Cet ouvrage, de genre humoristique, est composé de différents textes fantaisistes avec un festival de jeux de mots sur fond de dérision et d'absurdité.
Le premier chapitre, intitulé « Dicodébil » - c'est tout dire - n'a vraiment rien d'académique.
Le deuxième, « Cogitations profondes », est tout aussi délirant.
Quant au troisième, intitulé « Les Grands Ecrivains », il est pour le moins iconoclaste.
Le dernier, « Des vers en dévers », est composé de divers poèmes originaux souvent burlesques ou déjantés.
Un grand merci à ma petite-fille.
Solène qui a joliment dessiné.
L'image de couverture.
Maurice Chapuis.
« Durant deux années de ma vie, j'ai travaillé dans une association à vocation sociale de 400 employés. Très vite se sont imposées à moi de grandes réunions mensuelles rassemblant une équipe d'animateurs socioculturels. Tous, nous venions écouter, tel un prêtre en son église, notre éblouissant directeur général. L'excitation provoquée par ce genre d'événement a rapidement laissé place à l'ennui le plus total. L'oreille attentive et le cerveau éteint, j'ai commencé à griffonner quelques phrases extraites de ces conférences improvisées, que j'ai attribuées à des personnalités célèbres. J'avais, sans le savoir, trouvé mon passe-temps favori pour les prochaines réunions à venir. Dès lors, chacune de ces rencontres furent l'occasion de m'adonner à mon nouveau jeu... »
Lucas et Sophie sont un couple sans histoire. Mais Lucas vit davantage « dans sa tête », et s'évade dans l'écriture. Lorsque Sophie découvre cette facette de Lucas, elle comprend qu'il n'est pas l'homme qu'elle imaginait. Tous les deux prennent alors conscience de la distance grandissante qui les sépare et nourrissent, pour des raisons bien différentes, des désirs d'indépendance ; elle parce qu'elle se sent trahie, et lui par jeu. Chacun décide donc de se débarrasser définitivement de l'autre. Mais rien ne se passe comme prévu...
L'auteur nous raconte ce cheminement avec beaucoup d'humour (noir), et nous emmène parfois très loin !
Charly coule des jours heureux dans sa petite famille d'accueil, composée d'Alex, maman divorcée, et de ses trois enfants.
Mais quand, un jour, celle-ci annonce qu'elle est amoureuse, elle déclenche, sans le vouloir, le début des hostilités au sein du fragile cocon familial...
Voilà du bel ouvrage, un travail attendu, sérieux et abouti qui vient à point nommé s'adosser judicieusement à un certain Voyage en Cruciverbie, lui apportant une réelle plus-value.
Le lecteur retrouvera, non sans plaisir, autant d'audacieuses virevoltes que de saltos carpés avant et arrière, et autres volutes langoureuses autour des mots, ces gymnastiques indispensables au bon entretien de l'esprit, si chères à l'auteur.
Attention aux chutes de lettres minuscules qui pourraient survenir les jours de gros temps comme aux envolées de majuscules les soirs de grand vent, aux bourrasques de mots et aux lames de fond qui peuvent engendrer de véritables « mots » de tête.
Il pourrait y avoir de la casse. Alors, si nécessaire, appelez une police, de caractère de préférence, et sur une bonne ligne.
À travers un « petit » voyage dans le sillage de l'humanité, au contact de quelques figures choisies, Dieu s'offre une excursion délibérément caustique et iconoclaste, où la vérité historique côtoie la fiction, pour le plaisir d'en rire !
Depuis le temps que tout le monde L'appelle, L'invoque ou L'injurie, dans toutes les langues et de toutes les façons possibles, Dieu décide de remettre les pendules à l'heure.
Il était temps. Nom de Lui !
Un condensé d'humour à lire sans modération. Ce n'est pas un livre tel qu'on le conçoit généralement mais une suite d'histoires plus ou moins abracadabrantes.
L'épidémie de la Covid a surpris tout le monde et surprend encore car son évolution ne correspond à aucune épidémie rencontrée jusqu'ici. Au début, sujet d'indifférence car sévissant dans un pays lointain, la Covid suscita ensuite étonnement, incrédulité, inquiétude, agacement et finalement mécontentement. Néanmoins, la Covid se prête aussi aux rires, à l'humour et à la réflexion devant nos comportements et nos réactions. Les textes ont été écrits tout au long de l'année 2020. L'auteur alterne contes, poèmes, fables et pastiches de textes. Son ouvrage se veut drôle et poétique, mais aussi philosophique, polémique et instructif. Les notes de fin de texte apportent au lecteur l'origine de certaines informations et l'éclairent sur les références historiques, littéraires ou médicales.
Léonard n'est pas une lumière. La logique de ses raisonnements est celle d'un grand enfant de trente-cinq ans. Il vit dans une cité HLM avec sa mère, alcoolique et infirme. Mais depuis son fauteuil roulant, Léonie n'en est pas moins la tête pensante à la maison. Un jour, Léonard décide de suspendre sa mère au plafond du salon. But de la manoeuvre ? Avoir la paix. Car ce soir, il a invité à dîner Esmeralda, une fille qu'il a rencontrée la veille dans un train de banlieue, et il veut éviter que la soûlographie maternelle (fatale dès qu'elle a accès à son Black & White) ne gâche son dîner romantique. Mais rien ne se passe comme prévu. Un, il cède peu à peu aux pressions de sa mère qui, à force de ruse et d'hystérie tyrannique, parvient à obtenir sa chère bouteille de Black & White, prélude aux pires dérèglements éthyliques. Deux, Esmeralda ne vient pas. Gagné par un pessimisme insidieux, Léonard débouche la bouteille de beaujolais prévue pour son souper romantique. Après quelques verres, accoudé à la fenêtre, il aperçoit, en bas de l'immeuble, un supporter de rugby irlandais qui s'est égaré dans la cité. Unesympathie, réelle ou imaginée, se noue entre les deux hommes. Oubliée Esmeralda, oubliée aussi la mère de Léonard, qui reste suspendue au plafond tandis que son fils descend rejoindre l'Irlandais...
"Ordinaire et lambda, j'ose pourtant"! Et je me cite"! Aujourd'hui livrée à toute mine réjouie de me lire, auteure rebelle assumée, je rédige à qui le souhaite une ordonnance contre la monotonie invasive. Citations inédites, réflexions singulières, jeux de mots facétieux. Bribes d'un esprit amusé, capricieux, réfractaire et sensible, cet ouvrage est le résultat d'un travail assidu aux desseins escarpés": la recherche incessante du mot juste. Humblement, je dédie cette franche besogne à tous les mots, célèbres ou inventés, qui ont survécu à cet étrange voyage. à ceux vaillants, qui, rescapés, sont heureux de vous rejoindre le long de cet ouvrage-découverte. Mais aussi à toutes ces pensées, aux oubliées de la nuit, qui, hélas, ont péri aux petits matins gourmands, englouties, dévorées.""
La mise en dérision d'un quotidien pas toujours simple d'un agent de maintenance qui se trouve dans des situations cocasses. C'est un mélange de jeux de mots, d'humour noir ou blanc, c'est comme vous voulez, ainsi que du vécu et un peu de poésie.
En faisant cette nouvelle, j'espère vraiment aider des personnes à prendre du recul avec leur boulot et à ne plus voir que le côté négatif.
Et si on regardait différemment le négatif peut être qu'on y verrait une belle photo !
Recueil de remarques et réflexions sur la vie, le temps qui passe, l'amour et la mort...Ces réflexions se veulent courtes et (im)pertinentes, faciles à lire et à retenir. Sans prétention, mais toujours avec beaucoup d?humour, ce recueil peut être lu par tous les publics.
La maladie mentale en quelques définitions cocasses , bons mots et humeurs de toutes sortes. Quelques deux cents définitions pour aborder la maladie mentale avec bonne humeur de façon décomplexée et sans tabous, écrites par un auteur lui-même malade et donc connaissant bien ce milieu et son sujet.
Ce livre n'épargne personne, en effet aucune discrimination possible, l'auteur étant misanthrope !
Il manquera sûrement quelques définitions pour satisfaire tout le monde..!
Qui gagnera le titanesque duel mdiatique entre la star Conchita Bond, Drag-queen sulfureuse, et la religieuse Anne-Claudette de Saint-Fion, la tte de la ligue catholique contre le mariage gay, baptise les Bigots homophobes ? Ces personnages sont prts tout, mme vous rvler comment les mdias vous mentent, vous abrutissent et vous manipulent. Ils envahiront vos crans jusqu' la nause, jusqu'au combat homrique entre les troupes de Libration homosexuelle de l'OTAN et le Centre mondial de tlcommunications, tomb aux mains de l'abominable complice d'Anne-Claudette : Adolf Vazozenfer. Conchita Bond vaincra-t-elle les forces de l'intolrance et du fanatisme ? Sauvera-t-elle le monde ?
Que faire dans les embouteillages parisiens, franciliens ou aux abords des métropoles importantes ?
Perdre son temps au sein de la circulation routière ou autoroutière, ou mettre à profit les arrêts, blocages ou ralentissements, en se divertissant au travers de l'audition, de la créativité de l'esprit, permettant le rire et la bonne humeur ?
Aidés par un bien curieux curé et une troupe ambulante de catcheurs, quatre enfants pourchassés par les « féroces de l'ordre » cherchent à fuir l'Hexagonie, pays vivant sous la botte à talonnette de son président. Ce dernier qui veut devenir empereur, pendant ce temps, du fond de son palais organise les cérémonies du sacre. Mais une bande d'irréductibles aux surprenantes méthodes de guérilla urbaine s'évertuent à le contrarier. Et ils ne sont pas les seuls. Nikotine, son épouse exhibitionniste, Gracchus, un émule d'Arsène Lupin, le pape Agapet III, agité de la tiare, Olga Pitonice, la voyante qui lit l'avenir dans le sperme de kangourou, sont autant de nuages bourgeonnant dans le ciel présidentiel. Comme le chante Piquette, un clochard puant et tonitruant : « Ça branle dans le manche. »