Le recueil Les Ronces de Cécile Coulon est désormais accessible en poche.
Sa poésie est une poésie de l'enfance, du quotidien, de celles qui rappellent les failles et les lumières de chacun.
- Les Ronces convoquent le souvenir de mollets griffés, de vêtements déchirés, mais aussi des mu?res, qu'on cueille avec ses parents dans la lumière d'une n de journée d'été, alors que la rentrée scolaire, littéraire, approche.
- La poésie de Cécile Coulon est une poésie de l'enfance, du quotidien, de celles qui rappellent les failles et les lumières de chacun.
- Cécile Coulon est devenue la nouvelle star de la poésie franc?aise. Sa poésie prosai?que et délicate réussit à toucher un public inédit.
Les Inrocks Trois saisons d'orage (Viviane Hamy), prix des Libraires 2017 Les Ronces (Le Castor Astral), prix Apollinaire 2018 et prix Révélation poésie de la SGDL 2018 Une bête au paradis (L'Iconoclaste), prix littéraire du Monde 2019
En l'absence du capitaine est le nouveau recueil de Cécile Coulon préfacé par Mathias Malzieu !
- Me voilà à trente ans, les deux mains sur la table à écrire un poème pour apprendre à naviguer en l'absence du capitaine.
- En l'absence du capitaine est certainement le recueil le plus intime de Cécile Coulon.
Elle y évoque la disparition de sa grand-mère, ce capitaine exceptionnel, le deuil, les souvenirs et la vie d'après. Écrire des poèmes est alors une nécessité, écrire pour avancer et pour continuer :
J'écris des poèmes de rien du tout pour dire que tout ira bien dans cette vie (...).
Prix Pulitzer 1975, Gary Snyder est l'un des poètes les plus emblématiques de la Beat Generation. Il livre ici un chant inspirant sur la nature et les hommes.
" Je suis assis sans penser au bord du chemin en bois / Je fais éclore un nouveau mythe / Je regarde les salamandres-alligators / le dernier camion parti. " - Tel un chaman ou un chasseur de fantômes, Gary Snyder saisit les forces de la nature et des grands espaces. Il invite " le sauvage " à habiter son écriture.
- Il affirme que les rythmes de ses poèmes suivent ceux du travail physique qu'il accomplit et de la vie qu'il mène, créant ainsi une nouvelle musique. Les traditions bouddhistes et amérindiennes, chinoises et japonaises s'immiscent dans ce recueil. Sa poésie est visionnaire et écologique !
Ces mots traversent les frontières est l'une des anthologies du Printemps des Poètes 2022. Elle met en lumière la poésie contemporaine ! Ici, la curiosité et la diversité l'emportent sur le dogme.
- Cette anthologie du Printemps des Poètes réunit autour du thème des frontières les textes inédits d'une centaine de poétesses et poètes contemporains francophones. Ainsi, elle est le témoin du foisonnement de la création poétique de l'année 2022.
- Ces mots traversent les frontières célèbre la poésie contemporaine et la diversité des voix qui la composent. Ici, aucun courant poétique ni aucune doctrine littéraire ne font la loi. Au fil des pages, vous découvrirez des textes singuliers qui interrogent chacun à leur manière la notion de frontière.
- Le livre est dédié aux poètes disparus en 2022 : Jeanine Baude, Michel Deguy, Henri Deluy, Michelle Grangaud, René de Obaldia, Jean-Luc Parant.
S'intéressant aux chutes les plus rocambolesques de l'histoire, Arthur Navellou décrit avec une ironie noire et une sensibilité singulière les moments du quotidien où l'absurde se mêle au poétique et au tragique.
- " Chasseur-cueilleur de poèmes " Arthur Navellou, rêve, joue et écrit pour " divertir la mort le plus longtemps possible ", au fil des pages, il convoque les fantômes de ses ancêtres, ses souvenirs d'enfance, ses joies et ses peurs.
- Il collectionne les histoires de chutes ascensionnelles et crée une galerie de portraits d'inconnus ayant trébuché. Parmi eux, Franz Reichelt l'inventeur malheureux du manteau parachute, ou Adelir Antônio de Carli qui voyagea dans les airs à l'aide de ballons gonflés d'hélium.
- Il essaie ainsi de tenir debout face à l'absurdité, s'amuse de ses chutes et se relève avec l'envie d'être vivant.
Noir volcan de Cécile Coulon est désormais disponibel en poche ! Ce recueil est celui d'une poésie affranchie, libératrice, terrienne !
- Noir volcan a été écrit sur les routes : dans les wagons, les chambres d'hôtel, au comptoir des buffets de gares, partout où le besoin, et l'envie, de revenir chez soi surgissent.
- Ce second recueil est celui d'une poésie affranchie, libératrice, terrienne. Au fil des pages, le lieu devient un véritable personnage car comme le revendique Cécile Coulon : chacun porte en lui son volcan, chacun se couche la nuit dans un cratère, chacun jette un oeil sur la reine noire .
- Ici, les petits riens du quotidien se succèdent et tracent la trame de notre existence : le premier baiser, un matin d'été, un entretien d'embauche, une bière, un café, une rupture, un voyage en train, l'écriture d'un poème...
Prix Apollinaire, Prix des Libraires, Prix littéraire du Monde, Prix SGDL révélations de poésie
- Billets d'où est la première anthologie personnelle de Laurence Vielle. Elle réunit ses poèmes les plus marquants ainsi que de nombreux inédits qu'elle performe ces derniers temps sur scène. Elle entrouvre ainsi les portes de son univers !
- Ici, Laurence Vielle désire le monde et ceux qui y vivent. Au fil des pages, elle tisse des ponts entre les mots, joue avec la syntaxe et les sonorités, laisse jaillir les images inventant, ainsi son propre langage celui d'une « poésie qui claque, qui déboule, qui emballe. »
« Nous sommes là nous aussi, au fond du trou, au fond de la nuit, au fond des gouffres pour abreuver de nos larmes les fourmis. » - Thomas Vinau explore ici les abîmes de l'enfance et de la solitude. Dans ce récit hanté par les fantômes et les ombres mystérieuses, l'imagination et la littérature sont les seules échappatoires.
- L'enfant grandit dans l'ombre de son père, le gouffre devient alors un refuge à la fois effrayant et rassurant. Il s'évade dans son jardin secret où la nature reprend ses droits. Il navigue à travers les contes et la poésie d'Emily Dickinson.
-Cependant, l'enfant va devoir abandonner l'ombre d'Emily et laisser derrière lui ce monde imaginaire qu'il a construit depuis l'enfance pour accomplir une quête initiatique.
- Mélanie Leblanc interpelle les végétaux, l'eau, le vent, le feu, le minéral et l'animal pour trouver des réponses à l'existence et à l'acte d'écrire : " Apprenez-moi à vieillir avec des fleurs toujours fraîches ", " Apprenez-moi à faire danser mes couleurs ", " Apprenez-moi à écrire les premières gouttes d'une pluie d'orage ".
- Au fil des pages, elle relie grâce aux mots et à la poésie la nature et les humains, l'infiniment petit et l'infiniment grand, le cosmos et l'invisible, les être animés et les êtres inanimés. Elle invite également les lecteurs à se relier dans l'acte de lecture notamment avec ses poèmes visuels et in situ. Ainsi, son chant poétique unit la vie, la mort, les corps, les arts et les paroles.
- Ce que m'a soufflé la ville est une succession de pérégrinations urbaines, d'heures de marche, de trajets en train ou en RER, de bribes de conversations volées. Marcher, ne faire qu'un avec la ville pour percevoir et saisir ce qu'elle murmure et ce qu'elle a à donner.
- Arpenter la ville en quête de soi, marcher pour déjouer l'absence et accepter la solitude : « Le présent, c'est ce qui interrompt la mémoire. Comme les villes le ciel. » - Milène Tournier propose au fil de ses déambulations une autre façon d'habiter la ville : « À toi, qui crois que vivre, vraiment vivre, est sans doute autre chose que ce que tu fais. »
" Au fil des siècles / la langue force le corps à observer / la mort quelques débris aussi / les paradoxes remontent / à la surface le récit s'installe " - Temps réel du poème est la première anthologie personnelle de Nicole Brossard. Elle réunit ses poèmes les plus marquants ainsi que de nombreux inédits.
- À travers l'écriture, Nicole Brossard essaie de résoudre les énigmes de l'existence, de l'être humain et de saisir le frémissement du monde.
- Nicole Brossard joue avec les mots, la syntaxe, elle " trame la langue " afin de révéler une nouvelle présence au monde et l'intimité de l'être.
Florentine Rey capture les détails, saisit l'instant, collectionne les mots et les images. Ses poèmes sont des instantanés, des ouvertures étroites sur ce monde où le futur a déserté. Elle sait que l'oxygène vient des mots, elle joue avec eux et avec ses souvenirs. Elle nous dévoile ainsi sa " machine à pampille ".
- Au fil des pages, Florentine Rey interroge avec fantaisie notre rapport au collectif, au corps, au langage. Ses carrés de mots centrés dans la page sont autant de trous de serrure par où regarder le monde. Dans l'intranquillité de ces lieux, nous voici happés de toute part par des " chroniques " à l'élan vital.
- L'écriture semble guidée par la nécessité d'une réconciliation entre l'intime et le dehors. Là encore, elle travaille le rythme, les syncopes : ruptures et reprises, arrêts et avancées, ellipses, en tentant de ne pas exclure l'humour ni l'émotion.
- Elle souhaite que la lecture se fasse comme un branchement, le texte s'allume et le courant passe à travers les mots.
À travers La poésie est invincible, Abdellatif Laâbi proclame l'importance de la poésie, de la lire, l'écrire et de coexister avec elle. Une écriture empreinte d'humanisme et toujours soucieuse du combat à mener pour plus de justice et de liberté.
- À travers La poésie est invincible, Abdellatif Laâbi proclame l'importance de la poésie, de la lire, l'écrire et de coexister avec elle : " Rien à faire j'ai beau essayer de " chasser " la poésie elle revient au galop eh oui, elle est mon " naturel " ma première langue." - Sa poésie est une poésie du présent, une célébration inconditionnelle de la vie. Abdellatif Laâbi assemble anecdotes et fragments de pensées personnelles et réaffirme les combats à mener pour plus de justice, d'égalité et de liberté´ : " Comment l'un de nous un jeune homme à peine sorti de l'adolescence en arrive-t-il à bondir sur son prochain et lui trancher la tête comme ça ! ".
- En ces temps d'incertitude, La poésie est invincible est une note d'espoir : " Rien ne l'arrête ni la cruauté des hommes ni celle des dieux ni les rodomontades des puissants ni les verdicts irrévocables de la mort ".
« Que fait le poème devant le tissu du monde, devant des photos qui ont vu ce monde ? » - James Sacré a remonté´ le fil des années et a réuni des poèmes presque oubliés ainsi que de nombreux inédits pour composer Une rencontre continuée.
- Il sonde l'espace-temps entre la vie et l'écrit. Il joue avec les sonorités de la langue, varie les rythmes et tisse un pont entre les arts. Avec lui, la terre, les cailloux, les tissus, les pommes de terre ou les tuyaux deviennent poétiques.
- La poésie de James Sacré se loge partout, dans la vie paysanne, dans les souvenirs, dans les motifs, là où on ne l'attend pas.
Thomas Vinau a remonté le fil des ans pour retrouver des poèmes devenus introuvables ainsi que des textes inédits.
Le Coeur pur du barbare se compose de trois parties dont les deux premières ont connu une première vie : « Fuyard debout » et « Les derniers seront les derniers ». La troisième section, « Poèmes d'une Amérique imaginée », est entièrement inédite.
L'auteur assemble des petits riens du quotidien comme l'orage d'un soir d'été, la lumière d'une fin de journée ou le souvenir fugace d'un rêve. Il leur apporte une valeur profonde, parfois philosophique, toujours émouvante, sous l'égide des artistes qui le fascinent et le nourrissent, comme Richard Brautigan, Raymond Carver, John Fante, Arthur Rimbaud, Sylvia Plath, Jim Morrison ou Basquiat.
- Il faut toujours se préparer à perdre est la première anthologie personnelle de Ludovic Villard. Elle réunit ici ses poèmes les plus marquants ainsi que de nombreux inédits. Sa poésie sensible et incisive oscille entre lumière et noirceur.
- Au fil des poèmes, Ludovic Villard convoque ses souvenirs et les figures des personnes qui l'inspirent et le nourrissent. Il révèle ses doutes, ses angoisses et les fantômes qui le hantent : « Ni le temps ni personne n'a tenu promesse / nous avions l'âge ne de pas douter / Puis le wagon s'éloigna, nous saluant d'un jet de fumée noire / Depuis nos pieds n'ont pas bougé. » Il dépeint ainsi avec lucidité, sagacité et une pointe d'ironie nos vies et surtout celles des oubliés, des invisibles de notre société.
Topologies, contes d'Athènes est un recueil sensible sur le deuil d'un père, où les souvenirs sont réveillés par la mythologie et les paysages grecs.
- D'Athènes à Kaboul, de Kiev à Moscou, Joanna Dunis épuise les paysages et les mythes qu'ils renferment, condition de sa survie dans un présent envahi par la mort et le deuil à venir, l'amour impossible.
- Enchâssant la mort du père dans les figures du passé et les espoirs d'un lendemain plus lumineux, "Tout ira bien, parce que la mer, la lune et l'Odéon", elle offre une réflexion bouleversante sur les échos qu'entretiennent à tout instant vécu sensible et géographique.
- Mine de rien est la première anthologie personnelle de Rim Battal. Elle réunit ses poèmes les plus marquants ainsi que de nombreux inédits. Sa poésie s'inscrit dans une tradition poétique de l'intime, où l'intime est politique.
- Au fil des pages, elle s'intéresse aux corps, aux sexualités, à la maternité, aux rapports de pouvoir dans l'amour filial et plus largement à l'état actuel du monde. Elle explore et joue avec les différentes facettes des genres, esquissant ainsi un nouveau modèle de féminité !
Avec Mine de rien, Rim Battal entrouvre les portes de son univers !
L'anthologie Haute tension réunit des poètes francophones de tous les continents. Le livre fait entendre des voix puissantes et originales de femmes et d'hommes de générations différentes, venus de divers pays et imprégnés de diverses cultures. Tous ont choisi d'écrire en français.
C'est ainsi l'universalité et la haute exigence de leurs poèmes qui a retenu l'attention de Sylvestre Clancier, initiateur de cet ensemble. Constituée essentiellement de poèmes inédits, cette anthologie permet de découvrir ou redécouvrir une quarantaine de poètes d'importance. Elle leur permet aussi de donner à lire leur conception de la poésie. En quelque sorte une forme «d'art ou de visée poétique »pour aujourd'hui et demain.
- Des yeux aux multiples facettes nous ouvrant, par une vision grand angle en simultané, les portes de la perception. Des yeux plein la tête pour accueillir, ensemble et en même temps, comme au travers d'une passoire, dans un dérèglement du sens et des sens, les morts et les vivants - Imprégnée de surréalisme, l'écriture de Laure Cambau s'attache à sonder l'ordre et le désordre du monde.
- Sa poésie joue avec la langue, la syntaxe et les sons. Elle mêle ironie, fantaisie et gravité, ouvre toutes les portes de la perception dans un équilibre permanent entre « la fertilité des sons » et la « réalité magique des mots ».
Poèmes pour apprendre à lacer ses souliers est une porte d'entrée dans l'univers de Serge Pey. Au fil des poèmes, il scande des histoires, des anecdotes, des fragments de pensées.
-Selon Serge Pey « un poème est presque toujours écrit par ceux qui ne savent pas écrire de la poésie ».
- Poète nomade et adepte de la poésie action, Serge Pey écrit ainsi sa poésie. Au fil des poèmes, il scande des histoires, des anecdotes, des fragments de pensées.
- Serge Pey questionne le monde et joue avec ses mystères. Il interroge également l'acte de créer, d'écrire et les champs souterrains de la théologie négative. À travers Poèmes pour apprendre à lacer ses souliers, il dresse le portrait du poète d'aujourd'hui
Équilibriste de passage est la première anthologie personnelle d'Albane Gellé. Une écriture qui oscille entre le passé et le présent, entre l'intime et l'universel !
Ici, Albane Gellé entrouvre les portes de son univers.
- Équilibriste de passage est la première anthologie personnelle d'Albane Gellé. Elle réunit ses poèmes les plus marquants ainsi que de nombreux inédits. Sa poésie est à la fois lumineuse et sombre. Elle convoque de nombreuses émotions : la joie, la tristesse, le doute, la peur ou l'espoir.
- Au fil des poèmes, Albane Gellé évoque des souvenirs, le deuil, l'amour, des bribes de conversations et des fragments de vie. Elle construit un univers fragile et aérien où la nature et l'eau occupent une place centrale. Son écriture oscille entre le passé et le présent, entre l'intime et l'universel.
« Je ne sais pourquoi les poètes ne sont pas encore partis avec les oiseaux migrateurs ! » - L'ombre du Liban se déploie dans les poèmes de Ce qui restera. Issa Makhlouf nous murmure les souvenirs de l'exil, de l'errance, du conflit et de la tragédie vécue par un peuple. Mémoire intime et mémoire collective se tissent dans l'énigme du temps et réaffirment les combats à mener pour plus de liberté.
- Issa Maklouf dévoile la fragilité, les blessures, les doutes et les peurs qui se cachent derrière chaque homme : « Qu'y a-t-il là-bas dans l'autre facette de notre sang ? », « Comment mesurer les désirs et les sentiments / l'effet des baisers sur les blessures ? » Face à cette impuissance, les mots peuvent sembler inutiles et les poèmes paraitre éphémères. Pourtant l'écriture d'Issa Makhlouf est fulgurante et interroge l'absurdité de nos vies.
- Alexandre Bonnet-Terrile poursuit sa recherche sur le rythme, la forme et la construction de ses poèmes : « Fixer des formes nées du hasard du vers libre. Les prendre comme normes pour l'écriture à venir. Formes libres imposées. Convertir le libre désordre, voisin de la mort, en nouvel élan. » - Il déambule ici dans les rues et les parcs de Paris, de Rome, de Turin ou de Palerme. Il scande des bribes de conversations, des souvenirs, des fragments de pensées mêlant joies et inquiétudes.
- À travers sa poésie, il évoque, l'intime, l'amour, l'amitié et la nature aux prises avec la ville.