"Que de belles fleurs sont écloses depuis 22 ans sur l'arbre magique des Dictionnaires Amoureux ! Que de grands et beaux sujets : pêle-mêle, l'Inde, les Trains, le Piano, Shakespeare, l'Islam, le Rugby, le Nord, le Jazz, Napoléon, l'Alsace, le Cinéma, la Chine, le Général, le Théâtre, la Gastronomie, la Grèce...
Avec, çà et là, quelques fleurs atypiques, le Crime, les Faits Divers, ou l'Inutile, qui ont fait dire aux puristes : « Et pourquoi pas la Bêtise, tant qu'on y est !!?? ». Et chacun de souhaiter narquoisement bon courage au malheureux qui hériterait d'un sujet aussi incongru !
Le malheureux, ce fut moi, et le malheureux, qu'on se le dise, est follement heureux du cadeau.
Non seulement parce que la Bêtise est la chose la mieux partagée en ce bas monde, mais aussi parce que son polymorphisme ajouté à son omniprésence en fait un des sujets les plus riches et les plus inépuisables qui soient.
L'homme a écrit sur la Bêtise, des aphorismes, des livres, des chansons ; il a fait et continue de faire des Bêtises, des petites, des grosses, des récurrentes, des stupéfiantes ; il a réfléchi à la Bêtise, ce qui est oxymoron comme tout ; et puis, pour que la fête soit complète, il a sciemment écrit des Bêtises, pour faire rêver et surtout pour faire rire, et, je le confesse, je ne me suis personnellement pas privé de ce plaisir farfelu que j'espère bientôt partagé.
J'ai mis dans ce DAB mes amis, mes amours, mes idoles, mes passions, mes marottes, mes délires, mes coups de griffe, mes coups de coeur, ma joie de vivre... et tout ce que j'ai oublié, le lecteur le trouvera tout bêtement à l'entrée « Lacunes »...
Longtemps, Jean-Loup Chiflet s'est levé de bonne heure, pour se plonger dans le monde jubilatoire de l'humour. De Montesquieu à Coluche, de Feydeau à Frédéric Dard, de Jules Renard à Bourvil, des Pataphysiciens aux Oulipiens et de Molière à Blondin, il a essayé d'en analyser le mécanisme complexe : l'humour est-il vraiment un « excès de sérieux », comme le pensait Tristan Bernard, ou « une tentative pour décaper les grands sentiments de leur connerie » comme le laissait plutôt entendre Raymond Queneau ? Vaste débat...
Dans ce Dictionnaire amoureux, et du fait même subjectif, il laisse aussi libre cours à ses passions pour le nonsense anglosaxon ou les magiciens de la langue que sont Vialatte, Ponge, Prévert et tant d'autres.
Cet ouvrage regroupe plus de 400 de mes pensées. Elles reflètent qui je suis. Une personne qui a un avis sur tout, même sur ce qui ne m'intéresse pas.
Il est conseillé de ne pas lire ce livre mais d'y piocher. Il est donc destiné aux jardiniers, mineurs de fond, chercheurs d'or et à celles et ceux qui cherchent du sens là où il n'y en a pas (et inversement).
L'histoire mythique du peuple juif commence par le rire, celui d'Abraham et de Sarah apprenant que, presque centenaires, ils auront un fils. Et ce n'est pas tout : Dieu ordonne aux futurs parents d'appeler ce fils Isaac, Yitzhak, « qui rira » ! Ce rire juif, qui va du Talmud à Tristan Bernard, à Sholem Aleichem, à Pierre Dac, à Woody Allen, à Romain Gary, à Georges Perec, à Philip Roth, à Rabbi Jacob ou à La Vérité si je mens, en passant par Bergson, Freud et Groucho Marx, est un rire ouvert, tonitruant, irrespectueux de tout, qui défie le destin. En Galicie, à Tunis, à New York, partout. Même à Auschwitz. Dans une baraque, quelques juifs prient. Un d'eux, oubliant où il se trouve, lève la voix. Les autres le rappellent à l'ordre. «Tais-toi donc ! Dieu pourrait t'entendre et se rendre compte qu'il 'en ' reste encore ! » Il ne s'agit pas ici d'un nouveau recueil de blagues, de witz juifs. Dans ce dictionnaire aigre-doux (comme l'aliment préféré de l'auteur, les cornichons), Adam Biro, en consacrant des articles à la « Bible », au « Chemin », aux « Femmes », à la « Modestie » ou à la « Vérité », réfléchit au principe même de l'humour juif, partie intégrante du judaïsme. À ses origines, à sa raison d'être, à sa structure et à son rôle - tout en racontant des witz dont les héros immortels sont Moïshe le tailleur, le docteur Lévy, le petit Maurice, madame Taïeb ou le mythique Ch'ra d'Afrique du Nord. Et le livre se termine sur une question comme celle qu'attend le rabbin qui parcourt son shtetl en criant : « J'ai une réponse, posez-moi une question ! » Mais quelle est donc La réponse ?
Ce livre serait une promenade joyeuse, drôle, iconoclaste dans nos souvenirs, nos émotions aussi futiles que solides. Faire des ricochets au-dessus de la rivière, des cocottes en papier, des canulars, s'interroger sur la fossette de Kirk Douglas, la coiffure du président Giscard d'Estaing, l'expression « peigner la girafe », se rappeler les petits trains électriques, la guitare de Tino Rossi, les télégrammes de première et les speakerines de la télévision...
Ce serait un livre impossible, tant la notion d'inutile est sujette à caution. L'homme est-il plus utile que la langouste ? La pomme de terre est-elle plus indispensable que le liseron ? L'idiot du village moins nécessaire que le membre de l'Institut ?
Ce serait un livre qui musarderait, vantant les mérites de la grasse matinée et des contrepets dans les discours des ministres, le plaisir d'écouter la météo marine quand on est sous la couette, la virtuosité des joueurs de yoyo.
Un livre aussi indispensable qu'inutile.
« Vous savez que j'ai un esprit scientifique. Or récemment, j'ai fait une découverte bouleversante ! En observant la matière de plus près... j'ai vu des atomes... qui jouaient entre eux... et qui se tordaient de rire ! Ils s'esclaffaient ! Vous vous rendez compte des conséquences incalculables que cela peut avoir ? Je n'ose pas trop en parler, parce que j'entends d'ici les savants : « Monsieur, le rire est le propre de l'homme ! » Eh oui !... Et pourtant ! Moi, j'ai vu, de mes yeux vu, des atomes qui : « Ha, ha, ha ! » Maintenant, de qui riaient-ils ? Peut-être de moi ? Mais je n'en suis pas sûr ! Il serait intéressant de le savoir. Parce que si l'on savait ce qui amuse les atomes, on leur fournirait matière à rire... Si bien qu'on ne les ferait plus éclater que de rire. Alors, me direz-vous, que deviendrait la fission nucléaire ? » Une explosion de joie ! Cent soixante-cinq chefs-d'oeuvre d'absurde, de poésie et de rire. L'intégralité des textes écrits et joués, pendant près de trente-cinq ans, par Raymond Devos, l'incomparable, le merveilleux joueur de mots.
?Avec l'arrivée d'un premier enfant, certains papas deviennent des as de l'éducation, des champions de la parentalité, des artistes du combo poussette/couches/biberon. Et d'autres deviennent... Daddy Gaga. Un paternel plein de bonne volonté, mais légèrement dépassé par les évènements, distillant conseils périlleux et recos hasardeuses.
30 questions, 30 tutos, 30 aventures dans ce territoire hostile qu'on appelle la paternité.
Parce que pour Daddy Gaga, le seul atout dont a besoin un jeune papa, c'est de savoir rire de soi.
»Mon mec voulait absolument un enfant, je lui ai fait lire Daddy Gaga, depuis il me laisse tranquille. A moi les soirées arrosées et les grasses matinées! « Une lectrice reconnaissante.
Après Voyages en absurdie, Stéphane De Groodt nous propose la suite de ses chroniques. En véritable jongleur de mots, talent qui lui a valu le prix Raymond-Devos, il nous invite à poursuivre ses rencontres aussi déjantées qu'improbables.
Serge me demande des nouvelles de Vanessa car tout ce qui touche à Paradis l'atteint.
Mime de rien, Marcel Marceau a beaucoup fait parler de lui.
Yoko Ono refusait que j'aille au chevet du leadercool dont elle fut la muse. Et quand la muse-gueule, on la ramène pas.
Charlot me répond avoir simplement réussi à trouver sa voie à une époque où le cinéma muait.
C'est à Palo Alto que j'Atari car Steve Jobs a voulu dans la Silicone Caner.
En bonus, le meilleur de son Courrier des téléspectateurs imaginaire livré dans La Matinale de Canal+.
Amoureux de la langue française et jongleur de mots, Stéphane De Groodt revisite à sa manière, drôle et absurde, les expressions de notre langue. Un ouvrage inédit dans la droite ligne de ses best-sellers, Voyages en absurdie et Retour en absurdie.
Dernier carat « Il est dit que c'est le dernier carat parlé qu'aura raison. » C'est Byzance !
« Non, c'est Istanbul. Indique qu'il serait grand temps de mettre à jour votre GPS. » Sur un coin de table « Expression que nous devons aux chevaliers de la Table ronde. » Dessins de Raphaël Cruyt
Stéphane De Groodt propose un recueil de ses meilleures chroniques. Sur un ton très décalé, il joue avec les mots avec une absurdité revendiquée et s'inscrit dans la droite ligne de Raymond Devos. Humoriste à la notoriété grandissante, ce recueil est son premier ouvrage publié.
L'intégralité des sketches de Raymond Devos, maître inoubliable du rire et du « flagrant délire », en un seul volume. Cent soixante-cinq chefs-d'oeuvre d'absurde, de poésie et de rire. Une explosion de joie et de souvenirs servie par un incomparable joueur de mots !
« Vous savez que j'ai un esprit scientifique. Or récemment, j'ai fait une découverte bouleversante ! En observant la matière de plus près. j'ai vu des atomes. qui jouaient entre eux. et qui se tordaient de rire ! Ils s'esclaffaient ! Vous vous rendez compte des conséquences incalculables que cela peut avoir ? Je n'ose pas trop en parler, parce que j'entends d'ici les savants : "Monsieur, le rire est le propre de l'homme !" Eh oui !. Et pourtant ! Moi, j'ai vu, de mes yeux vu, des atomes qui : "Ha, ha, ha !" Maintenant, de qui riaient-ils ? Peut-être de moi ? Mais je n'en suis pas sûr ! Il serait intéressant de le savoir. Parce que si l'on savait ce qui amuse les atomes, on leur fournirait matière à rire. Si bien qu'on ne les ferait plus éclater que de rire. Alors, me direz-vous, que deviendrait la fission nucléaire ? Une explosion de joie ! » Raymond DEVOS
Après ses deux best-sellers Voyages en absurdie et Retour en absurdie, Stéphane De Groodt nous propose le best-of de ses chroniques avec en bonus 10 chroniques inédites écrites pour "le Grand Journal" au Festival de Cannes 2015.
Passé maître dans l'art de jongler avec les mots, ce qui lui a valu le prix Raymond Devos, il nous invite à redécouvrir ses chroniques aussi déjantées qu'improbables...
« Je change de file est mon histoire. L'histoire d'une petite fille iranienne arrivée sans ses parents en France à l'âge de 10 ans.
En 1979, il y a eu la révolution, en 1981, la guerre Iran-Irak. Je suis envoyée dans ce pays symbole de liberté, égalité, fraternité et laïcité avec mes deux grandes soeurs, ma tante et ma grand-mère.
Mes parents sont restés là-bas, pour continuer à travailler et pour nous envoyer de l'argent, mais sans doute aussi parce qu'ils avaient compris qu'en quittant l'Iran ils n'y retourneraient pas de sitôt.
Apprendre une langue, un peuple, un pays, ses droits, ses devoirs, sa mentalité. Apprendre avec les moyens du bord, avec les mimiques, les sons, l'école, la télévision et le mimétisme. Apprendre à ne pas se vexer, à encaisser les réflexions et les questions idiotes, mais apprendre avec les bienveillants aussi jusqu'à l'obtention du passeport français, celui-là même qui permet de changer de file à l'aéroport, passant de la file «All Passports» à la file «UE».
Ce livre est une déclaration d'amour à ces deux pays.
L'un m'a vu naître, l'autre m'a fait renaître. »
On a tous rêvé d'écrire à ceux qu'on admire ou qu'on déteste, à ceux qui nous font rire ou pleurer... On a tous rêvé de les remercier ou de leur demander de se la fermer... De les célébrer ou de leur régler leur compte... On en a tous rêvé, Michaël Hirsch l'a fait ! Parce qu'il a les mots pour le rire et qu'il n'est pas du genre à rater sa correspondance. Alors si être ou ne pas être est depuis bien longtemps la question, Lettre ou ne pas Lettre, est peut-être enfin la réponse !
Vous trouverez dans ce livre des missives téléguidées et des hommages collatéraux à des personnalités aussi diverses et variées que Fabrice Lucchini, Elise Lucet, Woody Allen, Donald Trump, Miss France, et même aussi à Monsanto, au Beaujolais Nouveau, à Nutella, à la Saint-Valentin, à Facebook, au tatouage...
Crées à l'origine en vidéo sur sa chaîne Youtube, et relayées chaque semaine par le Huffington Post, ces chroniques allient pour notre plus grand plaisir, absurde, tendresse et humanité.
« Chers Américains, en élisant un type qui s'appelle Donald, vous risquez fort de vous faire Mickey. Alors avant qu'il ne soit trop tard, pensez à la ligature des Trump. » « Cher Woody Allen, vos films font du bien à l'âme : c'est du cinéma docteur. » « Chère Elise Lucet, vous êtes devenue pour nous un véritable repère, L'Elise au milieu du Village. Et en nous alertant sur ce monde qui ne cesse de clocher, vous nous donnez l'alarme à l'oeil. » « Cher Monsanto, la nature tu t'en friches complètement ! La seule force de tes OGMs c'est qu'avec une seule graine de maïs tu arrives à te faire autant de blé ! » « Dans un James Bond il y'a deux types de méchants: les hommes et les femmes. Ceux qu'il tire en rafale, et celles qu'il tire en raffolent. »
Avoir un vécu de migrante (Maroc et Algérie), d'observatrice du Québec (j'y suis arrivée en 1990) et de la France (où je vais souvent), étant par ailleurs une grande voyageuse, le monde, les sociétés tels qu'ils évoluent ne cessent de m'interroger. Sur la manière dont voit la vie et on la vit, sur les enjeux brûlants d'actualité que sont la famille, l'immigration, la religion, la laïcité, la radicalisation, les technologies, la culture, la communication, la création et la répartition de la richesse, l'éducation, les jeunes, la place des femmes, etc. Toutes ces questions, à l'aune de mon expérience et de mes constats, m'interpellent. Cet essai en est la preuve, comme la réponse.
Dans l'ouvrage, avec franchise et je pense bon sens, je m'efforce de traiter sans faux semblants les grands thèmes qui concernent chacun. Le tout manié avec humour puisque rire aide à réfléchir. Des thèmes comme La famille (Je plaide pour un retour aux valeurs fondamentales: l'écoute, la solidarité, le sens du partage, du service, de la responsabilité, etc.), les affaires (nécessaires, elles ne devraient pas servir à creuser le clivage entre riches et pauvres, il faut donc développer « une éthique planétaire des affaires et du travail »). Je réfléchis aussi, entre autres, à la place des Jeunes qui, à force de crier à l'aide sans obtenir de réponse, sont convaincus que personne ne s'intéresse à eux, donc créent leur propre univers, créant des parents et des enfants qui se regardent mais ne se voient pas.
Au fil de ces multiples thèmes, une vérité s'impose : quelque part sur le chemin, nous avons abandonné l'essentiel, le contact humain. Et, pour le retrouver, puiser dans les coutumes, la culture, les habitudes des différents pays que je connais bien peut être une solution.
Chaque après-midi sur Europe 1, Laurent Ruquier et son équipe d'" On va s'gêner ! " se réunissent pour commenter l'actualité et improviser des joutes verbales qui réjouissent les auditeurs depuis six ans déjà.
Vous retrouverez dans ces " meilleurs moments " les humeurs de Pierre Bénichou, ses affrontements avec Gérard Miller, les saillies de Philippe Geluck, les remarques les plus candides de Steevy, les étonnements de Claude Sarraute, les brimades subies par Paul Wermus, les coups de gueule de Jean-Bernard Hebey ou Christine Bravo, l'humour british de Christine Ockrent, la drôlerie de Christophe Alévêque ou Jean-Luc Lemoine, l'à-propos d'Isabelle Mergault ou Charlotte de Turckheim, les jeux de mots de Sophie Garel ou Gérard Hernandez, les oublis de mots de Danièle Evenou, l'esprit de Patrice Leconte, les inventions de Jérôme Bonaldi, sans oublier Pierre Sled, Elizabeth Lévy, Jean Benguigui, Maureen Dor, Peri Cochin, Marie Laforêt, Caroline Diamant, Isabelle Alonso, Isabelle Motrot, Philippe Vandel...
Bref, toute la troupe qui pendant cette saison 2004-2005, orchestrée par Laurent Ruquier, vous a encore fait rire quotidiennement entre 16 h 30 et 18 heures.