Les bases de l'anglais en stickers !
Les bases de l'anglais en stickers c'est : ludique, frais, facile d'accès pour les jeunes comme pour leurs parents.
Stick & Learn propose d'instaurer un moment ludique d'apprentissage, pour reprendre ou réviser les bases de l'anglais (grammaire, lexique, culture...) en conformité avec le programme.
Des règles simples sous la forme de stickers ;
De nombreuses activités pour favoriser la mémorisation ;
Des autocollants pour encourager la progression ;
Des fichiers audio pour apprendre à prononcer ses premières phrases en anglais et pour s'entraîner à la compréhension.
Cet ouvrage concerne l'histoire de la montagne et de l'alpinisme. Il explique comment la montagne a été mise en scène au travers de ses monuments. Il dresse un état des lieux des pratiques commémoratives en montagne.
C'est une lecture micro-géographique en milieu alpin qui montre comment l'espace s'est construit et comment l'espace collectif parle de ses monuments.
L'auteur s'appuie sur une enquête de terrain menée dans les Alpes occidentales et plus particulièrement à Chamonix et à Bessans. Des interviews ont été réalisées auprès de guides de haute montagne, de professionnels, d'habitants et de touristes. De nombreux monuments sont évoqués : ainsi de grands noms de l'Alpinisme sont revisités : Pierre Balmat, Maurice Herzog, Gaston Rebuffat, Roger Frison-Roche, Edward Whimper, etc.
Je traverse la presqu'île, toujours aussi austère, avec ses vagues qui claquent sans cesse sur les rochers.
La barrière n'est pas fermée. Une voisine, le facteur ? Je ne sais plus qui venait la voir à part moi. [...] Curieux moment que celui où l'on vient vider la maison d'un mort. [extrait]. A soixante ans, Pierre mène une vie simple au coeur du golfe du Morbihan. A la mort de sa mère, il découvre un paquet de lettres qui lui étaient destinées, datant de 1964, et signées Teresa. C'est une souffrance terrible qui déchire Pierre tout à coup.
Ces lettres d'Amérique du Sud qu'il avait tant attendues et qui n'étaient jamais arrivées... Toute une vie à reconsidérer, devant un courrier soigneusement conservé.
À cinquante-huit ans, poussée par ses enfants, Marianne intègre la « famille » Facebook. Surgit une invitation inattendue, celle de Sven, l'amour de ses quinze ans. Se pensant protégée par les sept mille kilomètres qui les séparent, elle entame avec lui une correspondance intime. Leur échange met Marianne face à elle-même, toutes ces années où elle s'est oubliée au passage, trop occupée à tisser un habit d'amour pour les siens.
Les emails croisent les scènes de vie quotidienne, se glissent entre tchats, conférences téléphoniques, repas animés. A travers une galerie de personnages et leurs tranches de vie bien ancrées dans la société actuelle, « envoyer / recevoir » est avant tout un hommage aux liens familiaux, au courage aussi.
« Sur le quai Wilson, Dubreuil observa les dockers qui manoeuvraient pour charger d'énormes sacs blancs. Les grues s'élevaient à la rencontre des nuages, majestueuses, verte, bleue ou grise. » Avec pour décor la ville de Nantes, ce roman nous projette dans l'atmosphère trouble de l'enquête que mène le taciturne commissaire Dubreuil sur la mort suspecte de jeunes femmes. En tirant les fils, il remonte une filière qui le conduira dans le milieu fermé des gens dits « respectables ». Pendant que les secrets trop bien gardés distillent leur poison, certains tentent néanmoins d'écrire leur histoire d'amour.
Ma mère est triste ce jour-là, elle se souvient d'une dispute avec quelqu'un de la famille qui lui a jeté à la figure : "De toute façon, vous n'êtes que la fille d'un bâtard !" Lorsqu'elle me raconte la suite de l'histoire, je me promets de découvrir, de tenter de comprendre et de dénouer les fils de ce secret de famille, parce que ce bâtard... c'est mon grand-père.ŠLe secret de Gabrielle a d'abord existé sous la forme d'un film documentaire (le livre est d'ailleurs vendu avec un dvd). Emmanuelle Petit a donc entrepris d'en écrire le récit pour développer ce qui n'avait pu trouver de place dans le film.
Quelque part dans la nuit, sur une route de montagne, deux voitures entrent en collision, laissant leurs six passagers entre la vie et la mort. Un impact de balle dans un des pare-brise laisse à penser qu'il ne s'agit pas d'un banal accident. Un professeur de médecine, deux étudiantes, un jeune journaliste, deux inconnues. Quel peut-être le mobile ?
Au coeur de la nuit, Sally Babe est dépêchée sur place pour tenter de dénouer les fils de ces destins tragiquement emmêlés.
Au Nord-Est de l'Inde, sur une des plus grandes îles fluviales au monde, se trouvent des monastères longtemps restés inaccessibles : les moines de l'île Majuli y vivent encore comme au Moyen-Âge. Ces moines d'une étonnante beauté sont avant tout des artistes, de magnifiques danseurs ainsi que des paysans. Ils ont constitué un mode de vie à part, basé sur la composition de familles où chaque moine adulte adopte un jeune enfant moine qu'il s'efforce d'éduquer, et s'occupe par ailleurs de son propre «père» lorsque celui-ci devient âgé. Avec délicatesse et sensibilité nous partageons la vie et les secrets de ces hommes à la féminité hors du commun, au sein de ces monastères que des troubles écologiques menacent aujourd'hui d'engloutissement.
Un jour, on fouille des vieux documents au fond d'un tiroir et on se découvre un arrière-grand-père anglais ! Alors, évidemment on pose des questions, qui s'avèrent vite gênantes... En retour, des mots tels que «bâtard», «honte», «passé», »interdits», «secret»... Il y a ceux qui savaient et n'en ont pas parlé, ceux qui n'ont pas su et en veulent aux autres. Comment le secret a-t-il traversé les générations ? Pourquoi l'avoir gardé ou, au contraire, pourquoi avoir décidé de le transmettre ? « Tout au long de sa vie, mon grand-père s'est interdit de rechercher ce père dont on l'avait forcé à avoir honte. Aujourd'hui, je voudrais que les membres de la famille puissent 'adopter' ce père, ce grand-père, cet arrière-grand-père, autrement qu'à travers des initiales en bas d'une carte postale... » (Emmanuelle Petit). «La réalisatrice a l'intelligence sensible, elle nous évite les roulements de tambour (...). Le documentaire déroule l'enquête jusqu'à son terme avec une sensibilité et une simplicité bienfaisantes.» (Libération). «L'émotion est bien présente (...). Un film discret et bien fait.» (Télérama)