Premier roman d'Anne-Marie Derèse, éminent poète de la sensualité et de l'Amour, cet ouvrage ne pouvait être qu'une étape de plus dans le long cheminement de cette écriture rigoureuse et d'un souffle puissant, forgée de longue date sous la houlette de ses maîtres : Andrée Sodenkamp, Liliane Wouters et Alain Bosquet. Nous sommes ici en présence d'un travail de mémoire, patiemment élaboré à partir de bribes de souvenir personnel, en pluie de touches kaléidoscopiques polychromes, miniature après miniature, geste après geste, élan après élan, furie après furie, telle une oeuvre picturale à l'image de la peinture d'Ava Damiane, personnage essentiel du roman. Michel Cliquet
Un récit émouvant, tendre, fort, sur la force de la Foi et de l'Amour. L'auteure, après dix longues années de maladie, connaît une ruine financière, une séparation de couple, un isolement total, qui vont la conduire aux portes de la mort. L'amour, la maturité d'un enfant, vont être le déclic qui va lui sauver la vie. Cet enfant va être la connexion au Divin et à la Foi qui sommeille chez l'auteure. Un chemin d'amour, une renaissance à la vie au bonheur dans la Foi qui chaque jour enveloppe tout son être. Une miséricorde pleine d'amour, de vérités. Une force, une aide, à renaître de ses cendres. Une longue recherche inconsciente et une découverte de Dieu illuminent dorénavant la vie de l'auteure, dans tous les domaines de sa vie. Que l'on soit croyant ou pas, ce livre interroge.
Dans un futur plus ou moins proche, quelque part sur cette Terre, un homme et une femme essaient de s'aimer, de résister à la course au pouvoir et au contrôle prônée par un gouvernement aux valeurs inquiétantes. Lui est scientifique, elle est artiste, et leur détermination à garder leur humanité les réunira. En parallèle, Anne-Françoise et Cirusse, couple modèle de réussite sociale sous la coupe du système en place, tentent de maintenir leur fragile équilibre, mais étouffent dans ce carcan dessiné pour eux. Quand la société a poussé le contrôle à son paroxysme, est-il encore possible d'aimer ? La résistance engendrera dégâts et sacrifices, mais ceux-ci permettront, peut-être, le renouveau tant attendu... Le Conteur, tel un magicien connaissant tout des intrigues des personnages, se mélangera à eux, et servira de guide entre les divers tableaux de cette histoire... Aura-t-il le mot de la fin ?
Fred et Valérie sont mariés depuis plus de vingt ans. En apparence, c'est un couple soudé et amoureux. Fred, gestionnaire de patrimoine, gagne très bien sa vie. Valérie est professeure de français dans un prestigieux lycée parisien où arrive une jeune prof, Virginie, avec qui elle se lie d'amitié. Très vite, la complicité des deux femmes agace Fred. Aidée par Virginie, Valérie prend peu à peu conscience de l'emprise psychologique exercée par son mari...
Violette, la petite fille qui a de grands projets d'avenir, a reçu un violon en cadeau du père Noël. Elle aura une surprise extraordinaire le premier jour après les vacances d'hiver. Pendant les heures de cours, la petite fille rencontrera Monsieur George Chansonneau, aussi connu comme Violoncle, musicien. Il aurait été invité par la maman de Violette pour faire un petit concert devant tous les enfants de la maternelle. À cette occasion, Violette va présenter à ses collègues « son nouvel ami », le violon et elle leur donnera la possibilité de l'essayer. Monsieur George Chansonneau, le violoniste qui deviendra plus tard le premier professeur de violon de Violette, va leur raconter l'histoire du Palais Rouge et interpréter au violon les pièces jouées en concert par le Prince Yany. Certainement, la Fée Cerise aura aussi une certaine contribution dans toute cette aventure.
Moja, en se rendant aux champs, est arrêté et embarqué. Il est ensuite expulsé vers Anjouan. À Mutsamudu, il apprend qu'il a une petite fille. Elle ressemble comme deux gouttes d'eau à sa propre fille, qui est sur l'île aux Parfums. Il l'enlève et retourne clandestinement à Mayotte avec elle. Or, sur l'île française, les arrestations s'enchaînent. Moja confie alors ses filles à des amis mahorais pour assurer leur scolarité, et s'isole avec sa femme au milieu des palétuviers, dans une cabane perchée sur un arbre. Sont-ils vraiment à l'abri ? Jusqu'à quand vivront-ils là-bas ? Clarissa, la jeune fille enlevée, a fait de longues études. Elle décide de combattre le système avec ses moyens, et en premier, elle use de son statut pour régulariser la situation de ses parents et les sortir de ce lieu marécageux. Aura-t-elle le courage et les moyens de mener à bien son combat ?
Ming Zhen est une petite chinoise. Elle vit à Gao Rong, village de la province du Guanxi, au sud de la Chine. Le jour de son huitie?me anniversaire, elle reçoit de son Grand-Pe?re Yéyé un étrange cadeau : c'est une Plaquette de Sagesse, un tangram composé de sept éléments. Mais alors ? Pourquoi son grand-père lui a-t-il annoncé huit présents pour ses huit ans ? La recherche de ce huitième cadeau va ouvrir la porte de son imaginaire...
[...]Écoutons ô compagnons de voies célestesÉcoutons la forêt qui avance.Écoutons nos silences qui s'y reflètent... Yeux fermés, butant tantôt et tantôt leste ; Tendant les mains au bout la nuit qui allaiteCes guerroyeurs sans merci et même leurs bêtes ; Toute l'armada de nos souffrances... Ce de quoi vit la roche dans les montsEt que je taisCe par qui le scandale s'est mis en transeet que je haisCe où le lichen se sentait heureux et le limonLe fait estQue ce que nous ignorons dans nos coeurs ô FiancéeEt qu'on ne sait dompterLe vent le convoite en silence ; Et voici qu'il recommence... (extrait de PERDITION).
Un livre qui relate les prévisions que j'ai faites sur la guerre d'invasion. Je rends hommage à toutes les victimes de guerres. J'évoque aussi mes prévisions sur les grands évènements qui ont bouleversé l'Humanité en ce 3éme millénaire. Ce livre est aussi un hymen à la Paix. Au Pardon. À plus d'humanité entre humains de toute la planète terre. Il projette ce que sera la planète terre ce troisième millénaire.
Demander à un enfant de prendre le départ dans l'existence, seul ; a tout d'un canular. «Euh non... non... c'est sérieux là! » Nassim, que le narrateur avait bien connu, avait bien fait choix, semble-t-il, de vivre sur et de la décharge... D'une part, c'était à la décharge des criminels qui y erraient comme des hyènes enragées mais quand même humaines et, d'autre part, pour décharger ses parents du faix du repentir... . Vivre à la décharge a en définitive tout d'une vie amène. Jusqu'à ce que mort d'homme s'ensuive. Pour un enfant ; il n'existe pas de notion de justice.
Six récits et, tout compte fait, tout est conte dans ce monde... «Nounours en rêve...» le petit ourson qui apprend la vie, un «bon mendiant» qui apprend la vie à son prochain, «un bon roi» qui apprend à pardonner ; «Le bien souverain...» en effet! «Les bonheurs» : «Si nos mots sont heureux et joyeux nos pensers,/Pour quel mérite donc sommes-nous récompensés ?!/Quel est ce bonheur d'être heureux et esseulé?!/ Hâlé il est alors et de chagrins mêlé...» ; enfin une «bonne fille» qui ravit à l'ange l'âme de son père en consolation ou... en revanche...
Mike est un jeune orphelin qui n'a jamais connu ses parents. Il est d'abord recueilli par un orphelinat puis devient enfant de rue. Son enfance bouleversée lui inflige de graves séquelles et fait de lui un mythomane invétéré, un manipulateur sans scrupules. Mais lorsqu'il rencontre Lindsay, il croit trouver le véritable amour et il veut changer radicalement de vie. Sauf que sa vie à lui ne se déroule pas toujours comme prévue...
Ma plume pleure - comme il pleure dans mon coeur - des mots pour la douleur - des vers pour la souffrance - des phrases pour l'histoire - écoute l'alarme de mes larmes - qui suintent comme des vers - à la pointe de ma plume - qui chante ces douces mélodies - pour apaiser les maux - les maux sans mots - nos os s'écartèlent - notre san se dérobe - notre peau se tire - nos yeux s'enferment - dans les entrailles de l'esprit - à tous les drépanocytaires.
Dalila, jeune syrienne de 17 ans, enivrée par les vents des printemps arabes, voit ses rêves de liberté se heurter aux poids des traditions, à l'animosité, à la cruauté des deux camps. Elle vit dans un huis clos tragique où la femme devient l'objet de la victoire, le tribut du guerrier, un droit des vainqueurs dans des conditions les plus barbares. Dans sa longue marche vers la liberté, Dalila reste, grâce à sa détermination et son désir de vivre, une « jeune femme courage », une jeune femme debout.
Cette oeuvre modeste par sa taille mais riche par son contenu comporte trois sous parties. La première la plus longue est consacrée aux maximes morales qui sont au nombre de quatre cent quarante cinq qui touchent quatre-vingt douze thèmes. La deuxième partie expose des réflexions sur onze thèmes qui nous ont tous parus essentiels tels que l'échec scolaire, la décolonisation, la démocratie, l'interruption volontaire de grossesse etc..... Dans la troisième partie, la plus brève, nous soumettons aux lecteurs notre pensée sur quatre thèmes que nous avons remarqué qu'ils font l'objet des interrogations de la société.
Ce recueil de poèmes est le premier que Bastien Brion publie sous son vrai nom. Après avoir longtemps usé du pseudonyme Bratiska Byron, il arrive enfin à une maturité littéraire et de style lui permettant cela. Au fil des vers, il arrive à transcender un thème, l'Amour, et ajoute par la même occasion une touche nouvelle dans l'univers vaste du monde poétique. Parfois à la frontière du politiquement correct et de la morale, Bastien Brion vous interpellera entre deux poèmes.Cependant, vous aurez peut-être le bonheur de vous retrouver dans ces écrits. De plus vos interprétations pourront être diverses et multiples comme le permet un texte chargé de métaphores et de correspondances. Enfin, l'occasion vous est donné de renouer avec la poésie dans un livre qui se veut volontairement accessible !
Précédé d'un avant-propos qui en indique le dessein, ce livre se divise en deux parties. La première donne une vue d'ensemble de la vie et de l'oeuvre de Ferdinand Gonseth, inséparables l'une de l'autre. Elle se termine par un texte de Gaston Bachelard en hommage à Ferdinand Gonseth. La seconde partie se compose de quatre articles qui présentent les traits essentiels du rationalisme appliqué de Gaston Bachelard, du pragmatisme de C.S. Peirce et William James, du rationalisme critique de Karl Popper et de la phénoménologie de Husserl. Chaque fois, il s'agit de faire ressortir le propre de la philosophie de Ferdinand Gonseth. Car, et telle est la raison qui a motivé ces articles, les vues gonséthiennes ne sont que trop souvent diluées en l'une ou l'autre de ces quatre philosophies. L'intérêt de ce livre consiste à nous éveiller à une pensée très originale, peu connue, qui se démarque en liant, comme nulle autre, son sort à celui de la recherche scientifique, non pour la suivre servilement, mais pour l'accompagner de part en part. Ce qui se manifeste alors, c'est un humanisme à la hauteur des enjeux de notre époque.
La guerre fait rage. Yoni, une adolescente de seize ans, voit sa famille lui être arrachée par les bombardements. Les frères « Kamase », derniers vampires « originels » du continent, la recueillent au « Buisson d'or », l'orphelinat qu'ils dirigent. Tous trois vont rapidement s'apercevoir, malgré eux, que la jeune fille est une « Luminescente ». Cette particularité va les amener à remettre en question le fondement des principes et des idéaux que leur imposaient jusqu'à maintenant leurs éducations. Chacun devra donc combattre ses propres démons pour protéger la race humaine d'une invasion sous-jacente.
À mi-chemin entre un regard enfantin et rieur sur le monde et un idéal de sagesse recherché, ce recueil de poésie explore de manière très concrète les profils de certains individus de notre société moderne. Il raconte les Autres avec légèreté, neutralité ou sévérité pour mieux éclairer l'âme de celle qui les dépeint. Humeurs personnelles et regards sur l'entourage, tout se mêle dans une diversité absolue : thèmes, tons, langages, humour second degré, ambiance bon enfant ou gravité et profondeur... autant de styles différents que de "gens qui passent" ! Les gens qui passent, c'est nous, c'est vous, c'est eux. C'est la vie banale de tous les jours avec ce qu'elle propose de beau ou de laid. Pas de contemplation sur la nature ou sur les relations humaines mais de la poésie du quotidien, celle qui nous énerve ou nous émeut parce qu'elle nous concerne et nous raconte directement !
Des pérégrinations fouineuses d'une puce curieuse... ...jusqu'aux volages aventures d'une petite culotte... Du toupet de Lily...au charnu de Marlène... Du rameau de Fernand...au faux pas de Suzon... De deux soeurs jumelles...au chant de la gazelle... De la folle équipée de vantardes valseuses... ...sous les regards hilares de fines spectatrices... Petites mésaventures érotiques et coquines de la vie familière mais en tout cas peu courantes tant elles sont impertinentes, que l'auteur nous décrit d'une façon espiègle et légèrement grivoise, avec l'élégance, la courtoisie et la sensibilité nécessaires à flatter l'imagination libertine du lecteur.
Poésie contemporaine "concrète" reflétant des images compréhensibles de tous et un vocabulaire simple et actuel. Des rimes en vers pour tout le monde ! Sur des tons et thèmes variés, ces poésies suivent le cours de la vie et la diversité des maux du quotidien : physiques, psychiques, visibles ou non. Constats de vie, sentiments intimes ou histoires relatées, chacun pourra se retrouver ou se projeter car son fil de maux n'est au fond rien de moins que celui tissé par des mots universels.
Il est des lieux qui charment les yeux, et raniment les esprits, des lieux qui ne peuvent qu'inspirer le plus humble des mortels. je suis natif d'un village du Grand Atlas au Maroc, un hameau en creux de la main qu'on nome Tounfite, entouré de massifs en doigts, parsemés de conifères. A cela s'ajoutent mes origines d'Errachidia, une ville du sud du Maroc, où la rudesse du climat efface la trace des hommes qui y sont passés. Les seuls vestiges sont ceux d'une nature forte et rebelle qui prend le pas sur tout. Des océans de sable aux dunes déchaînées et des oasis ponctuant le dorage du désert. Et surtout la belle parole prêchée à travers des millénaires. C'est cette parole qui me fait traverser trois langues pour vous atteindre, dont la première est Tamazight, ma langue maternelle. Entre ces lieux et ces êtres, les mots simples ne peuvent que devenir poèmes. Des mots que petits ou grands peuvent percevoir, puisqu'ils sont légers, aériens et presque extracorporels.
Des recherches archéologiques ont mené à la découverte d'ossements et de vestiges qui pourraient appartenir à un peuple très ancien. Certains experts se seraient risqués à comprendre cette culture ancestrale et les croyances multi-millénaires des Glodusiens. Doria, cité mythique de la province de Lydie, son nom tient de sa prospérité et de sa richesse fantastique. La légende raconte que cet endroit renferme un secret des plus fabuleux, l'un des sorts les plus puissants n'ayant jamais existé. Alchimistes, mages, guerriers ou simples aventuriers, tous, partirent à la recherche de cette magie afin d'en percer le secret. Mais ce grand mystère renfermait une terrible malédiction. Les glodusiens qui le découvrir furent frappés chacun à leur tour de folie. Une folie contagieuse qui se propagea menant le monde à sa perte. Les plus grands et plus brillants glodusiens se réunirent pour éradiquer ce mal. Mais cette malédiction était tellement grande qu'une seule solution leur resta. Ils firent un pacte divin, un contrat censé renfermer ce mal à tout jamais.