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Ixcea
95 produits trouvés
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Dans la deuxième moitié du 20e siècle, dans la Syrie multimillénaire d'avant la guerre des Six Jours, d'avant la guerre du Kippour et d'avant la révolution actuelle, la narratrice française installée à Damas, au pied du Mont Kassioun, cherche le choc spirituel de la lumière, à l'exemple des anciens ermites venus méditer au désert mais à travers une douleur charnelle prémonitoire, elle découvre physiquement, matériellement, pendant ce corps à corps visionnaire avec le soleil désertique, toute le violence qui couve.
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La mésaventure de Clarisse
Spectacle fantastique pour enfants, une histoire de vampire qui finit bien.
1 prologue et 4 tableaux, imaginé par Nadine Audoubert.
Le petit chat est mort
ou comment Molière trouvait l'inspiration dans la vie quotidienne.
3 actes et 1 épilogue de Nadine Audoubert.
Le raccord
"Ce titre évoque une lourde tenture derrière laquelle se cachent tous les mystères du Théâtre et de la Vie.
Cette histoire est bien celle du Théâtre puisque c'est celle d'une troupe qui répète " Hamlet ".
D'une troupe avec ses joies et ses tristesses, ses rêves et ses réalités, ses intrigues et ses jalousies, ses superstitions aussi, mais surtout, sa passion du Théâtre.
Au-delà du cadavre, hypothétique ou non, de ce pauvre Polonius, ou plutôt de l'acteur endossant son habit, c'est peut-être le spectre du roi qui évoque en nous tous, nos jeux d'enfants, ceux de faire semblant et d'y croire quand même.
Le plateau sera nu, ou plutôt plein de ce que peut être un plateau nu avec tous ses accessoires et ses outils : des pendrions aux malles, des guindes aux portants, de la servante au brigadier prêt à frapper les trois coups.
La lumière sera composée d'ombres et de découpes, de contre-jour et de poursuites comme si elle, la lumière, véritable personnage, traquait les acteurs et leurs rôles pour mieux les réunir.
Les rythmes seront tantôt frénétiques, comme ceux d'une course-poursuite d'acteurs frémissant de trac avant une première, tantôt suspendus et lourds de silences hitchcockiens.
Les musiques seront nombreuses, elles seront les rêves des acteurs, chacun aura la sienne et toute la troupe se livrera à elles en des danses inavouées, celles que seuls, les rideaux du Théâtre une fois soulevés peuvent nous révéler et nous emporter comme dans un songe."
Georges Bécot
Metteur en scène de la pièce
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Le trésor des Cathares ; Rennes-le-Château ou Montségur ?
Emmanuel de Careil
- Ixcea
- 12 Décembre 2008
- 9782849181027
Passionné par l'Histoire et les affaires étranges ou énigmatiques, Emmanuel de Careil nous fait part, dans ce dernier roman, de ses découvertes et de ses constatations relatives aux diverses légendes qui se rapportent au trésor des Cathares. Globalement, l'histoire du Graal nous est connue, en particulier, la version qui veut que le château de Montségur en soit le gardien. Mais y aurait-il, alors, un lien entre le trésor des Cathares, celui de Rennes-le-Château, et le supposé Graal du IIIème Reich ? Existe-t-il de nos jours, un nouvel Ordre des Cathares quelque part dans le monde ? Voilà autant de questions que l'on est en droit de se poser aujourd'hui et auxquelles l'auteur s'efforce d'apporter une réponse. Au fil des pages, en mêlant le fruit de ses recherches à la fiction, il offre au lecteur l'occasion de se demander : et si c'était vrai ?
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Jean-Paul ESCUDIER a prêté son serment d'avocat il y a quarante ans. Il a voulu dans ce livre traquer l'anecdote, la petite histoire drôle qui en dit beaucoup plus long qu'il n'y parait sur notre droit, sur le fonctionnement de nos institutions, sur la justice. Entré à l'Académie du Languedoc en 2014, « Les perles rares du Palais » sont son septième ouvrage. C'est dans un style alerte et enjoué que Jean-Paul ESCUDIER nous fait vivre les coulisses de l'histoire de nos Palais de Justice. Engagé politiquement à la mairie de Toulouse aux côtés de Dominique BAUDIS, Philippe DOUSTE-BLAZY et Jean-Luc MOUDENC, il a élargi sa réflexion sur le fonctionnement de nos institutions. Avec «Les perles rares du Palais», vous rirez beaucoup, mais vous en apprendrez bien davantage...
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Roman utopique, humoristique, pour rêver - c'est la seule liberté qui nous reste - à un monde meilleur!
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Le 9 Av au matin, sans même avoir vérifié si tous les habitants du quartier étaient partis, les soldats de Gérone, aidés des maçons qu'ils avaient réquisitionnés, entreprirent de murer toutes les issues. En 1952, seulement, fut réouverte la première rue du quartier juif de Gérone, on rendait au monde les vestiges de ce qui fut à une époque la première école de kabbale et d'étude rabbinique... Il fallut cinq siècles pour que l'on redécouvre ce que certains appelaient juderia. Cinq siècles où la folie allait conduire l'humanité aux pires atrocités. Cinq siècles qui virent périr aussi combien de Vaudois, d'Incas, de Protestants, de Guaranis, d'Indiens, d'Africains ? Cinq siècles pendant lesquels le « fautif » a nom : Juif, hérétique, païen, franc-maçon, communiste... Et si tout cela avait été non seulement prévu, mais calculé ? Et si tout cela avait pu être évité ? Et si tout ce qui arrive pouvait encore l'être ? Et si nous pouvions encore refuser l'impossible...
Découvrez les MALEDICTIONS DE NOSTRADAMUS!
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Marco est un jeune homme rebelle. Sa mère est morte à sa naissance et son père alcoolique ne s'est guère occupé de lui.
A la mort de celui-ci, Marco est recueilli par une aïeule qui vit à Montmartre. Très vite, les rapports deviennent conflictuels et le jeune homme se retrouve à la rue. Livré à lui-même, il erre à la recherche d'un dénommé Bruno qui tient un bar à Barbès dont son père lui avait souvent parlé. Est-ce le bon choixoe Sortira-t-il indemne de l'intrigue policière et des évènements qui vont bouleverser sa vieoe
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"L'artiste est un type que la vie étonne..." Et Jean-Claude Ettori n'en finit pas d'être surpris des détours que peut inventer le chemin de la vie. Dans sa besace, des mots. Des mots glanés au bord des sentiers corses où pousse l'ancolie, des mots du soleil couchant sur la chaîne africaine du Ngong, des mots des rizières d'Indochine, des mots de l'octobre bleu des chatars qui volent au vent du Pays Basque, des mots comme des galets polis de solitude sur le bitume des cités, des mots de l'absence enfouis pour mieux les oublier, des mots qui disent tout des femmes sans jamais les nommer. Le peintre Hujac a créé des images, Jean-Claude Ettori leur a donné un nom... Marie-Pierre Aguila (écrivain)
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L'histoire: celle de René Blanchard, un reclus rattrapé par son passé mais surtout par le Divisionnaire Lagarce, qui a bien la gueule de son nom et qui n'a qu'une idée en tête : embastiller Blanchard, ce prête-nom bien innocent... que tout semble pourtant accuser !
Seulement voilà, un évènement pour le moins inattendu vient ébranler la pègre azuréenne et contrarier la terrible machination échafaudée par Lagarce.
Dès lors, confrontés à une situation singulière et intrigante (ce pauvre Blanchard aurait-il un ange gardien oe), les protagonistes vont sortir du rôle qui leur semblait dévolu. Jusqu'à leur ultime confrontation, à l'issue incertaine...
Un « polar », assurément. Mais pas une énième histoire de flic et de voyou.
Tous les acteurs de l'intrigue psychologique (le persécuteur, la victime, et le sauveur) y sont présents. Avec leurs bons et leurs mauvais côtés, leur ambivalence parfois.
Cet éloge de la naïveté est agrémenté d'expressions régionalistes croustillantes à souhait, mais sans jamais verser dans le folklore : l'auteur a voulu dépeindre ce Pays et ces figures qu'il aime tant dans un souci d'indéniable justesse.
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A la suite d'un nouveau choc pétrolier la France s'est enfoncée dans une crise économique catastrophique. Elle est en proie à des attentats sanglants et à des émeutes ethniques et religieuses qui obligent l'armée à intervenir dans les banlieues pour maintenir un semblant d'ordre.
A Saint Pierre petite ville lugubre du nord de la France, Fatima, l'institutrice musulmane, croise la route de Vianney le capitaine chargé avec des effectifs dérisoires de ramener la paix.
Réussiront-ils à bâtir un pont entre les communautés qui se déchirent oe
Ni manichéenne, ni moralisatrice, cette chronique amère de trois semaines d'un bref printemps tend un miroir aux reflets cruels qui permet d'entrevoir ce que sera, peut être, notre pays dans quelques années.
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La ville gronde en contre-bas. Elle le fait chaque jour à la même heure, le soir. Comme si elle expirait en une demi-heure toutes les agitations d'une journée de douleurs et de souffrances, tel un aveu. En une demi-heure les rues se remplissent, les gens se frôlent avec une intensité extrême avant que le calme n'investisse les artères solitaires. Les rues lancent leurs aveux quotidiens au rythme des voitures qui se bousculent et des gens qui traversent les passages cloutés. Puis, vers vingt heures il ne restera dans les rues que le souvenir et les empreintes des yeux sur le bitume fatigué. Il y a dans cette demi-heure comme une prière, des voeux, un souhait, une délivrance. Apprendre un peu sur l'histoire des autres, c'est apprendre à accepter un peu la sienne. Car l'amour est toujours un espace de solitudes. Voici donc sept nouvelles toutes fraîches, sept nouvelles du Nord.
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Au vingt-cinquième siècle, l'opulence, la paix et le bonheur règnent sans partage sur toute la planète. Mais ce monde paradisiaque n'est-il pas un monde repu, décadent et moribond, voué à une lente mais inexorable disparition ? C'est que proclame le philosophe Christopher Laurens. Il est assassiné. Son meurtre est matériellement impossible, il n'y a aucun mobile, et au vingt-cinquième siècle, il y a bien longtemps qu'on ne commet plus de meurtres. Le procureur Alexandre Sirva, que rien ne prépare à cette fonction, est plongé dans une enquête qui le dépasse et au cours de laquelle il est continuellement manipulé. Démasquera-t-il le coupable ? Ou plutôt, quelle vérité lui laissera-t-on entrevoir ? Christian de Moliner revisite d'une manière brillante et originale, un thème classique de la science fiction et nous livre un roman qui tiendra le lecteur en haleine jusqu'à la dernière ligne. Une nouvelle réussite de l'auteur de "Trois semaines en Avril ".
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Il n'aime pas les gens, il préfère la marge, les lieux entre deux, le crépuscule, l'aurore, l'automne. S'il le pouvait, il habiterait au bord du monde. Il la ferait s'asseoir à côté de lui, les pieds dans le vide, à balancer les jambes dans l'inconnu, les yeux dans l'immensité des possibles. Il lui montrerait le début, ce qu'il ne faut pas oublier : il y a des ténèbres à la surface de chaque abîme. Il dirait pour elle : que la lumière soit ! Et elle lui sourirait. Nous le savions déjà après la lecture de son premier livre "Nouvelles du Nord", Jean-Pascal Ansermoz maîtrise totalement la concision du verbe. En deux lignes à peine, il plante le décor; en trois mots les sentiments se dégagent et le lecteur n'a plus qu'à se laisser porter, de page en page, par son souffle... aucun temps mort... aucun répit... Qui vibre sous sa plume ? Le personnage ou le lecteur ? Les deux, très certainement, et pour notre plus grand plaisir.
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La femme quitta mon appartement sans me saluer. Je restai seul dans le salon pendant plusieurs minutes, encore abasourdi d'avoir la vie sauvée par la Mort.
Au fond de moi se mélangeaient deux sentiments bien distincts: la joie irrépressible de serrer bientôt mon fils dans mes bras et l'envie farouche d'apprendre très rapidement les arts martiaux." Un pied devant l'autre " est un recueil de treize nouvelles dans lesquelles se côtoient le burlesque, le drame et le fantastique. Au-delà des rencontres improbables, des douleurs indicibles et des confidences farfelues, les personnages se découvrent. Parfois trop tard. Mais ils apprennent. Parce qu'on ne finit jamais d'apprendre.
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Cette existence très France profonde, c'est du Zola et du Pagnol réunis ! Quant à l'histoire, où la situer ? Satire ? Roman rose ou noir ? Policier ? Un peu de tout cela sans doute... Un bon moment de lecture en tout cas ! (Joseph Ouaknine)
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La légende raconte qu'Osiris était si vénéré qu'il inspira la jalousie dans le coeur de son frère, qui le tua puis déchiqueta le corps. Patiemment Isis reconstitua le corps entier. Avec l'aide du Dieu Thot , Isis momifia le corps mutilé d'Osiris et le ramena à la vie . Les époux conçurent un enfant , Horus, et Osiris redescendit dans le royaume souterrain pour gouverner les morts pendant qu'Isis restait sur Terre pour élever secrètement son fils.
Deux mille ans plus tard, cette légende vit-elle encore dans le grand désert occidental à l'insu du monde entier. Ce roman vous apporte la réponse, mais est-ce la vérité oe...
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Simon a dix ans lorsqu'il apprend la faillite de l'exploitation agricole de son père et le projet de vente du château familial. Son grand-père est islandais. Avec son vieil ami Blaise, homme à la retraite et ancien entraîneur de pur-sang, il va échafauder un plan. Ce roman, sur fond de paysages grandioses du pays des glaces et du feu, est une histoire d'amour et de tendresse, une leçon de courage, la volonté de ne jamais baisser les bras quoi qu'il arrive.
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Hier encore, nous étions au lycée ou sur les genoux de notre mère... Hier?... Mais bon sang! Que s'est-il passé pour que cet hier soit déjà si loinoe Pourquoi tout va-t-il si viteoe Et l'autre qui, inlassablement, s'empare de ceux qui nous sont chers... Cet autre dont le choix se rapproche de plus en plus... Le pire, c'est tout ce désir de faire, de créer, de voir qui ne tiendra jamais dans le temps qui nous est laissé... Le temps... "Et la pendule au salon qui dit oui, qui dit non"... Vingt-et-un auteurs ont essayé, le temps d'une nouvelle, d'arrêter ce tic-tac énervant. Découvrez leurs textes et vous verrez qu'ils ont réussi!
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Derrière les murs de la solitude qu'il a dressé autour de lui, Édouard espère seulement oublier le doux visage d'Émilie. Parce qu'il faut bien survivre, il se replie sur le métier de webmestre, un travail où la présence physique des autres ne lui est plus indispensable.
Alors qu'il s'apprête à continuer d'exister au jour le jour, sans consolation mais sans tristesse non plus, sa vie bascule un matin de canicule, avec l'apparition discrète de Nora.
Sa beauté simple et énigmatique, sa grâce naturelle et la tristesse qu'expriment ses yeux noisette envoûteront Édouard.
Il soupçonnera très vite chez elle un mal de vivre inavoué, et découvrira, au contact de ses curieux amis, une partie du secret qui la rend malheureuse.
Mais après un violent orage, la jeune femme disparaît...
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De vieux souvenirs qui refont surface, un départ à l'autre bout de la planète ou une balade dans un parc peuvent être autant de situations banales vécues des centaines de fois; mais que se passe-t-il quand le destin met un doigt dans l'engrenage et qu'il fait basculer les protagonistes de ces nouvelles dans un monde insoupçonné oe
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