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CHRISTIANE BESSE
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Dans le Harlem des années 1950 se nouent les destins de quatre adolescents : Julia, l'enfant évangéliste qui enflamme les foules, Jimmy, son cadet, Arthur, le talentueux chanteur de gospel et Hall, son frère aîné. Trente ans plus tard, Hall tente de faire le deuil d'Arthur et revient sur leur jeunesse pour comprendre la folle logique qui a guidé leur vie. Pourquoi Julia a-t-elle subitement cessé de prêcher ? Pourquoi le quartet s'est-il dispersé ? Pourquoi Arthur n'a-t-il jamais trouvé le bonheur ? Un roman magistral, où la violence et l'érotisme sont maîtrisés par la tendresse et l'humour du poète.
L'un des plus beaux chants de fraternité, d'amour, d'espérance et d'expiation. Alain Mabanckou.
Baldwin écrit au plus près de la psyché de ses personnages, les inflexions de son écriture, ses images et ses cadences épousent leurs mélodies internes, angoisse, rage, incertitude, et donnent à ce livre ce mélange de force irrésistible, de jaillissement des tréfonds de l'être, et de fragilité, de vulnérabilité d'une nudité sans apprêts. Damien Aubel, Transfuge.
Préface d'Alain Mabanckou.
Traduit de l'anglais (États-Unis) par Christiane Besse. -
Je sais pourquoi chante l'oiseau en cage
Maya Angelou
- Le Livre de Poche
- Litterature
- 30 Septembre 2009
- 9782253127536
Dans ce récit, considéré aujourd'hui comme un classique de la littérature américaine, Maya Angelou relate son parcours hors du commun, ses débuts d'écrivain et de militante dans l'Amérique des années 1960 marquée par le racisme anti-Noir, ses combats, ses amours. Son témoignage, dénué de la moindre complaisance, révèle une personnalité exemplaire. À la lire, on mesure - mieux encore - le chemin parcouru par la société américaine en moins d'un demi-siècle...
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En 1945, Maya Angelou et vit avec sa mère et son beau-père à San Francisco. Elle a dix-sept ans, donne naissance à un fils et décide de prendre son indépendance. De San Diego à Stampse en Arkansas, en passant par San Francisco, cette jeune mère célibataire noire essaie de survivre dans un monde d'une extrême dureté, dominé par les Blancs. Plongée dans une grande pauvreté, elle glisse progressivement vers la criminalité, sans pour autant jamais cesser de chercher à s'élever intellectuellement.Après Je sais pourquoi chante l'oiseau en cage, Rassemblez-vous en mon nom poursuit le cycle autobiographique de cette femme exceptionnelle qui fut poétesse, écrivaine, actrice, militante, enseignante et réalisatrice. On retrouve dans cet ouvrage son combat contre le racisme et la domination masculine, des thèmes toujours d'actualité.Ses mots m'ont soutenue à chaque étape de mon existence. Michelle Obama.Une merveille. Lire Maya Angelou, c'est toujours un choc. Les Inrockuptibles.Roman traduit de l'anglais (États-Unis) par Christiane Besse
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Calcutta, 1838. L'Ibis embarque une poignée de coolies pour l'île Maurice : paysans indiens ruinés, veuve réchappée du bûcher, Française fuyant un mariage sordide, raja déchu, paria chinois. À huis clos, livrée à l'Inconnu et à la haine d'un mulâtre qui joue au petit Blanc, cette Babel de la misère s'unira pourtant, jouant son infatigable espérance contre le destin. Le premier acte d'une trilogie d'une puissance sidérante.
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1839, c'est la révolution à Fanqui Town. L'empereur de Chine est déterminé à chasser les drogues de son territoire, non sans mettre en péril l'équilibre soigneusement entretenu entre négociants américains, britanniques pincés et indiens en soieries. Car à Canton, l'opium est aussi bien monnaie courante que promesse d'avenir. Menacés par la ruine et le déshonneur, les habitants n'ont plus qu'un seul mot d'ordre : défendre leurs intérêts ! Après Un océan de pavot, le deuxième volet de la trilogie de l'Ibis poursuit une saga vibrante, dans la plus belle tradition épique.
" Orchestré par un conteur virtuose, ce Fleuve de fumée est un joyau, une invitation au voyage dans un monde oublié dont Ghosh réinvente la diabolique magie. " André Clavel, Lire Traduit de l'anglais (Inde) par Christiane Besse -
1839. L'empereur de Chine décrète le blocus de l'importation d'opium. Les entrepôts des négociants anglais, indiens et américains sont fermés et leurs stocks brûlés. La flotte britannique s'arme, quitte l'Inde et fait voile vers Canton. Dans le tourbillon soulevé par la guerre, Zachary, Noir américain qui se fait passer pour un Blanc, Catherine, grande bourgeoise frustrée, Kesri, soldat indien, et Shireen, veuve parsie, voient leurs secrets trahis et leurs certitudes bouleversées. Mais tous découvrent ce qu'ils veulent vraiment et s'inventent un avenir. Et tous sont touchés par le drame qui se prépare : la victoire de l'Empire britannique qui scellera l'effondrement de leur monde.
Dernier opus de la splendide « Trilogie de l'Ibis », Un déluge de feu est un mélange épicé de Victor Hugo et de Balzac.
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Dans les moiteurs africaines du kinjanja, morgan leafy, modeste fonctionnaire au service de sa très gracieuse majesté, se voit confier une mission délicate.
Convaincu que l'occasion lui est enfin donnée de satisfaire une juste ambition, il décide d'ouvrir sur la voie du succès un deuxième front en menant à vive allure une liaison avec la fille de son supérieur hiérarchique. hélas, la situation très vite lui échappe, et morgan leafy déclenche une série de catastrophes absurdes, tragiques ou dérisoires dont il sortira épuisé, arroseur arrosé, manipulateur manipulé.
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Ruth est inquiète. Depuis quelques semaines, le comportement de sa mère est pour le moins étrange : elle se sent épiée et ne cesse de répéter qu'elle court un grave danger. Qui pourrait donc s'en prendre à une vieille femme menant une existence paisible dans un cottage anglais ? Personne.
À moins que cette femme ne soit pas tout à fait celle qu'elle prétend être.
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Adam Kindred trouve un homme poignardé dans sa chambre d'hôtel. Paniqué, il fuit en laissant ses empreintes. Témoin gênant et coupable idéal, il n'a qu'une solution : disparaître. En deux jours, il se dépouille de tout et rejoint la foule invisible des marginaux. Traqué jusque dans les bas-fonds de Londres, Adam lutte pour s'extirper des filets d'un inconcevable complot.
Né au Ghana en 1952, William Boyd a enseigné la littérature à Oxford avant de se consacrer à l'écriture, il est l'un des écrivains les plus doués de sa génération. Tous ses ouvrages sont disponibles en Points.
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La grande guerre ne se vit pas tout à fait de la même façon selon qu'on habite au bord de la tamise ou pied du kilimandjaro, à la frontière anglo-allemande de l'afrique orientale.
A l'arrière comme au front, on a bon espoir que la fureur belliqueuse fonde comme neige au soleil, mais on ne sait pas encore qu'il faudra combattre trois mois de plus faute d'avoir eu vent de l'armistice.
La guerre ici est bel et bien meurtrière, mais le climat incongru, les héros " déplacés " de ces colonies lointaines, donnent au second roman de william boyd une tonalité tout à fait dans la tradition des humoristes anglais où constamment le comique de situation sape les velléités héroïques, où l'horreur le dispute à la plus décapante cocasserie.
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Consulter un psychanalyste a parfois des conséquences inattendues : en proie à des troubles sexuels, Lysander croise la fascinante Hettie chez son thérapeute viennois et tombe fou amoureux. Acteur aguerri, il est pourtant démuni lorsque Hettie le conduit à endosser le rôle de sa vie : agent secret. Dans l'Europe en guerre, il traque une taupe de l'armée britannique - toute erreur de réplique serait fatale.
Né au Ghana en 1952, William Boyd a enseigné la littérature à Oxford avant de se consacrer à l'écriture, il est l'un des écrivains les plus doués de sa génération. Tous ses ouvrages sont disponibles en Points.
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Hope Clearweater, jeune et brillante ethnologue, découvre des cas de cannibalisme parmi les chimpanzés du centre de primatologie où elle exerce. Voilà qui met à mal le mythe rassurant du « bon sauvage »... La communauté scientifique se récrie, incrédule. Hope, partie en Afrique oublier le désastre de son mariage fait face à la violence des réactions que cette découverte suscite, dans un pays en pleine guerre civile...
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Logan mounstuart (1906-1991) est un écrivain dont la vie fut, entre tornades sentimentales, aventures et péripéties, une véritable épopée.
Journaliste, il couvre la guerre d'espagne et rencontre hemingway. critique d'art, il se lie à picasso. galeriste, il croise jackson pollock. pendant la guerre, il sert dans les services de renseignements sous les ordres de ian fleming... on l'aura compris, logan mounstuart traverse le xxe siècle et, d'un continent à l'autre, en restitue les bouleversements intellectuels, politiques et sociaux. une fausse autobiographie ? un journal fictif ? plutôt un roman magnifique de vraisemblance où l'auteur prête sa voix à son héros avec une virtuosité de ventriloque et se plaît à mêler la réalité et l'invention, pour le plus grand plaisir du lecteur.
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la communauté pakistanaise d'un faubourg londonien est en émoi : jugnu et chanda ont disparu.
shamas, le frère de jugnu, attend le retour des amants coupables avec angoisse. comment ne pas penser à un crime d'honneur ? car en " anglistan ", on ne négocie pas à la légère les valeurs ancestrales avec celles de l'occident... un livre poétique, foisonnant et tragique, d'une singulière actualité.
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A peine a-t-il soufflé les bougies de son quarante-cinquième anniversaire que l'agent le plus efficace de Sa Majesté se voit confier une mission d'un genre très particulier : faire d'un général "un soldat moins efficace" pour mettre fin à la guerre civile qui déchire le Zanzarim, petit pays d'Afrique occidentale. Mais à son arrivée, son contact local disparaît. Bond se retrouve seul. Game on.
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A 31 ans, Lorimer Black se croit bien armé pour imposer toutes les escroqueries que conçoit la compagnie d'assurances pour laquelle il travaille comme expert. La GGH (du nom de son directeur George Gerald Hogg ) travaille à une grande échelle : assurances d'usines, d'immeubles, d'hôtels. La dernière affaire qu'il a eu à régler a été tout bénéfice : il a découvert son client, M. Dupree, fabricant de mannequins, pendu au milieu des décombres de l'incendie de son usine. On a rangé la mallette des indemnités, mais Lorimer a eu son bonus. Toute la technique de la compagnie est d'intimider le client, de déclarer que le sinistre (incendie, indondation) est son oeuvre et de sous-estimer les dégâts. Le chantage va jusqu'à ce que les clients battent en retraite et acceptent comptant un dédommagement sans rapport avec la somme convenue.
Lorimer est romp u à ces chantages qu'il prend pour du savoir-faire. Ils n'atteignent que des parvenus, avides d'argent, alors qu'il est un arriviste stylé. Lorimer avait tout fait pour oublier qu'il s'appelle Milomre Blocj et que sa famillle, modeste est d'origine roumaine et tzigane. Est-ce pour cela qu'il a de tels troubles du sommeil qu'il est obligé de fréquenter l'Institut des rêves lucides et ne confie qu'à son Livre de la Transfiguration sorte de journal, livre de raison, ses réflexions, ses pensées intimes, ses espoirs, ses désirs, souvenirs, en versets numérotés ?
Pourtant, lui qui se voit déjà le successeur de Hogg malgré la présence d'un nouveau venu, Torquil Hevoir-Jayne, ne comprend pas qu'avec la construction de l'hôtel Fedora, sa compagnie, alliée à une filia le la Fortress Sure, a combiné un coup énorme. Elle a surévalué l'immeuble auprès des promoteurs (Gale-Harlequin), pour 80 millions de livres, mais les entrepreneurs, Edmund et Rintoul qui étaient en retard sur les délais prévus et affolés de devoir payer un dédommagement, ont mis le feu au sous-sol de l'hôtel, qui a brûlé jusqu'au cinquième étage : Lorimer a cru à la bonne affaire de sa vie quand les promoteurs ont accepté un dédommagement dérisoire de 10 millions de livres qu'on leur offrait. Lorimer était tout content de son bonus. Mais il a fait un pas de trop, de son propre chef, il en a parlé à un journaliste financier du Times. Deux jours plus tard, le Financial Times annonce le rachat de Gale-Harlequin par un géant de l'immobilier avec tous les détails et les chiffres des transactions et des participants, une aubaine pour cette entreprise qui battait de l'aile et acceptait toutes les compromissions (avant de se rétablir pour les dénoncer). Hogg a cru à une magouille et a licencié Black pour délit d'initié. Pour ne rien arranger, la soeur de M. Dupree l'accuse du suicide de son frère : il était obsédé par l'approche de sa visite. Lorimer voit sa carrière s'effondrer comme un château de cartes. Le vaillant petit soldat est désarmé. Il n'a été qu'un bouc émissaire même si on lui laisse penser qu'on lui pardonnera.
Trois événements ponctuent cette période de déboires : la mort de son père, son lien le plus fort avec un passé refusé et le symbole de sa trahison, celle de sa voisine, la charmante Lady Haigh, une véritable aristocrate qui lui faisait accepter d'habiter un modeste appartement de Pimlico et l'amour de Flavia Malinverno, une actrice qui lui promet de quitter pour lui son mari et lui propose de partir avec elle à Vienne. Ils vont peut-être l'aider à avoir enfin une image vraie de lui, sans rêves d'acquisitions matérielles ni rêves assistés?
Ce qui pourrait n'être qu'un excellent thriller est chargé de toute une symbolique de cette Angleterre post-thatchérienne. Le livre se passe à Londres, un Londres dominé par les immeubles de Canary Wharf, exemple de l'escroquerie immobilière, le Londres des nouveaux riches roulant en BMW, Mercedes, habillés à l'italienne, mais où l'appât du gain domine toutes les classes ; où les bars, Matisse, St Mark's et autre El Hombre Guapo ont remplacé les pubs d'antan, où tout n'est que paraître, où l'on n'a plus le courage d'assumer son identité sans se donner l'excuse que Gérard de Nerval, Guillaume Apollinaire et Blaise Cendrars avaient changé de nom. Mais il existe encore des héros vulnérables qui n'attendent que la rédemption...
Un Boyd presque complètement nouveau "les thèmes, l'écriture sont annoncés dans les nouvelles" , très alerte dans l'exposition de ce milieu corrompu, très sobre dans son humour, passionnant de la première à la dernière page.
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La rencontre fortuite d'un homme et d'une femme sur une plage de Nouvelle-Angleterre. Un
homme qui a perdu la mémoire et dont le seul souvenir est un prénom, "Sylvie" et quelques mots
de français : « Je t'aimerai toujours ». Un gentilhomme russe contemporain de Tchekhov, qui se
débat entre ses ambitions littéraires et sa jeune maîtresse impétueuse... Autant d'histoires tour à
tour drôles, absurdes, poignantes, comme ces vies qui nous promènent à travers le temps et
l'espace.
En usant de style divers, William Boyd explore magistralement des existences dominées par la
quête ou le manque d'amour.
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Labyrinthes de souvenirs éphémères, instants de vie réels ou inventés, présent inévitablement tricoté dans le passé, tous les récits réunis dans ce recueil portent la marque d'un écrivain fasciné par le cinéma.
Que ce soit avec visions fugitives (un musicologue américain en route pour un village de la meuse en ruine pendant la première guerre mondiale), hantise (un architecte-paysagiste, victime d'une étrange schizophrénie), vidéo pour adultes (le cynisme oxonien dans toute sa splendeur), fantaisie sur une valse aimée (à hambourg, une petite prostituée mélomane rencontre un jeune pianiste) ou encore varengeville (georges braque console un petit garçon).
Ce recueil pourrait aussi - si le titre n'était pas déjà pris - s'intituler " je suis une caméra ".
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A livre ouvert. les carnets intimes de logan mountstuart
William Boyd
- Seuil
- Romans
- 27 Septembre 2002
- 9782020529044
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Bambou ; chroniques d'un amateur impénitent
William Boyd
- Seuil
- Cadre Vert
- 17 Septembre 2009
- 9782020977364
" Plante une pousse de bambou - coupe du bambou pour le reste de ta vie. " Voilà un proverbe chinois dont William Boyd a compris l'ineffable sagesse en revisitant la masse de ses articles et chroniques, c'est-à-dire essentiellement ses écrits de journalisme littéraire. Du coup, muni d'un titre tout trouvé, Bambou, et d'un solide sécateur, Boyd a entrepris un grand élagage dans les millions de mots que, parallèlement à dix romans, recueils de nouvelles et autres scénarios, il n'a pas cessé de s'approprier depuis sa première recension voici près de trente ans. Dans la sélection opérée ici, et qui couvre la période 1978-2004, sont regroupés critiques, commentaires, portraits de " people " (ceux sournoisement délectables du duc et de la duchesse de Windsor par exemple), de peintres, d'auteurs (Rousseau, Camus, et son cher Tchekhov) ou bien de villes (Londres, Paris, Montevideo), qui tous témoignent d'une curiosité constamment en éveil et d'une plume généreuse - plume que pourtant l'auteur, si l'on en juge par ses remarquables articles sur l'art et les artistes, semble avoir parfois souhaité remplacer par un pinceau...