Filtrer
Support
Éditeurs
- William Blake & Co (5)
- Adult Pbs (4)
- Moundarren (3)
- Publications Orientalistes De France (3)
- Synchronique (3)
- Verdier (3)
- Héros-Limite (2)
- La Delirante (2)
- Nouvelles éditions Scala (2)
- Belfond (1)
- L'Harmattan (1)
- Le Livre De Poche (1)
- Olizane (1)
- Pemf (1)
- Points (1)
- SEUIL (1)
- Somogy (1)
- Table Ronde (1)
- Textuel (1)
Prix
Bashô
-
Fils de samouraï, Basho (1644-1694) a vécu de son art et pour son art dans un dénuement choisi. À l'âge de treize ans, il apprend d'un maître du haïku les rudiments du genre puis fonde l'école de Shomon. Ses pérégrinations et ses longs séjours dans des ermitages inspireront son oeuvre. Il meurt à Osaka après avoir confié à ses disciples : « La fleur du haïkaï est dans la nouveauté. » Ce recueil regroupe l'intégrale des haïkus de Basho en version bilingue.
-
Après les Haïkus des quatre saisons illustrés par Hokusai, ce nouveau volume des "Classiques en images" renoue avec la tradition du poème court japonais : 67 haïkus de Basho, choisis pour égrainer le temps qui passe... Une journée, une année, une vie sous le pinceau d'Hokusai. Un recueil qui nous invite à penser le temps autrement.
-
Bashõ est l'une des figures majeures de la poésie classique japonaise.
Par la force de son oeuvre, il a imposé dans sa forme l'art du haiku, mais il en a surtout défini la manière, l'esprit : légèreté, recherche de la simplicité et du détachement vont de pair avec une extrême attention à la nature. le haiku naît donc au bord du vide, de cette intuition soudaine, qui illumine le poème, c'est l'instant révélé dans sa pureté.
La vie de ce fils de samouraï, né près de kyoto en 1644, fut exclusivement vouée à la poésie.
Agé de treize ans, il apprend auprès d'un maître du haikai les premiers rudiments de ce genre. plus tard, après avoir lui-même fondé une école et connu le succès à edo (l'actuelle tokyo), il renonce à la vie mondaine, prend l'habit de moine, et s'installe dans son premier ermitage. devant sa retraite, il plante un bananier, un bashõ, offert par l'un de ses disciples - ce qui lui vaudra son pseudonyme.
Sa vie est dès lors faite de pauvreté, d'amitiés littéraires et de voyages. osaka sera le dernier. après avoir dicté un ultime haiku à ses disciples éplorés, il cesse de s'alimenter, brûle de l'encens, dicte son testament, demande à ses élèves d'écrire des vers pour lui et de le laisser seul. il meurt le 28 novembre 1694. sur sa tombe, on plante un bashõ.
-
À la huitième lune d'automne, lorsque je quittai mon logis délabré près de la rivière, il soufflait un vent frisquet...
Ainsi commencent les notes de voyage de Bashô, composées en prose rythmée, parsemée de-ci de-là de haiku dans lesquels se cristallise une impression fugitive, longuement préparée par la description d'un paysage, par une méditation devant un vestige du passé, devant un site illustre...
Ces haiku perdraient une grande partie de leur résonance s'ils étaient détachés du texte dans lequel ils sont normalement sertis et qui les éclaire.
C'est pourquoi l'éminent connaisseur de la littérature japonaise que fut René Sieffert a construit ce recueil - qui comprend l'intégralité des sept journaux de voyages de Bashô - en respectant leur forme initiale.
-
Notes d'un voyage à Sarashina : sarashina kikô
Bashô
- William Blake & Co
- Classiques Du Japon
- 13 Janvier 2023
- 9782841032327
Avec Notes d'un voyage à Sarashina, nous retrouvons l'auteur en 1688, déjà fort avancé sur le chemin d'Edo (actuel Tôkyô), à l'automne de la même année. Il veut voir le clair de lune sur la montagne Obasute, célèbre pour un poème anonyme du IXe siècle et plus encore pour la légende qu'il suscita : un neveu ingrat y aurait abandonné la vieille et bonne tante qui l'avait élevé. La pleine lune n'a cessé de les accompagner ou de les guider à travers ce paysage grandiose et hostile. Le lecteur ressent le vertige des voyageurs sur les ponts suspendus, est pénétré par le vent d'automne et l'âpre goût du radis, goûte la chair frugale et savoureuse des marrons, s'émerveille du reflet du clair de lune dans les coupes à saké de laque sombre... Nous avons tenu à expliquer et commenter toutes les allusions de ce texte aussi concis que riche d'une profonde méditation sur notre condition humaine.
-
Haïkus et notes de voyages ; sur le chemin étroit du Nord profond
Bashô, Manda
- Synchronique
- Classiques Poches
- 8 Novembre 2017
- 9782917738375
Bashô (1644-1694), voyageur infatigable, poète parmi les plus célèbres du Japon, est considéré comme le père du haïku et l'un de ses plus grands maîtres. Imprégné de sa pratique méditative zen, il lui donne sa structure et surtout son esprit : un tercet très court qui saisit l'essence de l'instant présent.
Ce carnet de voyage, qui associe prose allusive et haïkus d'une saisissante vitalité, marque un tournant dans la vie et l'oeuvre du poète. Il n'achèvera de le rédiger que quelques mois avant sa mort. Son périple de cinq mois dans le Nord du Japon, de la fin du printemps aux profondeurs de l'automne, invite Bashô à célébrer la légèreté et la beauté infinie de l'instant, les richesses de l'homme et du monde, et à méditer sur l'impermanence de toute chose.
-
Le carnet de la hotte : oi no ko-bumi
Bashô
- William Blake & Co
- Classiques Du Japon
- 13 Janvier 2023
- 9782841032273
Au début de l'hiver 1687, le maître de poésie Matsuo Bashô (1644-1694) reprend sa hotte et sa canne et quitte son Ermitageau- Bananier, à Edo (actuel Tôkyô), pour son pays natal où il passera le Nouvel An. Son itinéraire se veut sans contrainte et se plaît aux détours et improvisations. Le poète va de temple en sanctuaire, rend visite à des amis et disciples, compose avec eux des poèmes enchaînés (haikai), et tour à tour facétieux, mélancolique ou enthousiaste, traverse l'hiver en recueillant les signes de l'approche du printemps. Un autre intérêt de ce très beau texte réside dans sa réflexion sur la création littéraire et artistique, sur le voyage comme idéal de vie et sur l'écriture du journal de voyage. Bashô répugne aux longues descriptions, leur préfère de vives évocations, procède par touches et rapides croquis, multiplie les allusions. On ne s'étonnera donc pas de l'abondance et de la longueur de nos notes que nous espérons aussi attrayantes qu'informatives.
-
Matsuo Munefusa, fils d'un petit samouraï, et plus tard célèbre sous le nom de Bashô, est né en 1644 non loin de Kyôto. Très tôt il se consacre à la poésie et, selon ses propres termes, " fait du haïkaï sa vie ". L'édition de René Sieffert, éminent et prolixe traducteur et commentateur de la littérature classique japonaise, restitue toute la complexité thématique qui porte cette forme brève et donne une profondeur à cet art de la simplicité et de la légèreté. Plus que l'alouette haut dans le ciel me repose au sommet du col.
-
Fils de samouraï, Basho (1644-1694) a vécu de son art et pour son art, dans un dénuement choisi.
À l'âge de treize ans, il apprend d'un maître du haïku les rudiments du genre, puis fonde à Edo (l'actuelle Tokyo) l'école de Shomon. Le Maître partage alors son existence entre de longues pérégrinations qui inspirent son oeuvre (Ma vie de voyageur / le va-et-vient / d'un paysan labourant la rizière) et d'austères séjours dans des ermitages. Il meurt à Osaka le 12 octobre 1694, après avoir confié à ses disciples, de crainte qu'ils n'enferment le haïku dans des règles trop rigides : "La fleur du haïkaï est dans la nouveauté".
L'intégrale des haïkus (975) de Basho est présentée ici pour la première fois dans une édition bilingue.
-
à Kyoto rêvant de Kyoto, journal de voyage
Bashô
- Moundarren
- Poesie Japonaise
- 9 Avril 2018
- 9791096128037
Portrait, illustré par ses haïkus et journaux de voyage, de Bashô (1644-1694), génie spirituel du haïku, disciple laïc du zen, poète-pèlerin.
-
Mes os blancs sur la Lande ; notes de voyage ; à propos de la transplantation du bananier
Bashô
- William Blake & Co
- 17 Mars 2015
- 9782841032136
-
Matsuo bashô (1644-1694) est resté un des poètes les plus chers au coeur des japonais qui tous peuvent réciter au moins un de ses tercets ou hokku (que l'on appellera haiku par la suite).
Ce fils et frère de samouraï quitta très tôt le service des armes pour se consacrer à l'étude des littératures classiques du japon et de la chine et à la pratique du haikai, poésie enchaînée collective très populaire en son temps. bien vite, il fit entendre une tonalité, un style, un esprit spécifiques, et créa son école appelée le shômon. bashô, tout en conservant les sujets réalistes, le langage quotidien et l'humour du haikai, y transfuse l'exigence esthétique et la sensibilité de la poésie classique (waka, renga).
Sa manière se caractérise notamment par son attention aux petites choses de la vie et à la profondeur qu'elles recèlent. le poète consacra les dix dernières années de sa vie à voyager à travers le japon pour donner des leçons, établir des cercles de disciples, mais aussi pour renouveler son inspiration et poursuivre sans concession la vérité du monde. le voyage devint dès lors un pèlerinage et une ascèse mystique.
De ces pérégrinations, bashô tira plusieurs journaux poétiques dont le plus célèbre est l'étroit chemin du fond où il consigne et met en oeuvre l'essentiel d'un périple à pied de cinq mois dans le nord du japon, de temples en sanctuaires, de sites géographiques en lieux marqués par les tragédies de l'histoire, à travers un paysage sauvage, montagneux ou marin. voyage au fin fond du pays, voyage au fond des choses et des êtres, vers le fond de la parole : quête à la fois physique et langagière du sens et de la réalité ultime.
De ce chef-d'oeuvre, nous donnons ici, en regard du japonais, une traduction entièrement nouvelle, accompagnée d'un important appareil de notes et commentaires, indispensable pour saisir les allusions historiques et littéraires, les citations déguisées, les références culturelles, et permettre à ce texte plutôt mince de prendre sa dimension réelle, presque infinie. alain walter.
-
tandis que nous reposions au creux d'un rocher, j'eus l'oeil tiré par un petit cerisier, à quelques pieds de nous, qui commençait juste à fleurir.
penser que ce gringalet qui passe tout l'hiver sous la neige n'oublie pas de fleurir quand le printemps atteint ces hautes pentes ! insolemment poussé là, comme l'image inversée du koan zen " frêles fleurs de prunier sous les feux du soleil ", cet arbrisseau me rappelait la strophe de gyôson :
petit cerisier sauvage
moi seul l'aime et lui seul
il en fait autant !.
-
The narrow road to the deep north and other travel sketches
Bashô
- Adult Pbs
- 27 Juillet 2006
- 9780140441857
'It was with awe That I beheld Fresh leaves, green leaves, Bright in the sun' In his perfectly crafted haiku poems, Basho described the natural world with great simplicity and delicacy of feeling. When he composed The Narrow Road to the Deep North , he was an ardent student of Zen Buddhism, setting off on a series of travels designed to strip away the trappings of the material world and bring spiritual enlightenment. He wrote of the seasons changin, of the smells of the rain, the brightness of the moon, and beauty of the waterfall, through which he sense mysteries of the universe. Theres seventeenth-century travel writing not only chronicle Basho's perilous journeys through Japan, but they also capture his vision of eternity in the transient world around him. In his lucid translation Nobuyuki Yuasa captures the Lyrical qualities of Basho's poetry and prose by using the natural rhythms and language of the contemporary speech. IN his introduction, he examines the development of the haibun style in which poetry and prose stand side by side. this edition also includes maps and notes on the texts. For more than seventy years, Penguin has been the leading publisher of classic literature in the English-speaking world. With more than 1,700 titles, Penguin Classics represents a global bookshelf of the best works throughout history and across genres and disciplines. Readers trust the series to provide authoritative texts enhanced by introductions and notes by distinguished scholars and contemporary authors, as well as up-to-date translations by award-winning translators.
-
Basho, one of the greatest of Japanese poets and the master of haiku, was also a Buddhist monk and a life-long traveller. His poems combine 'karumi', or lightness of touch, with the Zen ideal of oneness with creation. Each poem evokes the natural world - the cherry blossom, the leaping frog, the summer moon or the winter snow - suggesting the smallness of human life in comparison to the vastness and drama of nature. Basho himself enjoyed solitude and a life free from possessions, and his haiku are the work of an observant eye and a meditative mind, uncluttered by materialism and alive to the beauty of the world around him. For more than seventy years, Penguin has been the leading publisher of classic literature in the English-speaking world. With more than 1,700 titles, Penguin Classics represents a global bookshelf of the best works throughout history and across genres and disciplines. Readers trust the series to provide authoritative texts enhanced by introductions and notes by distinguished scholars and contemporary authors, as well as up-to-date translations by award-winning translators.
-
Nouer aux pieds l'iris des marais comme brides de sandale Hiromi Tsukui nous a laissé comme merveilleux héritage une nouvelle traduction en français, minutieusement commentée et mise dans son contexte historique, d'une des oeuvres du grand poète japonais du XVIIe siècle Bashõ (1644-1694) : Le sentier le plus reculé. Elle nous offre la pertinence et l'originalité de son approche littéraire ainsi que sa vision de la culture japonaise, et par extension, de notre humanité. Cette version de très haut vol du texte de Bashõ a été entièrement revue par le poète Michel Falempin. Hiromi Tsukui introduit elle-même son livre dans un texte passionnant et prémonitoire De concert avec la mort. Jusqu'à son dernier souffle, elle aura vécu en poète, avec une lucidité et une finesse d'esprit sans faille.
Michel Cassir -
Un recueil de haïkus du plus grand maître du genre, finement illustré de haïga originaux (peintures et calligraphies) de Manda. Une édition raffinée au format poche-cadeau, illustrée, reliée avec élastique.
Bashô (1644-1694), moine errant, poète parmi les plus célèbres du Japon, est considéré comme le père du haïku et l'un de ses plus grands maîtres. Imprégné de sa pratique méditative zen, il lui donne sa structure et surtout son esprit : un tercet très court qui saisit l'essence de l'instant présent.
Ce carnet de voyage, qui associe prose allusive et haïkus d'une saisissante vitalité, marque un tournant dans la vie et l'oeuvre du poète. Suite au décès de sa mère, quittant sa vie sédentaire de maître de poésie reconnu, il se lance dans une quête d'absolu, de total dépouillement, pour revenir à la pureté de l'expérience immédiate.
Les superbes haïga de Manda nous accompagnent dans ce voyage au coeur du Japon éternel et de l'intime aventure humaine. -
Le haïku est une forme poétique très codifiée d'origine japonaise, dont le maître incontesté est le poète Basho Matsuo. Il s'agit d'un poème extrêmement bref de 3 vers de 5,7 et 5 syllabes, traditionnellement axé sur les saisons et le temps qui passe. Les haïkus ne sont connus en Occident que depuis le tout début du XXe siècle. Une oeuvre originale pour une approche différente de la poésie.
-
Kaidin sur les traces de basho
Bashô, Kaidin, Richard Collasse, Danielle Devindck
- Somogy
- 6 Octobre 2012
- 9782757206003
-
L'art du haïku ; pour une philosophie de l'instant
Bashô, Issa, Shiki, Vincent Arochard, Pascal Senk
- Belfond
- L'esprit D'ouverture
- 19 Février 2009
- 9782714444400
Renouer le lien primordial avec la nature, cultiver la modestie et la simplicité, rechercher la spontanéité : L'Art du Haïku nous entraîne sur le chemin de cette sagesse qui nous a laissé les textes les plus étonnants de la littérature japonaise et nous démontre toute la modernité de son enseignement. L'enquête de Pascale Senk nous fait découvrir comment la pratique du haïku inspire aujourd'hui, à des adeptes venus de tous horizons, une nouvelle approche de la vie. En introduction aux haïkus les plus emblématiques, la présentation de Vincent Brochard n'apporte pas seulement un éclairage historique et littéraire, elle est aussi une véritable initiation à la visée spirituelle qui est au coeur de cet usage de l'écriture. A la fois essai, guide pratique et anthologie, L'Art du Haïku montre la voie d'un authentique art de vivre.
-
Vers l'an 1730 paraissait un choix de sept livres effectué parmi les multiples recueils de haïkaï édités pour certains du vivant déjà de Bashô, mais la plupart après sa mort.
Après " Jours d'hiver " et " Le Manteau de pluie du Singe ", voici " La Calebasse ", le troisième de ces livres. Ce titre, qui rappelle une anecdote du livre de Tchouang-tseu, signifie que cet ouvrage est comme une calebasse gigantesque qui contiendrait un monde peuplé de poètes. Des Sept Livres, " La Calebasse " est celui qui se lit avec le plus de plaisir. Et si l'on se souvient qu'il faut lire les versets deux par deux, on pourrait y voir une préfiguration du procédé cinématographique qui consiste à enchaîner des images n'ayant a priori rien à voir les unes avec les autres, mais dont le rapport paraît évident dès lors qu'il est formulé.
L'ensemble des " Sept Livres de l'École de Bashô " sera publié aux POF dans sa totalité.
-
-
-
Le manteau de pluie du singe
Bashô
- Publications Orientalistes De France
- Oeuvres Capitales De La Litterature Japo
- 17 Janvier 2002
- 9782716903318