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John Irving
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Une saga jubilatoire et réjouissante par l'auteur de l'inoubliable Monde selon Garp.
1941. À Aspen, Colorado, la jeune Rachel Brewster, dite « Little Ray », échoue aux épreuves de slalom mais réussit à tomber enceinte. De retour chez ses parents, elle devient monitrice de ski et élève son fils Adam dans un climat de tendre complicité. Ainsi débutent sept décennies d'une fresque débridée peuplée de personnages irrésistibles qui, dans la très conventionnelle Nouvelle-Angleterre, défient les conventions. Adulte, c'est à l'Hotel Jerome d'Aspen, hanté par de nombreux fantômes, qu'Adam tentera d'élucider les secrets bien gardés de son étonnante famille.
Paternité mystérieuse, mère « sans fil à la patte », transgressions en tous genres et sexe à tous les étages - sans oublier une savoureuse relecture de Moby-Dick : autant de thèmes où l'imagination vertigineuse et la truculence de John Irving font merveille, pour le plus grand bonheur des fans de la première heure et celui d'une nouvelle génération de lecteur.
Après sept ans de silence, saluons le grand retour d'un romancier visionnaire qui prône depuis toujours la liberté de moeurs, la tolérance et l'amour inconditionnel. -
Jenny Fields ne veut pas d'homme dans sa vie mais elle désire un enfant. Ainsi naît Garp. Il grandit dans un collège où sa mère est infirmière. Puis ils décident tous deux d'écrire, et Jenny devient une icône du féminisme. Garp, heureux mari et père, vit pourtant dans la peur : dans son univers dominé par les femmes, la violence des hommes n'est jamais loin. Un livre culte, à l'imagination débridée, facétieuse satire de notre monde.
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Le docteur Wilbur Larch, directeur de l'orphelinat de Saint Cloud dans le Maine, est investi d'une double mission. Ce gynécologue réalise « l'oeuvre de Dieu » en mettant au monde des enfants non désirés, mais assure également « la part du Diable », en pratiquant des avortements clandestins. Désireux de transmettre son savoir, il prend sous son aile un jeune orphelin, Homer Wells, développant dès lors de gênants sentiments paternels...
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« Quand meurt, de façon inattendue, une personne aimée, on ne la perd pas tout en bloc ; on la perd par petits morceaux, et ça peut durer très longtemps. » Depuis le Canada où il s'est installé, John évoque avec nostalgie le puzzle de sa jeunesse, dans une petite ville du New Hampshire : la vie de collégien, les premiers émois amoureux, la quête du père inconnu, les débuts sournois de la guerre du Vietnam ; et par-dessus tout l'amitié parfaite avec Owen ? l'irrésistible Owen qui s'était voué à la double tâche de réparer le tort causé à John et de sauver le monde.
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Ils auraient pu mener une vie tranquille. Mais comment vivre comme tout le monde quand on a Winslow Berry pour père ? Quand on passe sa vie à courir d'hôtel en hôtel, de Vienne à New York, armé d'un ours et du petit Freud pour tout bagage ? Dans le regard de John, l'un des cinq enfants, les aventures de la famille Berry, prennent des airs de conte de fée loufoque...
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Adolescent, Bill est troublé par ses béguins contre nature pour son beau-père, ses camarades de classe, et pour des femmes adultes aux petits seins juvéniles. Plus tard, il assume son statut de suspect sexuel, et sa vie entière est marquée par des amours inassouvies pour les hommes, les femmes et ceux ou celles qu'on appellera bientôt transgenres. Dans le Vermont puritain des années 1960, il s'efforce de trouver un sens à sa vie entre frasques, doutes et engagement pour la tolérance.
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A Twisted River circulent des histoires... Celles que les bûcherons racontent dans la chaleur du camp, peuplées d'ours et de sensuelles Indiennes. Et celles qu'ils taisent, comme cette nuit glacée qui a vu la fuite de Dominic et de son fils, après le meurtre accidentel de la maîtresse du shérif. En cavale à travers l'Amérique, ils tentent de semer leur passé. Mais peut- on oublier Twisted River ?
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Juan Diego a eu deux vies. Une au Mexique, enfant et adolescent, à la lisière d'une décharge publique. Une aux États-Unis où il est devenu un écrivain célèbre. Une vie qu'il mène tant bien que mal entre bêtabloquants pour le coeur et Viagra pour la libido. Lors d'un voyage aux Philippines, son enfance revient le hanter. Rêves, souvenirs et réalité ne font plus qu'un dans sa tête trop pleine...
Traduit de l'anglais (États-Unis) par Josée Kamoun et Olivier Grenot.
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Fred « Bogus » Trumper, fumiste farfelu, a un problème : son canal urinaire est trop étroit. Pour cesser de souffrir pendant l'amour, un seul remède : boire des litres d'eau. Sa femme veut le plaquer, sa maîtresse souhaite un bébé, et surtout, le réalisateur d'un documentaire sur l'échec tient absolument à s'inspirer de sa vie... Vaille que vaille, Bogus s'obstine à croire qu'il pourrait bien, un jour, réussir quelque chose.
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John Irving, one of the worlds greatest novelists, returns with his first novel in seven years -- a ghost story, a love story, and a lifetime of sexual politics. In Aspen, Colorado, in 1941, Rachel Brewster is a slalom skier at the National Downhill and Slalom Championships. Little Ray, as she is called, finishes nowhere near the podium, but she manages to get pregnant. Back home, in New England, Little Ray becomes a ski instructor. Her son, Adam, grows up in a family that defies conventions and evades questions concerning the eventful past. Years later, looking for answers, Adam will go to Aspen. In the Hotel Jerome, where he was conceived, Adam will meet some ghosts; in The Last Chairlift, they arent the first or the last ghosts he sees. John Irving has written some of the most acclaimed books of our time -- among them, The World According to Garp and The Cider House Rules. A visionary voice on the subject of sexual tolerance, Irving is a bard of alternative families. In The Last Chairlift, readers will once more be in his thrall.
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Eté 1958.
Ted cole, auteur de livres pour enfants, pousse son assistant de seize ans dans les bras de sa femme marion. il veut précipiter un divorce devenu inévitable depuis la mort de leurs deux fils. mais la belle et triste marion décide de tout quitter, laissant derrière elle une petite fille désorientée, ruth. automne 1990. ruth est devenue un écrivain de renom. en tournée à amsterdam, elle est confrontée à une aventure tout droit sortie de ses terreurs enfantines...
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Siggy et graff, les deux narrateurs farfelus de ce roman, sont une version moderne de don quichotte et sancho pança.
Seules différences : ils sillonnent la campagne autrichienne sur une énorme moto et se battent pour la libération des animaux du zoo de vienne. avec sa richesse, sa vitalité, sa fraîcheur, liberté pour les ours !, premier roman de john irving, cache cependant une intrigue plus grave : celle qui explore l'histoire, tour à tour tragique et grotesque, de l'europe centrale de ces cinq dernières décennies.
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Seuls depuis la fuite de William, un organiste qui collectionne les conquêtes féminines et les tatouages, Alice et son fils partent pour l'Amérique. L'enfant grandit entre filles à matelots, chastes institutrices et imprésarios douteux. A vingt ans, Jack Burns brille au firmament de Hollywood et collectionne les femmes. Pour autant, rien ne remplace jamais le regard d'un père...
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Patrick wallingford fait un rêve : il est couché sur le ponton d'un lac vert émeraude et une femme à la voix sensuelle, qu'il entend sans la voir, lui propose de retirer leurs maillots mouillés.
C'est qu'il est sous le coup d'un puissant analgésique, administré après qu'un lion lui a avalé la main gauche lors d'un reportage sur un cirque, en inde... avec sa verve drolatique, john irving nous raconte la rencontre entre ce candidat à la greffe, un brillant chirurgien sauvé de l'anorexie par sa jeune bonne marathonienne, une yupette aux dents longues, une maquilleuse mâcheuse de gomme, et enfin une sirène vêtue d'un sweat-shirt vert, dans un récit sur la perte et la récupération, qui mène un adolescent attardé à l'âge d'homme - de père - par l'attraction d'un être et d'un lieu magnétiques.
Et si l'auteur cherchait à nous prouver que la force du désir est la plus magique des prothèses ?
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Ce matin-là à Bombay, dans lenceinte irréprochable du Duckworth Club, pourquoi les vautours planent-ils au-dessus du neuvième green ? Question que se pose Farrokh Daruwalla, chirurgien orthopédiste de son état et redresseur de torts à ses heures, loin de se douter que le crime du golf va lentraîner dans un maelstrom de découvertes sur le monde et sur lui-mêmePour linstant, il attend un mystérieux acteur, faux Indien mais vraie star de lécran hindi, et quil aime comme son fils. Comment annoncer au jeune homme que son frère jumeau, dont il a été séparé à la naissance, est attendu comme missionnaire jésuite à Bombay ?Quiproquos en chaîne et imbroglios savants nous enseignent que les polyglottes munis dun double passeport jouent parfois double jeu. John Irving signe ici son dernier roman : le plus drolatique et le plus ambitieux. Étranger en Inde, son pays dorigine, comme au Canada, son pays dadoption, mais citoyen du monde et homme de bonne volonté, son sympathique héros, le Dr Daruwalla, nous dépayse pour notre édification et pour notre plus grande joie. Ses tribulations nous font découvrir toutes les facettes de Bombay, des cabarets louches aux palaces, des villas de Malabar Hill aux bouges de Kamathipura, sans oublier les studios de cinéma.La Grande Parade entre en piste, les vénérables jésuites et les médecins en renom, mais aussi les zénanas, simple travestis, les hijaras, travestis émasculés, et les transsexuelles « complètes » ; voici paraître les mendiants mutilés, les clowns nains, les trapézistes en paillettes, les prostituées mineures et les chimpanzés racistes : ouvrons lil, le diabolique « assassin aux dumbos » se cache peut-être parmi eux. Bienvenue au Cirque !Traduit de lAméricain par Josée Kamoun
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Séverin Winter, athlète et entraîneur, est un poids lourd de l'amour, ce qui n'est pas pour déplaire à Utch, la robuste Viennoise. De son côté, le mari d'Utch est épris d'Édith, l'épouse de Séverin. Quand les deux hommes décident d'échanger leurs femmes, les règles sont claires : des heures fixes et un contrôle permanent. Las ! Les sentiments s'en mêlent, l'équilibre vacille et l'aimable marivaudage tourne bientôt à l'aigre...
Traduit de l'anglais (États-Unis) par Françoise et Guy Casaril.
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The Berry family are different. Love abounds - both healthy and incestuous. It is the overwhelming desire of the Berry father to run a hotel, which he does, with dubious success, in both a former girls' school in New Hampshire, and in Vienna. This is a conventional family saga.
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Faut il sauver Piggy Sneed ?
John Irving
- Magnard
- Classiques & Contemporains
- 24 Juin 2016
- 9782210750661
Piggy Sneed, surnommé ainsi parce qu'il vit au milieu de ses cochons, souffre d'un handicap mental. Éboueur de la petite ville d'Exeter, dans le New Hampshire, il est régulièrement victime de harcèlement de la part d'un groupe de jeunes de son entourage. Jusqu'au jour où tout bascule...
John Irving, maître du roman américain, s'illustre ici avec brio dans l'art de la nouvelle. Dans ce récit à caractère auto-biographique, il revient sur les sources de son inspiration, tout en pointant avec humour et gravité le manque de tolérance, voire la cruauté, dont peuvent être capables les adolescents. Ce texte est l'occasion d'entrer de plain-pied dans l'univers de la littérature américaine, à travers un thème toujours d'actualité : celui du bouc émissaire.
Collège cycle 4 : Individu et société (4e) - Se raconter, se représenter (3e).
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Set among the apple orchards of rural Maine, it is a peverse world in which Homer Wells' odyssey begins. As the oldest unadopted offspring at St Cloud's orphanage, he learns about the skills which, one way or another, help young and not-so-young women, from Wilbur Larch, the orphanage's founder -- a man of rare compassion and an addiction to ether.
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John Irving, one of the worlds greatest novelists, returns with his first novel in seven years -- a ghost story, a love story, and a lifetime of sexual politics. In Aspen, Colorado, in 1941, Rachel Brewster is a slalom skier at the National Downhill and Slalom Championships. Little Ray, as she is called, finishes nowhere near the podium, but she manages to get pregnant. Back home, in New England, Little Ray becomes a ski instructor. Her son, Adam, grows up in a family that defies conventions and evades questions concerning the eventful past. Years later, looking for answers, Adam will go to Aspen. In the Hotel Jerome, where he was conceived, Adam will meet some ghosts; in The Last Chairlift , they arent the first or the last ghosts he sees. John Irving has written some of the most acclaimed books of our time -- among them, The World According to Garp and The Cider House Rules. A visionary voice on the subject of sexual tolerance, Irving is a bard of alternative families. In The Last Chairlift , readers will once more be in his thrall.
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C'est du côté des gymnases, des vestiaires et du cours de littérature, que john irving entraîne ici son lecteur : description très concrète de la façon dont l'auteur a appris puis enseigné la lutte et l'écriture, comme étudiant puis chargé de cours, et comme entraîneur.
Au fil de son récit et de ses digressions, l'auteur évoque ses " rencontres avec des hommes remarquables ", entraîneurs sportifs ou professeurs de littérature, de sorte que ces mémoires sont peut-être avant tout une galerie de portraits, genre dans lequel l'auteur du " monde selon garp " a déjà fait ses preuves de roman en roman.
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If you care about something you have to protect it. If you're lucky enough to find a way of life you love, you have to find the courage to live it.' Eleven-year-old Owen Meany, playing in a Little League baseball game in Gravesend, New Hampshire, hits a foul ball and kills his best friend's mother. Owen doesn't believe in accidents; he believes he is God's instrument. What happens to Owen after that 1953 foul ball is both extraordinary and terrifying.
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Elles sont sept, ces nouvelles réunies pour la première fois en un volume, contrepoint à une oeuvre romanesque foisonnante.
Pour sa plus grande joie, le lecteur y retrouvera ce qu'il connaît : la satire du conformisme, l'imagination débridée, le goût du burlesque, les tabous joyeusement pourfendus - cette vitalité hors du commun qui permet à l'auteur de passer indemne par-dessus les gouffres de ses obsessions.
Mais certains y découvriront aussi, parfois, le récit à mi-voix, la description en demi-teinte, la profondeur et l'humanité du propos qui font ici d'irving un nouvelliste à l'égal de katherine mansfield ou du joyce des dublinois.
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This is the life and times of T. S. Garp, the bastard son of Jenny Fields - a feminist leader ahead of her times. It is also the life and death of a famous mother and her almost-famous son; theirs is a world of sexual extremes - even of sexual assassinations. It is a novel rich with 'lunacy and sorrow'; yet the dark, violent events of the story do not undermine a comedy both ribald and robust. It provides almost cheerful, even hilarious evidence of its famous last line: "In the world according to Garp, we are all terminal cases."