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Leo n'est pas rentrée et le printemps s'entête dans sa douceur. Leo ne reviendra pas. La shérif Lauren Hobler découvre son corps au milieu des iris sauvages. Autour de la mort soudaine d'une jeune fille, Les Âmes féroces tisse plusieurs destinées. Pour élucider un mystère, mais lequel ? Celui de Leo, peut-être, et de ses silences. Celui de Lauren, coincée dans une petite ville qui ne la prend pas au sérieux. Il y a aussi Benjamin, Seth et les autres... Les gens de Mercy, qui pensent tous se connaître et en savent si peu sur eux-mêmes.
Un roman envoûtant, surprenant...
Édition en grands caractères avec la typographie Luciole pour une lecture plus facile. Texte intégral sans modifications ni coupures.
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« - Tu seras un héros, tu seras général, Gabriele D'Annunzio, Ambassadeur de France - tous ces voyous ne savent pas qui tu es !
Je crois que jamais un fils n'a haï sa mère autant que moi, à ce moment-là. Mais, alors que j'essayais de lui expliquer dans un murmure rageur qu'elle me compromettait irrémédiablement aux yeux de l'Armée de l'Air, et que je faisais un nouvel effort pour la pousser derrière le taxi, son visage prit une expression désemparée, ses lèvres se mirent à trembler, et j'entendis une fois de plus la formule intolérable, devenue depuis longtemps classique dans nos rapports :
- Alors, tu as honte de ta vieille mère ? » -
À l'âge de dix ans, abandonnée par sa famille, Kya doit apprendre à survivre seule dans le marais, devenu pour elle un refuge naturel et une protection. Sa rencontre avec Tate, un jeune homme doux et cultivé qui lui apprend à lire et à écrire, lui fait découvrir la science et la poésie, transforme la jeune fille à jamais. Mais Tate, appelé par ses études, l'abandonne à son tour. La solitude devient si pesante que Kya ne se méfie pas assez de celui qui va bientôt croiser son chemin et lui promettre une autre vie. Lorsque l'irréparable se produit, elle ne peut plus compter que sur elle-même... Un roman bouleversant et merveilleux !
Édition adaptée facile à lire : malvoyance ; fatigue visuelle ; troubles de l'apprentissage ; troubles cognitifs ; troubles DYS ; dyslexie ; dysgraphie ; TDA/H ; alphabétisation, FLE. -
Histoire d'amour d'un petit garçon arabe pour une très vieille femme juive : Momo se débat contre les six étages que Madame Rosa ne veut plus monter et contre la vie parce que «?ça ne pardonne pas?» et parce qu'il n'est «?pas nécessaire d'avoir des raisons pour avoir peur?». Le petit garçon l'aidera à se cacher dans son «?trou juif?», elle n'ira pas mourir à l'hôpital et pourra ainsi bénéficier du droit sacré «?des peuples à disposer d'eux-mêmes?» qui n'est pas respecté par l'Ordre des médecins. Il lui tiendra compagnie jusqu'à ce qu'elle meure et même au-delà de la mort. Bouleversant, drôle, tellement beau ! Un roman culte.
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"Cinquante-deux semaines : c'est le temps qu'il reste à Mona pour découvrir toute la beauté du monde.
C'est le temps que s'est donné son grand-père, un homme érudit et fantasque, pour l'initier, chaque mercredi après l'école, à une oeuvre d'art, avant qu'elle ne perde, peut-être pour toujours, l'usage de ses yeux.
Ensemble, ils vont sillonner le Louvre, Orsay et Beaubourg.
Ensemble, ils vont s'émerveiller, s'émouvoir, s'interroger, happés par le spectacle d'un tableau ou d'une sculpture. Empruntant les regards de Botticelli, Vermeer, Goya, Courbet, Claudel, Kahlo ou Basquiat, Mona découvre le pouvoir de l'art et apprend le don, le doute, la mélancolie ou la révolte, un précieux trésor que son grand-père souhaite inscrire en elle à jamais.
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« Pourquoi ?
- Ici, il n'y a pas de pourquoi. » La réponse du kapo d'Auschwitz au détenu N° 174 517, Primo Levi, est emblématique de la déshumanisation des camps de concentration.
Si c'est un homme témoigne sur un ton neutre de cette plongée dans les cercles de l'enfer : de la peur, de la faim, du froid...
Un livre essentiel.
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Trois femmes, trois histoires, trois destins liés. La jeune Ramla est arrachée à son amour pour être mariée à l'époux de Safira, tandis que Hindou, sa soeur, est contrainte d'épouser son cousin. Patience ! C'est le seul et unique conseil qui leur est donné par leur entourage, puisqu'il est impensable d'aller contre la volonté d'Allah. Comme le dit le proverbe peul : « Au bout de la patience, il y a le ciel. » Mais le ciel peut devenir un enfer. Comment ces trois femmes impatientes parviendront-elles à se libérer ? Un roman bouleversant sur la question universelle des violences faites aux femmes.
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Vernon Subutex a levé le rideau de fer de son magasin de disques, durant vingt ans. Puis la crise du disque est arrivée et il l'a baissé, définitivement. Le chômage sans indemnités, la débrouille qui ne dure qu'un temps, la mort de son ami Alex Bleach, la star de rock qui le dépannait généreusement, et c'est la dégringolade, la galère, la rue. D'hébergements provisoires en rencontres éphémères, Vernon Subutex déambule dans Paris, poursuivi sans le savoir par ceux qui convoitent la vidéo en sa possession, le dernier enregistrement de la star du rock. Humour au vitriol, rythme intense, portraits magnifiques, descriptions sans concessions dans cette comédie humaine, inhumaine et urbaine, aussi effarante que réjouissante. Le roman que tout le monde s'arrache, pas étonnant : l'enfant terrible de la littérature française a frappé très fort.
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Le blizzard fait rage en Alaska. Au coeur de la tempête, un jeune garçon disparaît. Il n'aura fallu que quelques secondes, le temps de refaire ses lacets, pour que Bess lâche la main de l'enfant et le perde de vue. Elle se lance à sa recherche, suivie de près par les rares habitants de ce bout du monde. Une course effrénée contre la mort s'engage alors, où la destinée de chacun, face aux éléments, se dévoile. Avec ce huis clos en pleine nature, Marie Vingtras, d'une écriture incisive, s'attache à l'intimité de ses personnages et, tout en finesse, révèle les tourments de leur âme.Édition adaptée facile à lire : malvoyance ; fatigue visuelle ; troubles de l'apprentissage ; troubles cognitifs ; troubles DYS ; dyslexie ; dysgraphie ; TDA/H ; alphabétisation, FLE.
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Clara est coiffeuse dans une petite ville de Saône-et-Loire. Son quotidien, c'est une patronne mélancolique, un copain beau comme un prince de Disney, un chat qui ne se laisse pas caresser. Le temps passe au rythme des histoires du salon et des tubes diffusés par Nostalgie, jusqu'au jour où Clara rencontre l'homme qui va changer sa vie : Marcel Proust.
Tendre, ironique et attachant, ce récit d'une émancipation est aussi un formidable hommage au pouvoir des livres. -
« Bad-jens : mot à mot, mauvais genre. En persan de tous les jours : espiègle ou effrontée. »
Chiraz, automne 2022. Au coeur de la révolte « Femme, Vie, Liberté », une Iranienne de 16 ans s'apprête à brûler son foulard en public. Dans un monologue intime, l'adolescente rebelle se raconte : une fille non désirée parce que fille, vivant sous le joug des hommes, qu'ils soient père, frère, ou ayatollah, rêvant de liberté. Et si dans son surnom, Badjens, choisi dès sa naissance par sa mère, se trouvait le secret de son émancipation ?
Un roman fort et saisissant.
Édition en grands caractères avec la typographie Luciole pour une lecture plus facile. Texte intégral sans modifications ni coupures.
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Au XVIIIe siècle vécut en France un homme qui compta parmi les personnages les plus géniaux et les plus horribles de son époque. Il s'appelait Jean-Baptiste Grenouille. Sa naissance, son enfance furent épouvantables et tout autre que lui n'aurait pas survécu. Mais Grenouille n'avait besoin que d'un minimum de nourriture et de vêtements, et son âme n'avait besoin de rien. Or ce monstre de Grenouille, car il s'agissait bel et bien d'un genre de monstre, avait un don, ou plutôt un nez unique au monde et il entendait bien devenir, même par les moyens les plus atroces, le Dieu tout-puissant de l'univers, car « qui maîtrisait les odeurs, maîtrisait le coeur des hommes ».
Édition adaptée facile à lire : malvoyance ; fatigue visuelle ; troubles de l'apprentissage ; troubles cognitifs ; troubles DYS ; dyslexie ; dysgraphie ; TDA/H ; alphabétisation, FLE. -
Au milieu des années 80, V. comble par la lecture le vide laissé par un père aux abonnés absents. À treize ans, dans un dîner, elle rencontre G., un écrivain dont elle ignore la réputation sulfureuse. Dès le premier regard, elle est happée par le charisme de cet homme de cinquante ans et l'attention qu'il lui porte. Plus tard, elle reçoit une lettre où il lui déclare son besoin « impérieux » de la revoir... Plus de trente ans après les faits, Vanessa Springora livre ce texte fulgurant. Elle y dépeint un processus de manipulation psychique implacable et l'ambiguïté effrayante dans laquelle est placée la victime consentante, amoureuse. Elle questionne aussi les dérives d'une époque, et la complaisance d'un milieu aveuglé par le talent et la célébrité.
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On retrouve Vernon, SDF et mal en point. Ses anciens amis se sentent coupables de ne pas l'avoir accueilli, tandis que d'autres cherchent toujours à récupérer l'enregistrement de la rock star défunte, Alex Bleach. L'histoire continue...
« Rarement le lecteur s'émouvra pour une telle galaxie de personnages. »
Thomas Mahler Le Point
« Une comédie humaine d'aujourd'hui dont Balzac pourrait bien se délecter dans sa tombe. »
Pierre Vavasseur, Le Parisien
« Une grande fresque d'aujourd'hui. On se doutait que Despentes pouvait l'écrire, mais on ne savait pas qu'elle y parviendrait avec une telle grâce. » -
J'ai voulu y croire, j'ai voulu rêver que le royaume de la littérature m'accueillerait comme n'importe lequel des orphelins qui y trouvent refuge, mais même à travers l'art, on ne peut pas sortir vainqueur de l'abjection. La littérature ne m'a pas sauvée. Je ne suis pas sauvée.
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Époux aimant, père de famille attentionné et fils d'un homme de main lié à la pègre locale, Ray Carney, vendeur de meubles et d'électroménager à New York sur la 125e Rue, « n'est pas un voyou, tout juste un peu filou ». Mais voilà, c'est sans compter Freddie, son cousin, son presque frère, qui l'embarque dans ses coups foireux.
Petites arnaques, embrouilles et lutte des classes dans le Harlem des années 60. Des personnages hauts en couleur. Des dialogues drôles et savoureux. Une fresque irrésistible, féroce et pleine d'énergie. Un pur régal !
Édition adaptée facile à lire : malvoyance ; fatigue visuelle ; troubles de l'apprentissage ; troubles cognitifs ; troubles DYS ; dyslexie ; dysgraphie ; TDA/H ; alphabétisation, FLE. -
Chaque année, à la mi-carême, se tient l'étrange « bal des folles ». Le temps d'une soirée, le Tout-Paris s'encanaille sur des airs de valse et de polka en compagnie de femmes déguisées en colombines, gitanes, zouaves et autres mousquetaires. Réparti sur deux salles - d'un côté les idiotes et les épileptiques ; de l'autre les hystériques, les folles et les maniaques - ce bal est en réalité l'une des dernières expérimentations de Charcot, désireux de faire des malades de la Salpêtrière des femmes comme les autres. Parmi elles, Eugénie, Louise et Geneviève, dont le parcours heurté met à nu la condition féminine au XIXe siècle.
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Suite et fin des aventures de Vernon et de sa bande qui vont se faire rattraper par l'ennemi.
La description d'une société rongée par les haines, les tensions et l'incompréhension entre les classes sociales, les appartenances culturelles ou religieuses, est sans concession. L'ultime volet de la trilogie romanesque de Virginie Despentes est saisissant. Un regard porté sur notre monde d'une âpreté inouïe, mais toujours sensible et chargé d'humanisme. Addictif et époustouflant !
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Elle a une vie parfaite. Une belle maison, deux enfants et l'homme idéal. Après quinze ans de vie commune, elle ne se lasse pas de dire « mon mari ». Et pourtant elle veut plus encore : il faut qu'ils s'aiment comme au premier jour. Alors elle note méthodiquement ses « fautes », les peines à lui infliger, les pièges à lui tendre. Elle se veut irréprochable et prépare minutieusement chacun de leur tête-à-tête. Elle est follement amoureuse de son mari. Du lundi au dimanche, la tension monte, on rit, on s'effraie, on flirte avec le point de rupture, on se projette dans ce théâtre amoureux.Édition adaptée facile à lire : malvoyance ; fatigue visuelle ; troubles de l'apprentissage ; troubles cognitifs ; troubles DYS ; dyslexie ; dysgraphie ; TDA/H ; alphabétisation, FLE.
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Paris, années 20, un ancien combattant est chargé de retrouver un soldat disparu en 1917. Arpentant les champs de bataille, interrogeant témoins et soldats, il va découvrir, au milieu de mille histoires plus incroyables les unes que les autres, la folle histoire d'amour que le jeune homme a vécue au milieu de l'enfer. Alors que l'enquête progresse, la France se rapproche d'une nouvelle guerre et notre héros se jette à corps perdu dans cette mission désespérée, devenue sa seule source d'espoir dans un monde qui s'effondre.
Édition adaptée facile à lire : malvoyance ; fatigue visuelle ; troubles de l'apprentissage ; troubles cognitifs ; troubles DYS ; dyslexie ; dysgraphie ; TDA/H ; alphabétisation, FLE. -
À Rome, Ottavia Selvaggio a décidé à quinze ans d'être maîtresse de son destin. Ni ses histoires d'amour, ni le mariage, ni même la maternité ne la font dévier de sa route. Pendant que son mari s'occupe de leurs enfants, elle invente dans son restaurant une cuisine qui ne doit rien à personne. En robe noire et sans frémir, Ottavia avance droit, jusqu'au jour où un homme surgit du passé avec un aveu qui la pousse à douter de ses décisions. Comment être certaine d'avoir choisi sa vie ? Le désir a-t-il une fin ?
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Devant la chute drastique de la fécondité, la récente dictature théocratique militaire à la tête de la république de Gilead, a réduit au rang d'esclaves sexuelles les quelques femmes encore fertiles. Vêtue de rouge, Defred, « servante écarlate » parmi d'autres à qui l'on a ôté jusqu'à son nom, met son corps au service de son Commandant et de son épouse. Le soir, en regagnant sa chambre à l'austérité monacale, elle songe au temps où les femmes avaient le droit de lire et de travailler... En rejoignant un réseau secret, elle va tout tenter pour recouvrer sa liberté.
Le quotidien glaçant décrit dans ce classique de la littérature anglophone vendu à des millions d'exemplaires à travers le monde nous rappelle combien fragiles sont nos libertés.