Séverine, en couverture de ton livre, me regarde en souriant et semble me dire : « Alors Jacques, dis à Mamounette maintenant ce que tu ressens ! » Je dis à ta maman qu'elle a trempé la plume de son talent au plus profond de son coeur pour écrire des mots qui oscillent entre larmes et rires mais toujours portés par l'amour.
Elle veut être « utile » ! Eh bien ce livre le sera.
« Revisiter hier pour aller vers demain. » Magnifique formule, plutôt que « faire son deuil » tant défendu par les psys.
La faire revivre pour aller vers une voie tranquille.
Chacun trouvera dans cette oeuvre une direction vers l'apaisement.
Affectueusement, Jacques Régent, Auteur, compositeur, parolier.
Le 2 juillet 2021.
Mon premier poème, m'a été inspiré par la Fête des mères, alors que je voulais tellement remercier celle qui m'avait sortie de l'Assistance Publique un peu plus d'un an auparavant ! J'avais entre 7 et 8 ans et c'est elle qui m'avait appris à lire et à écrire pour me faire rattraper le temps perdu...Il n'empêche qu'elle a été stupéfaite de découvrir que non seulement j'avais le goût des mots, mais également celui de les assortir d'un petit air de poésie.Pas d'inquiétude à avoir ! Dans ce recueil, je n'ai retenu que les textes qui m'ont aidée à progresser, à mordre la vie à pleines dents et à développer un optimisme pas forcément évident.Le chemin a été long, les obstacles n'ont pas manqué, la volonté non plus... Je ne parlerai pas de courage car je n'en ai pas plus que tout un chacun. J'évoquerai plutôt l'envie de mener un projet, quel qu'il soit, jusqu'à son terme, avec enthousiasme et obstination. Plus les expériences sont nombreuses, comme vous pourrez le constater à la lecture de ma biographie complète en fin de livre, plus elles vous apprennent, la patience, la persévérance, la bienveillance et l'amour, peut-être les seuls vrais vainqueurs de n'importe quelle épreuve.
Les mots un à un tombent.
De mon arbre de vie.
Faisant de mes écrits d'étranges poésies.
Contournons l'interdit, / pour pigmenter la vie.
Fantasmons chaque jour, / nos histoires d'amour, / le rêve est sans limite / A l'extase il invite.
Professez l'érotisme, / et sans prosélytisme, / faites-le partager / A ceux que vous aimez.
Pour un peu de bonheur / sans leur briser le coeur.
« Depuis la nuit des temps, la poésie résiste aisément aux maximes, aux principes, aux règles de conduite et aux règles de morale. Elle outrepasse quelquefois la censure si l'on se réfère à Charles Baudelaire, à Paul Verlaine, à Arthur Rimbaud et à Stéphane Mallarmé que l'on soit le « Prince des Poètes », Pierre de Ronsart ou « le poète fou d'Elsa » Louis Aragon ou encore « Le Prince des voleurs » , Jean Genet.
Or, au XXIème siècle, les nouveaux poètes en herbe, devançant leurs aînés, ce sont les écoliers et les collégiens, sponsorisés par leurs enseignants dans certains départements comme « Les Amis de Verlaine » à Metz, « Les Joutes Littéraires » de Lyon ou « Les oeuvres Poétiques et Littéraires » de la Lozère qui pérennisent la liberté d'expression poétique, en remettant pertinemment à l'honneur et en valorisant l'Immortelle Poésie !
Car notre Jeunesse aime jouer avec les mots, la magie des rythmes, des rimes et la musicalité des vers en toute liberté et créativité : la Jeunesse Lozérienne redouble d'inventivité dans ses poèmes riches en métaphores lyriques ou romantiques.
« Ce sont des cris du coeur toujours universels ! » « Vive la Poésie, elle embellit la vie ! » « Personnellement, elle est surtout une Amie ! »
« Ce jour est un dimanche et Marin ne sait pas Qu'à bord de son esquif il a franchi les siècles.
Contre le roc de Kalami Se brise une vague violette Faisant naître dans le soleil Toute une pluie de muscaris Près de la maison des poètes ...
Dans l'éternel printemps des plages de Corcyre La mer au loin tisse ses fils de soie Poussant son étrange soupir Corcyre est devenue Corfou la belle vénitienne Et ne serait plus loin d'une Ithaque idéale Où Gaïa patiemment l'attendrait Sous le ciel rafraîchi de la treille ... » Revenu des grands cieux, des sables et des vents, le « Chant de Gaïa et Marin » célèbre les amours de la mer et la terre dans la majesté de la Méditerranée.
Francis Julien Pont signe ici son nouveau roman écrit en vers.
Au jardin mi-clos de nos yeux.
Le cil scintillant étrange champs herbeux ou non loin de nos songes résonne une chanson.
J'ai bu la tasse dans l'eau salée de son chagrin. Graffitis de larmes fait main et qu'on écrase d'un point rageur.
Ablutions rétiniennes souillant les remblais du coeur par un rimmel en déliquescence et puis l'absence.
L'art est une extension de l'âme ouvrant même à beau la porte de l'angoisse.
La poésie a ses errances ou la démocratie des sens et qui palpite comme un pouls à sa gifle.
Un coeur ouvert comme une plaie béante.
A l'âme de ma vie .
Non, viens, ne crains rien, n'aie pas peur, c'est de tendresse Dont j'ai besoin ; penche sur moi ta tête, vois Comme on est bien ; que le pouvoir d'une caresse Fait bien plus que tous les mots, prends ma main, sois toi.
Oublions les colères, les mauvais moments, Ceux qui blessent, qui enlaidissent, qui détruisent ;
Souvenons-nous de nos élans, de nos serments Souvenons-nous de ces bonheurs qui nous construisent.
Regarde, le passé ne nous a pas détruits, Nous avons tant de fois vaincu tant de détresses, Ne perdons plus de temps ; n'existe plus la nuit Regarde, le soleil se lève encor(e). Tendresse.
« Que la route et les chemins vitaux soient prospères au glissement de ton ombre », il s'agirait de voyager. Mais ce voyage singulier c'est l'ombre qui devra le faire nous dit le poème. Formulation, de Pierre Sibé, invite au voyage, ou plutôt aux voyages, mais comme tout bon voyage on n'en décèle que le parcours multiple, ou multiplié par la langue. Voyager dans la langue, et à travers celle-ci, formuler et reformuler, on part et on arrive sans jamais s'arrêter de partir et d'arriver : le voyage est une poétique du cercle, les formulations une poétique du parcours. Entre le voyage et sa formulation, seule une ombre est saisie, la nôtre et celle des choses, en déplacement perpétuel, expression encore feinte d'une « seconde nature » que les tableaux présents nous invitent à parcourir. Et si l'influence de la modernité survole ce recueil, c'est davantage au nom d'une enquête qui lui est étrangère qu'il tire son sens et sa maxime : seul le voyage fera coïncider le « point oméga de la pureté », « la masse des amnésies profondes » et la date « du commencement, de la régénération ». Carnet de voyage, enquête, galerie de tableaux et peinture de la modernité sont les formulations définitives d'un voyage qui n'a pas encore commencé mais que notre ombre déjà parcourt. Ecrire au nom d'une force qu'il faut mettre chacun soi-même en mouvement - même si cette force n'est qu'une ombre - pourrait être l'invite implicite de ces pages ; forcer le mouvement de cette ombre et formuler un voyage... N.M.
Caleb Hintermann signe ici son premier recueil de poèmes.
Dominique Presti est né à Ougrée en 1954, en Belgique de parents italiens.
Dès l'âge de 12 ans il écrit des poèmes. A l'âge adulte il les fait connaître auprès du public sur l'antenne Radio Libre de Lège (Belgique).
Ses poèmes et ses chansons sont écrits avec charme, spontanéité et sensibilité.
Le thème de ce recueil est principalement lié à des moments fort d'émotion qui réfléchis en lui font parler son coeur.
L'Auvergne est mon premier et dernier repère. C'est là, que j'ai pu me faire et me refaire...
C'est ma terre... aux couleurs chatoyantes.
Ainsi que représenté sur la page titre, en couverture, l'auteur Gérard OUAZANA, ici en couple sur une photo heureuse des années passées, chante dans ce recueil : MERCI LA VIE.
Il insiste sur la complémentarité des Homme et des Femmes; du Fruit de leur Amour quand un Enfant vient à la Vie.
Il déplore l'entêtement des Hommes à porter la Mort, malgré ce que l'Histoire devrait nous avoir enseigné.
Et enfin, il se réfère à Simone VEIL, dont la vie et l'action pour la défense des Femmes représentent beaucoup à ses yeux.
Il conclue sur un message d'espoir et de confiance en l'avenir de nos Enfants..
Catherine About de formation littéraire, nous prouve encore qu'il n'y a pas d'âge pour écrire. Amoureuse de la poésie, elle écrit ses premiers poèmes à l'âge de 13 ans qui sont pour elle, un moyen d'exprimer ses angoisses et ses passions d'adolescente.
Elle nous signe ici son premier recueil de poèmes intitulé « PATCHWORK DE POÉSIES » qui exprime fort bien le parcours, la sensibilité et la passion qu'elle a pour la poésie.
Sous une toile d'une riche palette de portraits et de descriptions profondes, l'auteur arrive à nous faire voyager sans manquer de nous toucher.
Daniel Auvray nous présente son recueil de poèmes, d'« Absence » à « Vouloir » qui s'attachent à transcrire quelques-uns des sentiments les plus forts de la vie.
Ils se veulent être un peu comme une « Révolte » contre toute « Adversité ».
Daniel Auvray est né dans le Pays de Caux, entre Seine et Manche. Beaucoup d'éléments de cette région se retrouvent dans les poèmes de ce recueil : falaises, mer, fleuve...
Je pense à toi.
Nuit et jour.
Je pense à toi.
Tous les jours.
Je pense à toi.
Mon tendre amour.
La douleur se décline comme une marche obstinée mais aussi un approfondissement serein. Elle s'enrichit dans son parcours de bien des nuances. Selon le moment de la composition et les résonances saisies par le poète et qu'il essaie de traduire par le rythme et la sonorité de ses vers, cette douleur prend des colorations diverses.
Ces résonances sont un écho (lointain ?) de sa vie intérieure et par ricochet de la vie du monde telle qu'il la ressent.
De sa plume jaillissent les mots et les images dont volontairement il ne canalise que très peu le courant. Ces touches de couleurs variées évoquées plus haut composent un tableau, certes non figuratif, mais dans lequel le lecteur pourra trouver des nuances propres à faire vibrer en lui une musique personnelle.
« Quand les radios se lâchent et se répètent au rythme des informations sur l'actualité, intoxicant les consciences par une profusion de faits divers et une prolifération de commentaires plus ou moins convaincants, pour éviter tout conformisme et contamination, chacun dispose de plusieurs moyens pertinents :
- d'abord, l'accès à la connaissance immédiate des faits réels ;
- puis, la réflexion introspective et la pratique de la dialectique, pour mieux les analyser et les synthétiser ;
- ensuite, comme « l'Emile de Jean-Jacques Rousseau » s'adonner à la méditation solitaire au contact de la Nature dans toute sa diversité, en forêt, au bord de l'Océan, ou de la Méditerranée, bref dans un coin paradisiaque ;
- enfin, observer le Monde dans sa globalité, avec objectivité et impartialité, ses transformations, les comportements des hommes à l'égard de la faune et de la flore environnantes... Alors, la Nature dans toute sa splendeur, nous donnera les clefs, nous apportera peut-être les réponses recherchées, nous permettra de positiver et nous rendra la quiétude et la sérénité ! Pourquoi ne pas l'écrire en Poésie ?
Jeannine Amouroux nous présente ici sont troisième recueil de poèmes.
Tout commence par le déclic.
Une étincelle quoi !
Alors que j'étais en train, de faire la grillade, du lundi de Pâques, en faisant rôtir, de la saucisse de Toulouse, dans la cheminée, pour la douzaine d'amis, venus pour l'omelette ;
Quand je m'y attendai le moins, j'ai lu dans ma tête :
« la machine à recentrer les excentriques » ça c'est le déclic, l'étincelle, le coeur, la tripe, ensuite vient la robe, j'enrobe avec un texte court, et ça fait le cigare !
Prêt à fumer prêt à la lecture, quel est l'inventeur de la machine, à recentrer les excentriques ?
Si ce n'est la psychiatrie moderne, avec son cortège de dialogues, et de bons traitements, voilà le petit texte est bouclé, comme le sont les centaines, de petits textes variés qui composent le livre.
La rime suivie, Rime de charme, Laissons la vivre, Pour la contagion de la splendeur, Sur la paix commune, L'harmonie familiale, Le progrès de l'humanité, Et respect de la dignité des âmes, Et de l'art, A travers la passagère, mystérieuse terre.
Le magique temps, devant l'amour des mots, Et des rythmes, refusent de paralyser la créativité, Où la vie humaine sauve son caractère sacré, Ses émotions et ses plaisirs.
Et le temps nous emporte dans son grand manège. Le vent souffle la muse de ses alexandrins. Le sentiment d'amour qui frissonne le coeur. Poésie ô romance de tes larmes versées. La boutique des mots ces bijoux qui ornent en métaphores fait jaillir tant d'émoi possédé de la transe. Tout disposé à rêver emporté par l'ivresse. Tendre délicatesse qui fredonne à l'esprit. En termes de poésie bijou de la passion. La gemme qui découle de la sève du coeur.
C'est un bouquin qui se lit ;
à fond la caisse.
Quand on n'a pas le temps de lire.
Quand on a chaud dans le corps ;
Et qui fait froid dehors.
C'est un bouquin sans rires ;
Et sans pleurs ;
Plein de clins d'oeil, plein d'images ;
Et de messages.
Pour toujours et tous les jours.