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Les chefs-d'oeuvre de la littérature ont enfin une collection à leur mesure : la Bibliothèque du collectionneur. Qui a dit que les livres élégants sont toujours trop chers ? Avec cette nouvelle collection, les chefs-d'oeuvre de la littérature mondiale se présentent dans une réalisation luxueuse qu'apprécieront même les bibliophiles. Format pratique, typographie lisible : le plaisir de collectionner les classiques à prix mini !
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Mr et Mrs Bennett ont cinq filles à marier. À l'arrivée d'un nouveau et riche voisin, la famille espère que l'une d'entre elles pourra lui plaire... Au-delà des aventures sentimentales des cinq filles Bennett, Jane Austen dépeint les rigidités de la société anglaise au tournant du XIXe siècle. Le comportement et les réflexions d'Elizabeth Bennett, son personnage principal, révèlent les problèmes auxquels sont confrontées les femmes de la gentry campagnarde pour s'assurer sécurité financière et statut social : la solution passe en effet par le mariage.
Drôle et romanesque, ce chef-d'oeuvre de Jane Austen continue à jouir d'une vive popularité et a donné lieu à de nombreuses adaptations.
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En visite à Moscou chez son frère Stépan Oblonski, la jeune et belle Anna, femme d'Alexis Karénine, haut fonctionnaire pétersbourgeois, et mère d'un garçon de huit ans, rencontre à sa descente du train le comte Alexeï Vronski. Bientôt, leur liaison éclate au grand jour à Saint-Pétersbourg. Enceinte, la jeune femme est sur le point de mourir en couches. Karénine lui accorde son pardon, tandis que Vronski tente de se suicider. Rétablie, elle quitte son mari et son enfant pour vivre avec son amant en marge de la société aristocratique qui les rejette... Mais la passion jalouse d'Anna commence à peser à son amant. Victime d'une passion à laquelle elle a tout sacrifié, Anna finira par se jeter sous un train...
Commencé peu après l'achèvement de Guerre et Paix et inspiré à Léon Tolstoï (1828-1910) par le suicide d'une femme abandonnée par son amant en 1872, Anna Karénine se veut une " expérience de laboratoire " sur le thème de " l'idée familiale " dans le cadre réaliste de la société russe. Le roman parut d'abord en feuilleton, avec succès. Tolstoï y brocarde l'hypocrisie de la haute société pétersbourgeoise. Car le drame d'Anna Karénine, qui ne sait ni mentir ni tricher, n'est pas tant d'avoir succombé à la passion que de lui avoir tout sacrifié, y compris sa vie de femme et de mère.
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Injustement privées de leur héritage par leur belle-mère, Elinor et Marianne Dashwood et leur mère se retrouvent démunies. Forcées de quitter Norland dans le Sussex pour Barton Cottage dans le Devonshire, les deux soeurs sont rapidement acceptées par la bourgeoisie locale. Marianne, dont la douce sensibilité et la nature ouverte charment John Willoughby, est bientôt amoureuse. Elinor, plus prudente, cache ses sentiments, mais Edouard Ferrars, laissé à Norland, lui manque. Malgré leur personnalité très différente, les deux soeurs vivent de grands chagrins : Marianne souffre avec ostentation des infidélités de Willoughby et Elinor ne permet à personne de voir sa peine. Ce sont, cependant, leurs qualités communes discernement, constance et intégrité face aux mauvaises intentions des autres qui leur permettent d'entrer dans une nouvelle vie de paix et de contentement. L'oeuvre restitue à la perfection la bourgeoisie et la noblesse terrienne d'une Angleterre de la fin du XVIIIe siècle encore agricole.
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Written to draw attention to the misery prevailing among the poor in France during the Second Empire, this novel depicts the grim struggle between capital and labour in a coalfield in northern France. Yet, through the blackness of this picture, humanity is constantly apparent.
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Les chefs-d'oeuvre de la littérature ont enfin une collection à leur mesure : la Bibliothèque du collectionneur. Qui a dit que les livres élégants sont toujours trop chers ? Avec cette nouvelle collection, les chefs-d'oeuvre de la littérature mondiale se présentent dans une réalisation luxueuse qu'apprécieront même les bibliophiles. Format pratique, typographie lisible : le plaisir de collectionner les classiques à prix mini !
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Emma Bovary yearns for a life of luxury and passion of the kind she reads about in romantic novels. But life with her country doctor husband in the provinces is unutterably boring, and she embarks on love affairs to realize her fantasies. This new translation by Margaret Mauldon perfectly captures Flaubert's distinctive style.
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Clarissa Dalloway est sortie acheter des fleurs. En chemin, elle repense à son mariage. Eu?t-elle épousé Peter Walsh, il lui aurait fallu renoncer au confort et se mettre en péril. Mais, si son couple dure depuis trente ans, c'est qu'elle l'a protégé derrière une digue de non-dits, de silences et de rêves sacrifiés.
Épouse, mère, hôtesse : comme cette Londonienne de la haute société semble conventionnelle... Son existence se borne à la sphère domestique. Or quel être peut se résumer à la simplicité d'une apparence, d'un milieu, ou aux moeurs de son temps ? Et que dire de la multitude d'émotions et d'intuitions à jamais informulées ? C'est cette autre Clarissa que révèle chacun des petits événements dont sa journée est tissée, chacune des pensées dont ce roman s'attache à restituer les moindres inflexions.
Virginia Woolf, qui a lu Proust et Joyce, démontre que rien - une course en ville, l'organisation d'un dîner - n'est trop ordinaire aux yeux d'un écrivain. En fouillant la conscience et l'inconscient de Clarissa, en exposant la richesse de sa vie intérieure, elle nous invite à mieux considérer la femme superficielle qu'elle paraît être.
Une page du roman britannique se tourne avec Mrs Dalloway, au rythme des heures égrenées par l'horloge de Big Ben. -
Salué par la critique comme un "miracle littéraire", La chartreuse de Parme roman improvisé en 52 jours, est considéré aujourd'hui comme l'un des plus grands romans de la littérature française.
La duchesse Gina de Sanseverina est prise d'une passion dévorante non partagée pour son jeune neveu, Fabrice. Parti à Waterloo pour combattre aux côtés de Napoléon, il est désormais considéré comme un traître. Pour épargner Fabrice et arriver à ses fins, Gina devient la maîtresse du Premier ministre Mosca, éperdu d'amour pour elle. Fabrice souhaite quant à lui oublier l'amour interdit de sa tante en enchaînant aventure sur aventure, jusqu'à la rencontre... L'action a pour cadre les enjeux du pouvoir dans les États italiens dominés par l'Autriche.
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La première invasion martienne.
1894. Terreur sur Terre : des météores venus de Mars se rapprochent dangereusement. Le comté de Surrey, en Angleterre, est le premier touché. Les badauds s'attroupent autour d'un énorme objet cylindrique de près de 30 mètres émergeant d'un cratère... lorsqu'un puissant « rayon ardent » projeté par l'engin pulvérise les humains alentour !
D'autres « ovnis » s'écrasent sur le reste du pays. À l'intérieur, des machines contrôlées par d'étranges créatures tentaculaires. Ces tripodes sèment la panique et la désolation sur leur passage, désintégrant tout ce qui pourrait entraver leur désir de conquête.
Prêtes à lutter, les populations sont incapables de rivaliser contre ces envahisseurs qui aspirent le sang humain et laissent dans leur sillage un monde ravagé, où plus aucune vie n'est possible. Les dernières heures des Terriens sont-elles arrivées ?
Premier roman de science-fiction faisant cas d'une invasion martienne, le chef-d'oeuvre de Wells laissera un héritage considérable à la littérature d'anticipation, jusqu'à inspirer le cinéma, puisque le roman sera adapté une nouvelle fois en 2005 par Steven Spielberg, avec Tom Cruise.
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Les chefs-d'oeuvre de la littérature ont enfin une collection à leur mesure : la Bibliothèque du collectionneur. Qui a dit que les livres élégants sont toujours trop chers ? Avec cette nouvelle collection, les chefs-d'oeuvre de la littérature mondiale se présentent dans une réalisation luxueuse qu'apprécieront même les bibliophiles. Format pratique, typographie lisible : le plaisir de collectionner les classiques à prix mini !
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Jane Eyre, orpheline à dix ans, est maltraitée par les Reed chez qui elle a été placée. Envoyée à Lowood, une institution rigide, elle y souffre de privations et de nouvelles brimades. Elle s'y fait une amie, Helen Burns, emportée par une tuberculose due aux mauvaises conditions sanitaires de l'internat - tout comme Maria Brontë, morte en bas âge à Cowan Bridge.
Jane saura pourtant s'adapter et - tout comme Charlotte Brontë - devient professeur après six ans d'études. Une annonce passée dans un journal lui permet de devenir gouvernante : la voilà chargée de l'éducation d'Adèle, la protégée de Mr Rochester, riche propriétaire du château de Thornfield-Hall... dont elle s'éprend sans savoir qu'il est mariée à une folle enfermée au grenier. Elle l'apprendra le jour même de leurs noces...
Hors de toute geste héroïque, Jane Eyre se révolte à sa manière contre la fatalité de sa condition et, dans une certaine mesure, contre l'ordre social. Charlotte Brontë ne s'est jamais cachée d'avoir emprunté à sa propre vie dans ce roman (1847) dont le sous-titre français - Mémoires d'une institutrice - est éloquent.
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Dans le Paris du XVe siècle, la belle Esméralda fait battre le coeur de tous. Mais la jeune bohémienne n'a d'yeux que pour le capitaine Phoebus. Enlevée par l'archidiacre Frollo qui la convoite, sauvée par Quasimodo, le sonneur de cloches difforme, elle sera finalement accusée de sorcellerie, puis pendue.
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"C'était un petit jeune homme de dix-huit à dix-neuf ans, faible en apparence, avec des traits irréguliers, mais délicats, et un nez aquilin...
Qui eût pu deviner que cette figure de jeune fille, si pâle et si douce, cachait la résolution inébranlable de s'exposer à mille morts plutôt que de ne pas faire fortune !...Dès sa première enfance, il avait eu des moments d'exaltation. Alors il songeait avec délices qu'un jour il serait présenté aux jolies femmes de Paris, il saurait attirer leur attention par quelque action d'éclat. Pourquoi ne serait-il pas aimé de l'une d'elles, comme Bonaparte, pauvre encore, avait été aimé de la brillante Mme de Beauharnais ? Depuis bien des années, Julien ne passait peut-être pas une heure de sa vie sans se dire que Bonaparte, lieutenant obscur et sans fortune, s'était fait le maître du monde avec son épée.
Cette idée le consolait de ses malheurs qu'il croyait grands, et redoublait sa joie quand il en avait."
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Ecrites au XIXe siècle, ces nouvelles mélangent enquêtes, suspense et fantastique, sous forme d'énigmes à la frontière du rationnel et de l'irrationnel. Avec une postface qui situe l'oeuvre dans son époque.
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Depuis quelques mois, il n'était question à l'Opéra que de ce fantôme en habit noir qui se promenait comme une ombre du haut en bas du bâtiment, qui n'adressait la parole à personne, à qui personne n'osait parler et qui s'évanouissait, du reste, aussitôt qu'on l'avait vu, sans qu'on pût savoir par où ni comment...
Toutes prétendaient avoir rencontré plus ou moins cet être extra-naturel et avoir été victimes de ses maléfices. Et celles qui en riaient le plus fort n'étaient point les plus rassurées. Quand il ne se laissait point voir, il signalait sa présence ou son passage par des événements drolatiques ou funestes dont la superstition quasi générale le rendait responsable. Avait-on à déplorer un accident, une camarade avait-elle fait une niche à l'une de ces demoiselles du corps de ballet, une houppette à poudre de riz était-elle perdue ? Tout était de la faute du fantôme, du fantôme de l'Opéra ! Et il avait, naturellement, une tête de mort.
Tout cela était-il sérieux ?
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« Il était déjà une heure du matin ; une pluie morne battait les vitres et ma chandelle presque consumée dispensait une lueur vacillante grâce à laquelle je vis s'ouvrir l'oeil jaune et terne de la créature : elle respirait avec peine et un mouvement convulsif agitait son corps. »
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Emma Woodhouse vit avec son père veuf. D'une grande beauté et pleine d'assurance, elle évolue en toute indépendance à Highbury, sans aucun souci financier et entourée d'amis fidèles. Mais le mariage de son ancienne gouvernante avec M. Weston la ramène à sa solitude. Pour se distraire, elle décide de s'occuper du mariage des autres, persuadée d'avoir des talents d'entremetteuse. Elle se consacre à sa nouvelle protégée, la très jolie Harriet Smith, qu'elle destine à M. Elton, le vicaire de Highbury. Les plans de la jeune fille semblent en bonne voie, mais ses certitudes vacillent lorsque les événements prennent un tour inattendu : ses propres émotions amoureuses lui vaudront bien des déconvenues...
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Anne est la seconde fille de l'honorable Sir Elliot de Kellynch.
Persuadée par son amie Lady Russel, elle a dû rompre ses fiançailles avec le jeune Frederick Wentworth, un officier de marine pauvre, car il ne présentait pas les assurances d'un bon parti. Huit ans plus tard, sa famille connaît des revers de fortune. Son père décide alors de louer le château familial à l'amiral Croft, qui se trouve être le beau-frère de Frederick. Anne appréhende de revoir celui qui est resté son grand amour.
Alors que s'achève la guerre avec la France, le capitaine Wentworth, fortune faite, revient avec le désir de se marier pour fonder un foyer. Il a conservé du refus d'Anne la conviction que la jeune fille manquait de caractère et se laissait trop aisément persuader...Dernier roman complet de Jane Austen, achevé en août 1816, un an avant sa mort, Persuasion offre la satire d'une société engoncée dans ses principes, ainsi qu'une galerie de personnages croqués sans aménité : un père futile qui ne pense qu'à son apparence, un soeur cadette égoïste et hypocondriaque, un cousin arriviste, une veuve manipulatrice...
Comme dans Northanger Abbey, la vie mondaine et superficielle de Bath sert d'arrière-plan.Publié à titre posthume en 1818, Persuasion est aussi le seul roman de Jane Austen écrit pendant la période où l'action se situe : il est entrepris le 8 août 1815, le jour même où la population britannique apprend l'exil de Napoléon à l'île d'Elbe. En toile de fond, on trouve donc la défaite, l'abdication et l'exil de l'Empereur.
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Gabriel Oak, jeune paysan du Wessex, est devenu propriétaire d'une bergerie. Il s'éprend de Barbara Everdene, venue s'installer au pays avec sa tante. Mais la belle repousse ses avances avec hauteur. Ayant perdu toutes ses bêtes par la faute d'un chien mal dressé, Gabriel, ruiné, est réduit à trouver du travail dans une ferme qu'il vient de sauver d'un incendie et dont la propriétaire n'est autre que. Barbara, qu'un héritage a rendue riche.
Entretemps, la jeune femme subit les assauts d'un prospère exploitant, William Boldwood, mais aussi de son rival, le fringant sergent Francis Troy, qu'elle finit par épouser, sans savoir qu'une domestique, Fanny, est enceinte de ses oeuvres. Gabriel ne parvient pas à lui cacher la mort en couches de la mère et de l'enfant, tandis que Troy, repentant, tente de se noyer. Alors que chacun le croit mort, il resurgit à la veille de Noël et est abattu par Boldwood, qui retourne l'arme contre lui. Lorsque enfin Barbara comprend qu'elle n'a jamais eu qu'un ami, Gabriel lui annonce qu'il quitte l'Angleterre pour la Californie.
Le quatrième roman de Thomas Hardy (1874) fut son premier grand succès public et critique.
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Ce n'est pas de volonté que manque Madeleine Férat, mais plutôt de principes pour choisir le bon chemin. Fuyant un tuteur abusif, elle se jette dans les bras du premier venu et, surtout, se croit obligée d'y rester !
L'habitude créant une sorte de bonheur, Madeleine se trouve même désespérée quand Jacques la quitte pour s'engager comme chirurgien militaire en Cochinchine. Elle se sent si engagée qu'elle hésite même à épouser Guillaume de Viargue quand celui-ci, après un an de liaison, la demande en mariage. Elle ne s'y décide que lorsqu'elle apprend la mort de Jacques dans un naufrage.
Quatre ans de bonheur se succèdent dans le domaine normand où le jeune couple vit retiré. jusqu'au jour où Jacques, miraculeusement sauvé, réapparaît dans leur vie.
Publié en 1867, un an après Thérèse Raquin, ce roman de jeunesse, dédié à Manet, témoigne du goût de Zola pour les personnages maudits et les situations de panique. Dans un style évocateur de Renoir et Degas, la tragédie tombe sur l'insouciance de personnages jeunes et lumineux.
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"Dire que, quand nous serons grands, nous serons peut-être aussi bêtes qu'eux!" La classe terminée, les gamins de Nans-sous-Sainte-Anne s'échappent dans la campagne.
Selon l'humeur, ils organisent des farces malicieuses ou des combats afin de prouver leur vaillance. En plus des coups et des injures, les "vaincus" se voient confisquer leurs boutons en guise de trophées, avant d'être renvoyés chez eux. Chronique truculente des rivalités de deux bandes de jeunes villageois, La Guerre des boutons (1912), roman largement autobiographique, n'a rien perdu de sa verdeur en un siècle.
L'humour et l'innocence, à mesure que se brouille la frontière entre jeu et réalité, finissent par confiner à la cruauté. Un roman devenu un classique depuis son inoubliable adaptation au cinéma par Yves Robert en 1962.
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LE PLUS BEAU ROMAN D'AMOUR DE TOUS LES TEMPS. Georges Bataille Depuis son arrivée chez les Earnshaw, qui l'ont adopté, Heathcliff, enfant abandonné, semble attirer le malheur sur la maisonnée. Hindley, l'aîné, l'a pris spontanément en grippe. Et tandis que l'orphelin s'est épris de sa soeur Catherine, celle-ci décide de quitter les Hauts de Hurlevent pour se marier, dans l'espoir qu'elle pourra soustraire le malheureux aux colères de son frère aîné...
Au comble du tourment, Heathcliff s'enfuit. Mais il reviendra accomplir sa vengeance...
L'unique roman d'Emily Bronte?, publié en 1847 sous pseudonyme, se présente comme la chronique d'un amour contrarié. Au climat passionnel qui ravage ses personnages, répondent les paysages de lande balayés par les vents, emblématiques de ce chef-d'oeuvre de la littérature anglaise. -
Ce roman est issu des Crimes célèbres d'Alexandre Dumas (1839-1840), l'un des premiers recueils de Dumas.
Modèle du Prince de Machiavel (l'une des lectures de Dumas), César Borgia, fils du pape Alexandre VI, étend sa puissance sur Rome. Tous les moyens sont bons pour écarter ennemis et rivaux. Ses crimes n'auront aucune limite, puisqu'il va jusqu'à éliminer, par le poison ou les armes, les membres de sa propre famille : son frère aîné Francesco, les maris de sa soeur Lucrèce et les maîtresses qui eurent le malheur de se laisser attirer par son pouvoir et de partager son lit.
Le poison qu'il verse finira cependant par se retourner contre lui...Écrivant cette sanglante histoire, Dumas revient à la voluptueuse et cruelle Renaissance, cadre de son premier triomphe théâtral, Henri III et sa cour (1829).