussi parler : bientôt sera tendue à la femme, dans la ville où vécurent ses grand -parents et sa future mère alors jeune -fille, et où elle fut bébé, un autre très ancien petit cliché antérieur au premier, et qui cette fois la lui montre encore jeune -fille ...au côté d'un beau jeune homme : l'apparenté,
L'occasion -pour la femme, d'éclaircir l'énigme de la parole maternelle qui préside à sa naissance et qui -au printemps deux mille sept, s'est avéré infondée, et de faire toute la lumière sur un geste maternel certes devenu incompréhensible, mais qui ...ne relève pas du seul mensonge,
Un récit qui ramène la mémoire sur ses lieux de prédilection alors que des farandoles de pâtés dansent au-dessus des têtes -dans les arbres, pépiements d'oiseaux ; -sous les arbres vrombissement de gros engins : dans la ville de l'enfance ...se noue une étrange idylle -
Le Viêtnam est un petit pays tranquille qui se situe au fin fond de l'Asie du Sud-Est.
Un climat chaud et humide ne fait supporter trop ses habitants. Le vent de ses 3.000 km de côte, leur offre en permanence une fraîcheur agréable pendant toute l'année.
Pourtant, depuis des siècles, ce pauvre petit pays ne connut que des guerres, qui se succédèrent les unes après les autres, presque interminables.
Ce n'est que son destin, Dieu lui la tracé pour son existence !
A travers le rideau de fines gouttes d'eau d'une pluie légère, une jeune femme s'appuyait au seuil de la porte, serrant bien fort son enfant contre elle et murmurait à son oreille : « Papa va rentrer ». Non, jamais. Papa est mort !
Toutes les nuits, dans des sommeils légers, une femme attend depuis longtemps quelqu'un qui va frapper à la porte. Elle attend le retour d'un mari qui ne reviendra jamais. Non, son mari est mort !
Tous les soirs, avant d'aller au lit, un enfant en bas d'âge répète le mot «Papa ».
Un père qu'il n'a pas vu dès sa naissance. Non, son Papa est mort !
Toutes ces images-là, c'est la guerre.
Et, cette mort-là, personne ne la souhaite.
Pourtant depuis des millénaires, les gens de ce monde les veulent, pour satisfaire leur cruauté naturelle ou pour avoir une place sous le soleil.
Les races des humains sur Terre sont-elles différentes ?
Existent-ils des Dieux différents ?
Toutes les idéologies du monde sont-elles réalisables ?
Non, tous ceux-là sont faux. La guerre, la tuerie, la souffrance sont créées, seulement pour satisfaire la cruauté naturelle des humains.
Où veut-on arriver avec Union Européenne - CEE - ASEAN - OTAN - ONU - OMC et la Mondialisation.
Jean-Paul Vovan nous présente ici son nouveau livre. -
Mon frère jumeau et moi sommes nés le 23 décembre 1941 à Beausemblant. Notre mère est décédée durant l'accouchement et notre père ne nous a pas reconnus ! Nous avons atterris à la DDASS.
Depuis notre naissance nous avons été placés dans plusieurs familles d'accueil jusqu'à l'âge de 7 ans et demi. Puis nous avons été adoptés par Monsieur et Madame BLACHE qui habitaient à VOLVENT dans la Drôme.
À partir de ce moment, nous avons été maltraités par notre mère adoptive et nos soucis ont commencés et je voulais raconter cette vie bouleversée par la mort de notre mère.
Enfin un jour j'ai pu mettre à l'écrit ce que nous avions vécus mon frère et moi.
Daniel BLACHE.