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Joseph Conrad
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Parce qu'un jour il a été lâche, abandonnant au naufrage un navire et sa cargaison de pèlerins, Jim erre de port en port, cachant sa honte. Il échoue en Malaisie, à Patusan, où la venue du trafiquant Brown lui donne une occasion de se conduire en héros. Cette fois il n'hésite pas, et c'est tragiquement que s'achève l'histoire de Lord Jim, un des plus beaux romans qu'ait jamais inspiré la fraternité humaine.
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Le Coeur des ténèbres s'inspire d'un épisode de la vie de Conrad en 1890 dans l'État libre du Congo mis en coupe réglée au profit de Léopold II. De cette expérience amère, l'écrivain a tiré un récit enchâssé dont chaque élément, à la façon des poupées russes, dissimule une autre réalité : la Tamise annonce le Congo, le yawl de croisière la Nellie le vapeur cabossé de Marlow, truchement de Conrad. Ces changements d'identité sont favorisés par les éclairages instables au coucher du soleil ou par le brouillard qui modifie tous les repères et dont émerge Kurtz. Présenté par de nombreux personnages bien avant d'entrer en scène, celui-ci fait voler en éclats toutes les définitions et finit par incarner le coeur énigmatique des ténèbres : le lieu où se rencontrent l'abjection la plus absolue et l'idéalisme le plus haut.
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Dans ce voyage intérieur, le narrateur s'adresse à l'équipage d'un bâtiment immobilisé sur la Tamise, attendant la marée pour appareiller. S'ensuit une improbable expédition au coeur d'un continent inquiétant, peuplé d'indigènes invisibles et menaçants et de trafiquants d'ivoire. Avec une interview : Mathias Enard, pourquoi aimez-vous Au coeur des ténèbres ?
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«Et quelque part en moi trottait cette idée : Bon Dieu ! C'est une sacrée aventure - comme on en voit dans les livres ; et c'est ma première traversée comme lieutenant - et je n'ai que vingt ans - et voilà que je tiens le coup aussi bien que n'importe lequel de ces hommes, et mes gars sont à la hauteur de leur tâche grâce à moi. J'étais content. Je n'aurais renoncé à cette expérience pour rien au monde.»De Londres à Bangkok, un jeune marin inexpérimenté, voguant sur une mer déchaînée, essuie tempêtes et catastrophes à bord de la Judée. Voyage initiatique de l'adolescence vers l'âge adulte, ce récit, écrit par l'un des plus grands écrivains de langue anglaise, embarque le lecteur dans une odyssée épique.
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«Stoppez ! mugit M. Rout.Personne - pas même le capitaine Mac Whirr, qui, seul sur le pont, avait aperçu une blanche ligne d'écume s'avancer, à une telle hauteur qu'il n'en pouvait croire ses yeux -, personne ne devait jamais savoir ce qu'avait été l'escarpement de cette lame, et l'effrayante profondeur du gouffre que l'ouragan avait creusé derrière la mouvante muraille d'eau.Elle accourait à la rencontre du navire ; et le Nan-Shan, alors, s'arrêtant comme pour se ceindre les reins, souleva son avant, puis sauta. Les flammes de toutes les lampes s'affaissèrent, assombrissant la chambre des machines ; l'une d'elles s'éteignit. Avec un fracas déchirant, un tumulte furieux et giratoire, des tonnes d'eau tombèrent sur le pont...»
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Au coeur des ténèbres et autres écrits
Joseph Conrad
- Gallimard
- Bibliotheque De La Pleiade
- 28 Septembre 2017
- 9782072735455
Octobre 1899. Joseph Conrad redoute la stérilité : «Il n'y a rien à montrer finalement. Rien ! Rien ! Rien !» Il se croit guetté par le néant, alors qu'il n'écrit que des chefs-d'oeuvre. Six mois plus tôt, Au coeur des ténèbres a commencé de paraître en revue ; la rédaction de Lord Jim sera achevée l'année suivante ; Typhon suit de près. De quoi Conrad se méfie-t-il donc ? Des «obscures impulsions» de l'imagination. «Je veux considérer la réalité comme une chose rude et rugueuse sur laquelle je promène mes doigts. Rien de plus.» Il lutte pour rester à la surface, mais il a beau s'en défendre, les joyaux de son oeuvre viennent des profondeurs. Né en Ukraine polonaise, sous domination russe, puis «adopté par le génie de la langue» anglaise, Conrad sillonne les mers durant une vingtaine d'années. Il a trente-sept ans quand paraît son premier roman. Son oeuvre est impensable sans cette première vie passée à naviguer. Il s'est pourtant insurgé contre l'étiquette de «romancier de la mer» qu'on lui accolait. Ses navires sont surtout des dispositifs expérimentaux concentrant, dans un huis-clos en mouvement, les expériences humaines les plus aiguës. Fidèle au «plaisir de lire», on objecterait à bon droit que Conrad est malgré tout un romancier d'aventures. Il est vrai que ses personnages sont tantôt confrontés à des tempêtes formidables, tantôt à une «immobilité mortelle». ll leur arrive encore de trouver une mort brutale dans des contrées hostiles. Mais cela ne fait pas de l'oeuvre romanesque de Conrad un divertissement épique. Si l'héroïsme y est souvent introuvable, on y rencontre en revanche la trahison, l'enfer des âmes folles et l'impossible rachat. Sans oublier l'absurdité de la condition humaine. Au-delà de ses thèmes, la modernité de l'oeuvre de Conrad tient à l'extrême audace de la narration. Ses romans sont portés par des voix - celle de Marlow, bien sûr, mais ce n'est pas la seule -, et les récits sont savamment entrelacés, déjouant ainsi le piège des continuités arbitraires. Son oeuvre aussitôt traduite en France suscita l'engouement. Chose rare, La NRF lui consacre un numéro d'hommage quand, en 1924, il disparaît. L'année précédente, la même revue avait célébré Proust. Cest dire l'importance qu'avait déjà Conrad pour ses contemporains les plus avertis. Aujourd'hui plus que jamais, il est «l'un des nôtres». Depuis Le Nègre du «Narcisse» (1897), manifeste artistique dont l'ambition est de pouvoir justifier son «existence à chaque ligne», jusqu'au plus grand roman (ou «confession») de la dernière période, La Ligne d'ombre (1917), ce volume propose une traversée des trois décennies couvertes par son oeuvre. Chaque escale est indispensable. On regarde parfois vers la mer, parfois vers la terre, parfois dans les deux directions. L'intranquillité conradienne demeure inébranlable dans la tourmente. Bienheureux les lecteurs qui en feront leur boussole.
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Karain ; le compagnon secret
Joseph Conrad
- Le livre de poche
- Le Livre De Poche Biblio
- 18 Mai 2022
- 9782253934806
Un négociant de la marine anglaise se remémore son séjour dans l'archipel malais et sa rencontre avec Karain, un chef de village charismatique et envoûtant. Celui-ci vit dans l'effroi d'un souvenir qui le hante, et garde sans cesse auprès de lui un vieil homme qui est le seul capable de le rassurer. Au cours d'une soirée mémorable sur une goélette, Karain va confier son secret au narrateur et à ses compagnons.
Dans Le Compagnon secret, le golfe de Siam devient le théâtre de la rencontre entre un capitaine débutant et un jeune officier ayant fui à la nage son propre équipage après avoir tué un homme. Intrigué par cet inconnu qui lui ressemble tel un double, le capitaine accepte de le cacher dans sa cabine, et de l'aider à trouver une nouvelle destinée.
Parues respectivement 1897 et 1909, ces deux nouvelles sombres et splendides illustrent toute la force et la beauté de l'écriture de Joseph Conrad, dans une nouvelle traduction. -
Aux commandes d'un petit vapeur, le capitaine Davidson parcourt les recoins les plus obscurs de l'archipel malais, qu'il connait mieux que personne. Réputé pour son intégrité et sa gentillesse, il se voit un jour confier une tournée des plus petits établissements de l'île de Célèbes, pour y collecter de vieux dollars d'argent qui doivent bientôt cesser d'avoir cours.
Une mission parfaitement ordinaire, que l'intervention d'un Français sans mains, flanqué de trois acolytes peu recommandables, va transformer en aventure dangereuse...
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Un jeune capitaine de vaisseau se voit attribuer son premier commandement : il s'agit de remplacer, dans un lointain port asiatique, le capitaine décédé d'un vaisseau mal en point. Cette nomination n'a rien d'une faveur ; tout est à faire, et Falk, personnalité locale bien connue, Hercule taciturne et mystérieux, va se mettre en travers de sa route pour des raisons incompréhensibles...
Cela concerne peut-être la ravissante nièce d'un capitaine allemand, et indirectement un naufrage antarctique, mais comment le savoir, et surtout qu'y faire ?
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L'équipage du «Narcisse» affronte une mer hostile et une ambiance délétère : un cuisinier trop pieux, un marin paresseux qui pousse à la mutinerie, et le Noir, Jim Wait, dont on ne sait s'il est un malade imaginaire ou un mourant authentique. Mieux connu sous le titre Le Nègre du Narcisse, Les Enfants de la mer dépeint la tempête vue du côté de l'équipage, montrant des personnages qui oscillent entre solidarité et bassesse.
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Nostromo est le chef-d'oeuvre de conrad.
Ce roman de cinq cents pages raconte l'histoire d'une république d'amérique latine avec ses coups d'etat, ses guerres civiles, ses luttes pour la démocratie, ses intellectuels libéraux, ses aventuriers, ses traîtres et, derrière tout cela, l'impérialisme américain. des aventures incessantes révèlent les caractères déchirés entre le bien et le mal, hantés par l'angoisse et le sentiment de culpabilité.
Les luttes se déroulent, comme toujours chez conrad, dans des décors d'une grande force poétique où un bref symbole suffit à évoquer la profondeur des significations. le titre désigne le héros principal, " notre homme ", l'éternel homme de main de tous les mauvais coups qui, sous l'attrait de l'argent, passe de l'honneur à la mort.
Ce qui frappera, c'est la multiplicité des leçons que l'on peut tirer du livre, selon que l'on s'intéresse à la psychologie, à la poésie, à la philosophie, à la politique.
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D'un voyage au Congo belge qui l'a bouleversé, Joseph Conrad a tiré le célèbre «Coeur des ténèbres», et cet «Avant-poste du progrès», qui n'est pas une version préparatoire de l'autre, mais son reflet inversé, encore plus étrange et plus trouble à certains égards. C'est une peinture terrible de l'entreprise coloniale et de son échec.
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Le capitaine Whalley, vieux loup de mer est contraint de reprendre la navigation afin d'apporter un peu de réconfort financier à son unique fille, mal mariée. Ce veuf inconsolable, qui voue un amour absolu à sa descendance, pilote dorénavant le Sofala, minable barcasse à vapeur pour l'exploitation de laquelle il a engagé ses propres fonds. Il espère pouvoir bientôt récupérer sa mise en prenant enfin une retraite bien méritée mais il doit composer avec un équipage gangrené par l'envie et la lâcheté.
Son amitié avec le désabusé Van Wyk et la complicité muette qui le lie à son loyal maître d'équipage malais aident Whalley à supporter cette fin de carrière désastreuse. Mais notre noble vétéran cache un sombre secret...
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Au coeur des ténèbres / heart of darkness
Joseph Conrad
- Folio
- Folio Bilingue
- 24 Septembre 1996
- 9782070400041
Le capitaine Marlowe, qui commande un bateau destiné au commerce de l'ivoire, remonte le fleuve Congo pour s'enfoncer avec son équipage au coeur d'une Afrique primitive et sauvage. Sur sa route, il croise le mystérieux Kurtz, chef d'un comptoir perdu dans une jungle étouffante et entouré de ses hommes, cour cruelle et violente. L'expédition de Marlow devient alors un hallucinant voyage aux sources de la folie et du Mal...
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«Et l'incorruptible Professeur marcha lui aussi, détournant les yeux de l'odieuse multitude des hommes. Il n'avait pas d'avenir. Il le dédaignait. Il était une force. Ses pensées caressaient des images de ruine et de destruction. Il marcha, frêle, insignifiant, râpé, misérable... mais terrible dans la simplicité de son idée qui voulait appeler la folie et le désespoir à régénérer le monde. Personne ne le regarda. Il alla son chemin, insoupçonné et funeste, tel un fléau dans cette rue peuplée d'hommes.»
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Annotations de Raymond Las Vergnas. Nouvelle édition
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Traductions relues par Dominique Goy-Blanquet
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«Conrad (1857-1924) fut tour à tour enfant et adolescent polonais, marin naviguant sur des bâtiments français, capitaine dans la marine marchande anglaise, et enfin l'un des plus grands romanciers de tous les temps. La mer est au premier plan de beaucoup de ses treize romans et de ses vingt-deux nouvelles, mais son véritable sujet - illustré d'exemplaire façon par son chef-d'oeuvre, Nostromo, - est la condition de l'homme, l'angoisse de l'exil, le perpétuel conflit entre la solidarité et la trahison.» Sylvère Monod
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L'émerveillement et la joie de naviguer, mais aussi, parfois, le désenchantement et la révolte, tels sont les aspects singuliers de ce livre de conrad, qui navigua pendant vingt ans avant de devenir écrivain.
Il y déploie un témoignage à la fois ébloui, nostalgique et lucide sur sa relation avec la mer et les navires, perçus comme des créatures vivantes et sensibles dont il importe de se montrer digne. en même temps défilent des évocations d'escales, d'épisodes de mer, de navires, de grands vents et de silhouettes de marins rencontrés, pendant l'ultime âge d'or de la marine à voile.
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Les lieutenants Féraud et d'Hubert sont deux jeunes officiers lancés dans le fracas des guerres napoléoniennes et promis à un grand avenir. Sous un prétexte si dérisoire qu'il en est inavouable, les deux hommes entament une guerre personnelle dont nul ne peut imaginer jusqu'où elle les mènera.
Joseph Conrad (1857-1924), fils d'un aristocrate polonais déchu, fait carrière dans la marine anglaise jusqu'en 1893 avant de choisir de se consacrer à l'écriture. Auteur de Lord Jim, d'Au coeur des ténèbres et de Nostromo, il devient un écrivain anglophone incontournable. Il meurt en Angleterre en 1924.
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Encouragé à poursuivre sa carrière littéraire après son premier livre, La Folie Almayer, Joseph Conrad, dans Un paria des îles, reprend le même lieu et les mêmes personnages, mais quinze ans plus tôt. Continuant à remonter le temps, il les rajeunira encore dans un troisième roman, La Rescousse.Le livre paraît en en 1896. C'est l'histoire nocturne, ténébreuse, d'un homme qui a failli, Willems, et que son maître, le célèbre capitaine Lingard, condamne à rester captif de la forêt équatoriale, à une cinquantaine de kilomètres de la mer. Willems est littéralement englouti par la forêt, par l'amour dévorant d'une femme indigène, Aïssa, et par son propre chaos intérieur. Dans ses efforts pour survivre, il va faire le malheur de son rival Almayer, et provoquer par trahison l'arrivée et l'installation des Arabes dans ce comptoir situé sur le fleuve, dont l'accès était jusque-là un secret.
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La composition du présent volume a quelque chose de singulier. On y trouvera deux recueils de nouvelles, comprenant en tout sept récits, dont certains, assez longs, ont parfois été publiés sous la forme de volumes indépendants : c'est le cas d'Au bout du rouleau, Typhon, Au coeur des ténèbres et même de Jeunesse. On y trouvera également un roman tenu par beaucoup de bons esprits pour la plus grande oeuvre de Conrad et qui est à coup sûr son livre le plus long. On y trouvera enfin un ouvrage original associant des aspects de l'essai, de l'autobiographie et du récit imaginaire. Cet assemblage de quatre oeuvres ne doit rien à l'arbitraire de l'éditeur et n'est nullement hétéroclite. Il s'agit des oeuvres publiées par Conrad sous forme de livres entre 1902 et 1906. Certains des textes avaient paru antérieurement en feuilleton dans des magazines, mais, conformément au principe suivi pour l'ensemble de cette édition, c'est l'ordre chronologique des livres de Conrad qui a été suivi. Il donne dans le cas présent : Youth and Other Stories en 1902 (Jeunesse et autres récits : «Jeunesse», «Au coeur des ténèbres» et «Au bout du rouleau» ; Typhoon and Other Stories en 1903 (Typhon et autres récits : «Typhon», «Amy Foster», «Falk» et«Pour demain») ; Nostromo en 1904 et The Mirror of the Sea (Le Miroir de la mer) en 1906.
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Le Ferndale est bien le navire le plus inquiétant qui soit, dans le sens où notre planète est inquiétante, avec son atmosphère trouble de passions, de jalousie, d'amour, de haines, avec la calamité des bonnes volontés transcendantes. Et il a fallu que le hasard choisisse le Ferndale, entre tous les navires alors dans le port de Londres, pour assurer au jeune Powell son premier pas dans la vie. Le voilà désormais sous le coup du funeste enchantement qu'exercent sur lui l'énigmatique capitaine Anthony, Flora De Barral, pâle jeune femme qui semble vouée au malheur, et le père de celle-ci, vieux financier mis en prison pour banqueroute frauduleuse.Le plus grand, le plus beau des romans de Conrad.
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Les six nouvelles qui composent ce recueil furent écrites durant les années des plus grands chefs-d'oeuvre de Conrad - notamment Lord Jim et Nostromo. Qu'il décrive un épisode étrange de l'épopée napoléonienne (Le Duel) ou de la guerre d'indépendance au Chili (Gaspar Ruiz), qu'il s'attache au destin tragique d'un indicateur infiltré dans un groupuscule anarchiste (L'Indicateur) ou à la vie d'un bagnard en fuite dans un comptoir colonial isolé (Un anarchiste), Conrad met en scène des personnages typiques de son univers, aux prises avec une fatalité contraire, finalement victimes de leur propre force, de leur vaillance et peut-être de leur aveuglement.
Ce volume comprend : Gaspar Ruiz - L'Indicateur - La Brute - Un anarchiste - Le Duel - Il Conte.