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Warum
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Il découvre que son père a navigué dans les océans à bord d'un galion pirate et a affronté contre toutes sortes de créatures, d'ennemis et de phénomènes météorologiques.
Ulysse embrasse alors la carrière de marin et se jette dans les bras de l'océan, part à l'aventure vers l'inconnu, sans autre compas que son désir de montrer à son père qu'il peut, lui aussi, devenir une légende.
Au fil des chapitres, le lecteur passe de créatures impossibles, en trésors ancestraux, des îles aux continents perdus, découvre des civilisations submergées, affronte des tempêtes terribles, des pirates mal lunés, toutes merveilles qu'on découvre par les yeux émerveillés d'un garçon élevé dans une cage dorée de l'aristocratie londonienne Le livre multiplie les références : à Moby Dick, à Ctulluh, à l'ile Mystérieuse, à Robinson Crusoe, au sous-marin jaune des Beatles ou aux personnages de la mythologie grecque.
Le dessin d'Alcatena, à la plume, nerveux et fourmillant de détails réalise des prodiges techniques à tomber à la renverse, pour offrir au lecteur un univers foisonnant et inventif. Les textes de Mazziteli ont un force poétiques qui donne un souffle épique à cet étrange voyage à travers les mythes et les légendes maritimes.
Barlovento mélange la noirceur, le lyrisme, des hommages et références au dessin et à la gravure du XVIIe siècle ... mais fait surtout la part belle est à l'imagination et au fantastique dans sa forme la plus pure.
Alcatena prouve qu'il est un des plus grands génies de la bande dessinée, avec cette oeuvre virtuose, qui est un des must absolu de l'histoire d'aventure et de pirates !Grand format 24.00 €Indisponible
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Une série quasiment muette sur un père et son fils faisant cent farces et vivant milles aventures.
Ecrites entre 1933 et 1936 par un caricaturiste ostracisé par le pouvoir nazi, cette série rencontra un succès énorme malgré -ou peut être à cause- de l époque lourde.
Le père, sorte de Dupont rondouillard et son fils, petit Gaston sans gros nez, traversent la vie quotidienne, s offrent des cadeaux, font l école buissonnière mais aussi gagnent un héritage, vivent sur une île déserte et partent dans les étoiles...
Un monument toujours aussi moderne et inventif, plein d humour et d amour, tout en douceur et la fantaisie. -
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Une maison de mode parisienne autrefois célèbre devenue un peu ringarde, mais qui ne demande qu'un peu de sang neuf pour la faire renaître et flamboyer !
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Les amandes vertes
Anaële Hermans, Delphine Ehermans
- Warum
- Civilisation
- 17 Février 2016
- 9782365351294
PRIX MEDECINS SANS FRONTIERE 2011 - Rendez-Vous du carnet de voyage de Clermont Ferrand.
Deux soeurs survivent.
L'une est en Palestine, volontaire dans des programmes d'aides, oscillant entre ses amis palestiniens et ses amis israëliens. L'autre est dessinatrice, restée au pays, à Liège, en Belgique.
De leur correspondance est né le livre LES AMANDES VERTES qui tente de restituer une réalité complexe, à travers le prisme de l'expérience d'une jeune femme qui essaie de partager ses sentiments et ses aventures. -
LE RALLYE est un bar de quartier populaire.
Autours de lui tourne toute une faune d'habitués, plus ou moins adaptés à la vie : flic, magouilleur au grand coeur, serveuse paumée, immigré intégré ou pas, retraités, alcooliques, joueurs de cartes...
A travers les petites histoires qui émaillent de ces habitués, Pierre Place dresse un portrait au lavis clair obscur de bons nombres de ces quartiers, qui oscille entre les laissés pour compte et les démerdards.
Section des incontournables d'Angoulême 2010 -
Un auteur de bande dessinée est invité à retourner pendant un an en Seine Saint-Denis quinze ans après avoir quitté le département.
Entre Clichy-sous-Bois et Montfermeil, il partage son quotidien et affronte ses vieux démons, ses préjugés et ses angoisses. -
Second tome de la trilogie KNIFE O'CLOCK, ce livre prend la suite des aventures de Va et Castro qui vont tenter de libérer leur ami Scarper Lee des griffes des polices avant son jour de mort.
Traduction : Anatole PonsGrand format 20.00 €Indisponible
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Grand format 16.00 €
Indisponible
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Coco est un boy au service de Maîtwesse, qu'il aime et qu'il craint car Coco est un pauvre noir, petit, alors que Maîtwesse est une terrible femme blanche, grande, sévère et pas toujours juste avec ce pauvre Coco... A travers ce petit essai parodiant l'imagerie paternaliste occidentale du bon sauvage, entre Banania et «Tintin au Congo», Martin Singer traite avec humour de l'exploitation sexuelle de la femme par l'homme, assimilé au colonialisme.
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Filandreux, n'est pas loin de ce que l'on pourrait appeler un vieux grincheux. Il résiste à tout, au temps, aux modes, aux courants d'air. Filandreux est bavard, d'une mauvaise foi exemplaire, il est un peu cynique, un peu méfiant.
Un peu vieux con grande gueule très jeune encore dans sa tête et très vert, comme les arbres qu'il aime tant.
De grandes déclarations en combines sournoises, Filandreux se décarcasse dans la ville qu'il déteste, vaticinant, critiquant sans rit.
Et pourtant, on s'attache ce grabataire encore assez vert du ciboulot, dont on aurait changé les obsessions... la société, les jeunes, les vieux, les artistes, les clochards... Seuls trouvent gré à ses yeux les étoiles et quelques arbres qu'il croise, aussi décalés que lui dans cette jungle urbaine...
A l'origine publié en trois petites auto-productions, Filandreux trouve désormais une vie en album. -
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Laurel, à travers ce livre retraçant une sélection de ses notes de blogs ainsi que de nouvelles pages inédites, trace un tableau complet du monde du blog. Vous y découvrirez un nombre impressionnant de planches inédites dans ce gros volume au dessin enfantin mais au propos moins naïf qu'il n'y paraît. Laurel, jeune illustratrice, dessinatrice de la série Camilla chez Vents d'Ouest et qu'on peut retrouver dans Spirou, est devenue célèbre grâce à son blog Un crayon dans le coeur où elle se raconte avec un naturel surprenant, déclenchant les réactions les plus extrêmes, de l'adoration à la colère et qui ne laisse pas indifférent.
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Un jeune conscrit israëlien doit partir rejoindre son poste. Dans ses bagages, un tupperware avec la nourriture que lui a préparé sa mère...
Dans ce très beau récit muet, Ovadia Benishu montre les multiples dangers qui menacent ce précieux chargement.
Le livre est précédé d'une brillante introduction par Asaf Hanuka, qui fut le professeur de l'auteur et qui donne tout son sens à ce récit en apparence anodin.
«Tôt ou tard, tout professeur apprend de ses élèves.
Grâce au travail d'Ovadia, j'ai appris à poser un regard nouveau sur Israël.
Sur tous ces endroits quelconques par lesquels on passe pour se rendre ailleurs ou dans lesquels nous attendons dans un but bien précis. Dans son récit, ces endroits-là deviennent uniques et enchanteurs.» Asaf Hanuka
Grand format 15.00 €Indisponible
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Un poil plus de monstres pense-bête Tome 2
John Kenn Mortensen
- Warum
- Decadence
- 2 Décembre 2015
- 9782365351232
Préface de China Miéville C'est chouette, ces petits post-it, et bien pratique au jour le jour. John-Kenn Mortensen aussi est un type chouette. Très très chouette.
Nous avons de la chance, une chance un peu terrifiante, celle de voir traîner son travail tous les jours : apparition blême sur le frigo, vision d'apocalypse scotchée sur un mug de café...
John Kenn Mortensen nous rappelle que nous partageons ce monde avec les monstres.
Avec son trait hallucinant et virtuose, il détourne le matériel de bureau et s'en sert pour ouvrir les portes de l'étrange, laissant nos esprits bouleversés et le monde enchanté.
Que lui demander d'autre ?
- ACHETER DU LAIT - APPELER LE BUREAU - DESSINER DES MONSTRES - CHANGER LE TONER DE LA PHOTOCOPIEUSE - FAIRE UN CAUCHEMAR - APPELER MAMAN Et voilà donc le deuxième tome des Post-it Monster de John Kenn Mortensen. -
Les contes du suicidé ; trois histoires d'amour et de mort d'après Horacio Quiroga
Nine Lucas / Ortiz L
- Warum
- Civilisation
- 9 Novembre 2016
- 9782365352536
Trois histoires gothiques issues de l'oeuvre d'un maître de la littérature sud américaines, Horacio Quiroga.
Fantômes, suicides, meurtres sont au rendez-vous de ces trois histoires, servies par le dessin somptueux de Lucas Nine.
Un petit bijou noir comme l'enfer, par deux représentants marquant de la jeune scène bd argentine, traduit de l'espagnol par Charlotte Marti. -
De retour de vacances, Camille Pot nous offre un panorama des discussions que tout à chacun peut tenir allongé sur une serviette mouillée : réflexion de philosophie de comptoir, drague, déclaration, scène familiale, sagesse régionale, tous les grands classiques et les petites originalités de la discussion de plage sont épinglées par la jeune illustratrice.On retrouve le goût du farniente grâce au travail de cette jeune illustratrice issue des Arts Décoratifs de Strasbourg, son trait stylisé et élégant, sa justesse d'observation et son humour, oscillent entre l'élégance de Sempé, la tendresse d'Aude Picault et le cynisme de Voutch. Un livre pour tous les nostalgiques des bords de mer... autant dire, pour tout le monde.
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Une jeune femme part à la rencontre des vieux de son quartier. A travers quatre rencontres, elle va retracer la vie de toute une génération.Renée l'artiste, Paulette la ballerine résistante, Luigi l'émigré italien et Gégé la femme d'un riche exploitant colonial se prêtent au jeu du souvenir.La guerre, la colonisation, l'immigration, la bohème, autant d'histoires qui parlent d'une époque qu'on traversé ces quatres aînés dont le témoignage émouvant permet le passage de relai à une nouvelle génération.
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Diana, une prostituée, se retrouve à la tête d'un gros paquet d'argent, quand sa copine de trottoir, qui est aussi son ex-mari disparait. Hélas, d'autres sont sur la piste de cet argent. Une fuite-enquête, dans un climat de violence et de misère. Un portrait sans concession du Brésil, mais pas sans espoir ni amour.
Grand format 20.00 €Indisponible
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Tatiana, l'héroïne, est une jeune Mexicaine expatriée à Berlin. Son premier séjour, en 1986, lui avait donné à voir une ville traversée par le Mur et elle crut apercevoir Hitler, déguisé en vieille femme dans un métro bondé... Les thèmes du roman sont posés : à son retour, des années plus tard, le Mur est tombé depuis longtemps. La cicatrice qui en reste hache la ville en deux, et Tatiana part à la découverte des espaces en friche laissés par cette séparation.
Les transports en commun, eux aussi, joueront un grand rôle dans l'histoire, ainsi que le travestissement, échappatoires un peu futiles à la solitude qui s'empare de tous les personnages.
Tatiana travaille pour un historien, un certain Dr Weiss, qui a enregistré des dizaines d'heures de conférence solitaire sur l'histoire de la ville. Chargée de transcrire ces études, elle traversera en écoutant cette voix chevrotante les stations fantômes du métro berlinois et croisera le chemin de personnages étranges. Elle se laissera entraîner sous terre et au-dessus des nuages, à la poursuite d'une Histoire enfouie et de mille autres choses. Ses rencontres dérisoires et pourtant déroutantes, sa solitude, le brouillard, tout contribue à créer une ambiance unique, si propre à Berlin.
Quant aux nuages, ils auront aussi leur rôle à jouer...
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Qui n'a jamais rêvé de pouvoir s'entretenir avec un illustre écrivain disparu ?
C'est justement la chance qu'a notre héros, Paul, heureux possesseur d'un Balzac encadré en chair et en os. Heureux ? Pas si sûr... Le brave Honoré, las du cadre dans lequel il est accroché au mur, prend parfois la liberté d'en sortir. Cela ne va pas toujours de soi : imaginez avoir à partager votre lit avec Balzac sous prétexte que votre conquête du moment est une grande littéraire, ou bien que l'écrivain, susceptible au plus haut point, décide de se venger du peu d'intérêt que vous portez à sa Comédie humaine...
Dialogues et situations absurdes se multiplient pour le plus grand bonheur des inconditionnels de Balzac, comme de ceux qui savent bien qu'il ne vaut pas Flaubert.
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Un pont trop petit pour laisser passer les bateaux dessous, dans une grande capitale ou tous les immeubles se ressemblent. Un architecte qui prend des bains sur le toit des immeubles, des hôtels luxueux au milieu de nulle part qu'on détruit pour les reconstruire à l'identique. Tout un univers surréaliste ou les silences prennent plus de place que le texte et ou le blanc raconte plus que le trait qui vient juste esquisser ce que l'imagination du lecteur complète seule. Une merveille construite autour d'ellipses narratives et graphiques, d'une maturité inattendue de la part d'un tout jeune auteur.
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Au détour d'un festival, Toto, un jeune auteur-blogueur de bande dessinée rencontre le rêve de tous les bédéastes : une fan à gros seins. Sautant sur l'occasion, il la drague sans scrupule et à sa grande surprise, la jeune fille résiste. Mimi, qui est également blogueuse, se lasse de ses études littéraires et songe à se consacrer au dessin. Mimi finit par laisser une chance à Toto, et tous deux, habitués à raconter leurs vies en blog, continuent à le faire conjointement et langoureusement, de petit plan cul à grand rendez-vous amoureux.
Dessinée sans pudeur mais pas sans humour, cette histoire d'amour moderne ne cachera pas un certain engouement pour la poitrine généreuse de Mimi.
Un grand nez, deux gros seins, une fan pleine de talent et son soi-disant auteur raté, la recette d'une complicité artistique drôle et tendre, sous le signe du 95 G.
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C'est la guerre. Des soldats français écrivent à leurs familles depuis leur tranchée. En face, l'allemand, l'ennemi. Philip Rieseberg et David Möhring - tous deux allemands - ont illustré les lettres envoyées par les Poilus par des images montrant les " boches ", en face. Textes et images s'emmêlent, pour nous livrer une vision bilatérale d'une guerre absurde, cruelle, sanglante. On en vient à ne plus distinguer l'ami de l'ennemi, et ce parallèle du texte (en français et en allemand) avec les illustrations fait écho à cette question que pose l'un des soldats : qui est-il, l'autre, en face ? Est-il un homme comme moi ?
Le dessin, d'un clair-obscur rehaussé de rouge sang, traduit à merveille la brutalité des scènes représentées. Il tranche avec la douceur du texte, la tristesse amère de ces hommes qui pensent, à chaque fois, écrire leur dernière lettre, donner leur dernier assaut.