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Diantre
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Elle est grosse, très grosse, et entretient depuis toujours des rapports existentiels avec son gras.
Elle croque avec un humour à double tranchant sa lutte contre ses bourrelets, les orgies de barres diététiques, et le regard d'autrui. source de bien-être zygomatique, cette bd couvre 100% des apports journaliers recommandés en matière drôle... histoire de ne pas laisser le lecteur sur sa faim !
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Maintenant que Lola a de nouveau dix ans (il fallait suivre, infidèles ! Dans Sale morveuse ! T1, notre héroïne de trente ans a fait le souhait de rajeunir de vingt ans et. ça a marché !), après avoir persécuté copieusement ses anciens camarades de classe et terrorisé l'un d'entre eux en lui prédisant l'avenir, Lola a accumulé les gaffes et la voilà bien embêtée... Hospitalisée dans une sorte d'asile pour enfants ! Mais on ne la lui fait pas à elle. Elle n'avale pas ses médicaments, contredit les psychiatres, et fomente une révolution avec les autres enfants, qui finalement ne sont pas si débiles que cela, mais juste différents, particuliers, doués de certains dons que les adultes refusent, ne veulent pas accepter. En plus d'entrer dans la critique féroce du système hospitalier, Gally, comme dans Mon Gras et Moi, traite en filigrane, sous ses coups de pinceaux noirs et acerbes, le thème de la différence et son acceptation par autrui. Toujours aussi drôle, autodérisoire, ce troisième opus avance vers les hypothèses qui se déploieront dans le dernier pour mieux les retourner comme un gant et toujours surprendre le jeune lecteur comme le plus grand !
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La grande Lulusion sauvera le Monde ! Enfin, seulement si ça en vaut la peine. Ce petit bout de bonne femme qui volette dans les ciels, pose un regard tendre, parfois agacé, souvent cynique sur le monde d'en bas. En rouge et en noir, elle s'amuse de nous et de nos petits bobos existentiels, elle appuie là où ça titille. Elle nous deale avec sa copine la mort comme on échange des figurines de plastique à la récrée. Et, c'est à la ploum qu'elle décide de notre sort. Elle se tâte. C'est qu'elle est un peu capricieuse la grande Lulusion ! Lovée dans ses nuages, elle a aussi ses instants de doutes, de douce flemmardise, d'enthousiasme fébrile. Elle n'est pas qu'une super-héroïne, elle est aussi une femme comme les autres.
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Daphné a égaré son portable. Un mystérieux inconnu appelle sur celui de sa meilleure amie et, de RV en RV, les entraîne dans un jeu de piste échevelé ! Préoccupations du quotidien, confidences sur l'école, les parents, les amis, les petits amis.
Cette course folle n'est qu'un prétexte pour aborder avec tendresse et humour le monde des pré-ados et les thématiques chères aux petites filles d'aujourd'hui !
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Déjouer les plans dévastateurs d'une mère diabolique et castratrice obsédée par les boulettes du dimanche.
Affronter un monstre assaisonné à l'origan. Tout faire pour vaincre ses démons intérieurs et sa dépendance aux psychotropes.
Faire son coming out de super héros en collants moule-bite et cape vert fluo. Retrouver un père catho et extrémiste et réussir à lui échapper. Voilà bien des aventures cousues mains pour Bessam et Mucho, les héros les plus hype et top moumoute de l'univers ! De l'humour absurde, délirant, gay friendly, jewish friendly, qui aborde les rapports entre les parents, voire le thème de la dépendance, sous un prétexte à hurler de rire, et avec un trait en trichromie flashy qui égaiera le printemps de tous les amateurs de BD barrée !
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Débarqués d'un vaisseau spatial sur une planète inconnue, Vince le boulet, son copain René et leur chef blonde et tortionnaire ont pour mission de retrouver, au péril de leurs vies, un graal dont ils sont les seuls à connaître l'existence. Pour y arriver, ils doivent se frayer un chemin dans un labyrinthe sombre et inquiétant, sauver leur ami d'une chute mortelle, faire fonctionner le détecteur sans lequel rien n'est possible et rejoindre leur vaisseau... Leur chef est désemparée : difficile de compter sur ces deux ahuris pour retrouver l'objet tant convoité. Pour cette mission, Vince s'est muni de saucisson, de quelques neurones et d'un costume rose. Quant à René, il préfère rigoler avec son copain plutôt que de satisfaire aux exigences de sa boss.
C'est sous la plume pleine d'humour de Peb que naît ce scénario frais et rocambolesque, illustré par le trait caricatural de Sylvain Euriot. Un conte pour tous publics et une histoire désopilante, dans laquelle s'entremêlent amitié, humour et aventure.
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Mi-Shadok, mi-Frustrée de Brétécher, Jeanne porte un regard caustique, décalé, parfois désabusé ou sarcastique, mais toujours humoristique, sur le monde contemporain . Ses traits de lucidité griffonnent avec pertinence et impertinence l'environnement, l'économie, la condition des femmes, la politique, le monde du travail, la société moderne en général, et piquent la réflexion de ses lecteurs tout en forçant leur sourire ! Ce drôle de piaf a déjà été publié avec un succès certain aux éditions Michel Lagarde et traduit au Japon, mais c'est chez Diantre ! qu'il a décidé, finalement, de faire son nid
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Marguerite était partie pour des vacances fun dans le Sud de la France " C'est vrai que c'était magnifique... " : soleil, jeunes de son âge, monos sympas, et une splendide bâtisse du 17e à retaper ! " Jeunes et reconstruction ", tout un programme ! En plus, pas de parents pour la pister. Ou serait-ce l'inverse ? Pas de Marguerite dans les pattes de ses parents ? Et la voilà arrivée au magnifique village de Sauve : chaleur écrasante, adolescents tout droit sortis d'un épisode de Freaks, monos lourdingues et bagne à partir de 5h du mat'... Sans parler de ce mec bizarre qui débarque un soir, canif à portée de main ! C'est vrai que c'était magnifique... sur le papier glacé de la brochure de l'agence... Marguerite a vite compris : ici, c'est " Sauve qui peut " ! Tout va de mal en pis, de crises en conflits amoureux, mais la prose satirique et toujours sautillante de Perrine Dorin force à la vitalité, et le dessin libre et humoristique de Natacha Sicaud (déjà experte en illustration jeunesse) nous emmène sur des chemins de traverse rarement explorés jusqu'ici. Ce roman graphique ouvre de nouvelles perspectives et prouve que l'on peut faire l'école buissonnière des carcans de la bande dessinée classique. Alors " Sauve qui peut " vers cet objet atypique au goût d'été indien !
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La gouniche, on ne sait pas exactement ce que c'est : elle a été une princesse, un pirate, une fée, et elle a décrété qu'elle serait finalement une gouniche qui investirait les pages du web ! Rose, ronde, kawaï, féminine, mais sans formes à la Manara, un petit personnage farfelu et attachant. Cette grande fille aux airs poupins partage avec nous son quotidien : son amoureux, ses amis, ses emmerdes, ses envies compulsives de H&M, de bière, de déco volée à l'arrache dans la rue... Une gouniche, en fait, il nous en faudrait toujours une à portée de main : en tant qu'amie ou qu'amoureuse. Elle est capable de transformer, d'un coup de crayon et de quelques répliques caustiques, une simple historiette de notre vie parfois monotone, en quelque chose de cocasse, de doucement dingue, de sucré comme un marshmallow. Oui, une petite fée, voilà ce qu'aurait pu être notre Gouniche ! Des adolescents aux adultes nostalgiques de bulles roses, elle saura séduire tous les publics ! Gaëlle Alméras, originaire de Lyon, est diplômée de l'École Supérieure d'Art d'Épinal. Elle signe ici son premier ouvrage, au ton à la fois ironique et léger.
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Jean jacques a perdu la tête.
Au sens propre et peut être même au sens figure. sinon, comment expliquer cette tentative désespérée de fumer par le cul ? ses conversation philosophiques avec son chat creveton ? son goût pour les manipulations génétiques hasardeuses ? ou encore la découverte fortuite de jean ville sur slip, un village aux moeurs quelques peu. fantaisistes ? a moins que ce pauvre jean jacques ne soit la victime d'un complot de la head company !.
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Quelle femme n'a jamais rêvé d'être courtisée avec fantaisie ? Quel homme n'a jamais rêvé de devenir un Dom Juan ?
Léon Lanimal n'a pas la côte auprès des dames. Il faut dire qu'il n'a pas un physique d'Apollon et que ce n'est pas un beau parleur. Mais voilà qu'il a une révélation digne d'un documentaire animalier !
Si un insecte aussi peu ragoûtant qu'une punaise peut trouver chaussure à ses pattes, lui, Léon, n'a qu'à s'approprier les techniques de séduction qui ont fait leurs preuves depuis toujours pour conquérir la femme de sa vie : parader derrière rosé au vent, offrir un tas de cailloux dont n'importe quel pingouin serait fier comme un paon, et vomir sur Paulette en gage d'affection, ce qui ferait pâlir d'envie toute femelle scorpion digne de ce nom !
Pas besoin de mots dans ce précis de parades amoureuses, tout est dans l'attitude. C'est comme ça qu'on devient un tombeur, non ?
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Bob et Samantha ; ou l'invention de la brosse à dents
Perrine Dorin
- Diantre
- Blop
- 15 Octobre 2008
- 9782356340092
Bob est un homme à poils et à barbe. Bob est un homme préhistorique. Samantha est une femme à poils et à moustache. Samantha est une femme préhystérique. Bob aime Samantha et Samantha aime son Bob. Mais quand Bob tend ses lèvres pour un baiser, Samantha fait sa Sainte-Nitouche et s'éloigne. Car les faits sont là : Bob chatouille Samantha et Samantha n'aime pas ça. Et puis ces dents ! Non, vraiment, avec des dents pareilles constellées de poils en tous genres, hors de question de faire des bisous et plus si affinités !
Mais alors ! Comment pérenniser l'espèce ? Que va devenir la race humaine ?
C'est là que l'on constate, une fois de plus, que l'amour est source de progrès puisque Bob va se lancer dans l'aventure de l'évolution pour sa chère Samantha : il veut inventer la brosse à dents ! Ahhh ! Quel romantique cet homo pilositus !
Une BD-BD (bande dessinée bucco-dentaire), futée et bourrée d'humour, pour apprendre aux petits comme aux grands l'importance de l'hygiène et de l'amûr.
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« J'aime pas me laver mais j'aime faire des prouts dans mon bain !
J'aime pas la soupe mais j'aime y mettre plein de trucs pour la rendre plus savoureuse !
J'aime pas la rentrée scolaire mais j'aime l'odeur des livres tout neufs ! »
Chaque garnement pourra se reconnaître dans ce recueil de maximes pas comme les autres, et relativiser ainsi ses petits tracas quotidiens. Signalons tout de même que la recette de « la soupe à la Nicoz » a reçu le prix Gault et Millaut 2007 pour sa créativité !
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C'est Martin Vidberg qui le dit, c'est un instituteur qui l'avoue : les instits n'aiment pas l'école. Parfaitement ! Et pourquoi pas ? Ce n'est pas parce que l'on est plus grand qu'on aime se lever le matin, le participe passé ou les fractions.
Bien sûr, comme la plupart des instits, il aime s'occuper des enfants et il a du plaisir à enseigner surtout quand il s'agit d'imaginer tous les moyens possibles pour rendre la grammaire et la géométrie moins rébarbatives. Et, lorqu'un élève finit par utiliser une forme de langage grammaticalement soutenue telle que : « J'eu souhaité que nous allions en récréation», au lieu du traditionel : «Eh m'sieur, jamais on sort?», là, il sait qu'il a choisi le bon métier.
Si enseigner ça lui plaît bien, l'école, non, il n'aime pas. Les instits n'aiment pas l'école s'adresse en fait à tous les élèves qui se lassent parfois des journées scolaires et Martin Vidberg se propose d'y montrer une autre vision du métier d'enseignant pour briser les idées reçues avec humour et juste ce qu'il faut de provocation. Mélange d'un récit personnel et autobiographique, cette description de son métier d'instit s'accompagne de portraits légers et stylisés d'enseignants inspirés des connaissances de l'auteur mais également de personnages de fiction.
La narration, allégrement rythmée par des gags s'adresse tout particulièrement aux enfants en permettant une lecture autonome, mais aussi c'est le souhait de cet instituteur bédeiste, le travail en groupe.
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Quand sa vue s'est mise à faiblir, une jeune costumière commence à voir ce que d'autres ne perçoivent pas. Autour d'elle, les ombres prennent vie, ondulant sur les murs pour se détacher et devenir autonomes. Consciente de ce nouveau monde, elle part en chasse, récolte ici et là ces ombres urbaines qu'elle décide de faire siennes. Au même moment, une certaine Clémence aux allures machiavéliques apparait dans sa vie pour une commande particulière. Les costumes seront en noir, blanc, porteurs d'ombres pour habiller une troupe mystérieuse domptant l'invisible. Une cantatrice en oiseaux sombres, un homme en masque silencieux, des personnages burlesques et angoissants. Le spectacle sera étrange et macabre, le public éclaboussé. Notre costumière, quant à elle, prise au piège dans un abîme aveugle, devra affronter monstre et fantôme amant.